Livre du centenaire, 1794-1894 ...: L'école et la science. 1895Gauthier-Villars et fils, 1895 - 646 pages |
Autres éditions - Tout afficher
Livre du centenaire, 1794-1894 ...: L'école et la science. 1895 Ecole polytechnique (France) Affichage du livre entier - 1895 |
Livre du centenaire, 1794-1894 ...: L'école et la science. 1895 Ecole polytechnique (France) Affichage du livre entier - 1895 |
Expressions et termes fréquents
Ampère années applications Arago avaient Berthollet BERTRAND Biot Bour Bureau des Longitudes Cahours calcul camarades candidats Carnot carrière Cauchy chaire chaleur Chasles Chimie Chimie organique commission Conseil Coriolis corps cours d'admission d'Analyse d'Arago d'Artillerie découverte Delaunay dessin devait directeur donner Dulong Ebelmen École élèves équations équations différentielles esprit études examinateur de sortie expériences fonctions Fourcroy Fresnel Gay-Lussac général Génie Géodésie Géométrie descriptive homme Ingénieur Joseph Bertrand l'Académie des Sciences l'acide l'École des Mines l'École des Ponts l'École Poly l'École Polytechnique l'enseignement l'étude l'Institut l'œuvre laboratoire Lagrange Lamblardie Lamé Laplace leçons Liouville machines Malus Marignac Mathématiques Mécanique mémoire ment méthode Michel Chasles militaire Monge n'avait Navier nique nommé œuvre pendant physicien Physique Poinsot Poisson polarisation Poncelet Ponts et Chaussées premier problème professeur promotion publié recherches Regnault remplacé répétiteur reste résultats Sadi Carnot Saint-Venant savant scientifique Senarmont seulement succès système tard température théorème théorie tion travaux vapeur vibrations
Fréquemment cités
Page xliii - Je me plaisais surtout aux mathématiques à cause de la certitude et de l'évidence de leurs raisons, mais je ne remarquais point encore leur vrai usage, et, pensant qu'elles ne servaient qu'aux arts mécaniques, je m'étonnais de ce . que, leurs fondements étant si fermes et si solides, on ' n'avait rien bâti dessus de plus relevé.
Page 175 - C'est un mouvement dans les particules des corps. Partout où il ya destruction de puissance motrice, il ya, en même temps, production de chaleur en quantité précisément proportionnelle à la quantité de puissance motrice détruite. Réciproquement, partout où il ya destruction de chaleur, il ya production de puissance motrice.
Page 117 - Théorie des fonctions analytiques, contenant les principes du calcul différentiel, dégagés de toute considération d'infiniment petits ou d'évanouissans, de limites ou de fluxions, et réduits à l'analyse algébrique des quantités finies; par JL Lagnuige.
Page 175 - La puissance motrice de la chaleur est indépendante des agents mis en œuvre pour la réaliser; sa quantité est fixée uniquement par les températures des corps entre lesquels se fait, en dernier résultat, le transport du calorique.
Page 20 - L'arithmétique et l'exposition du nouveau système métrique; on insistera sur l'application du calcul décimal à ce système; 2° l'algèbre, coinprenant la résolution des équations des deux |>remiers degrés ; celle des équations indéterminées du premier degré ; la composition générale des équations; la démonstration de la formule du binôme de Newton, dans le cas seulement des...
Page 443 - Scandinave-français des principaux termes de géographie et des mots qui entrent le plus fréquemment dans la composition des noms de lieu...
Page 473 - ... développé la bonne harmonie entre ceux qui coopèrent aux mêmes travaux et assuré aux ouvriers le bien-être matériel, moral et intellectuel...
Page 175 - Lorsqu'une hypothèse ne suffit plus à l'explication des phénomènes, elle doit être abandonnée. « C'est le cas où se trouve l'hypothèse par laquelle on considère le calorique comme une matière, comme un fluide subtil.
Page 175 - Il serait ridicule de supposer que c'est une émission des corps, tandis que la lumière qui l'accompagne ne serait qu'un mouvement. Un mouvement (celui de la chaleur rayonnante) pourrait-il produire un corps (le calorique)? Non, sans doute, il ne peut produire qu'un mouvement. La chaleur est donc le résultat d'un mouvement. Alors il est tout simple qu'elle...
Page 430 - ... ou antique. Juger et raconter à la fois; manifester tous les dons de l'imagination dans la peinture exacte de la vérité; se plaire à tout ce qui a de la vie et du mouvement; laisser au lecteur, comme à soi-même, son libre arbitre pour blâmer et approuver; allier une sorte de douce ironie à une impartiale bienveillance : tels sont les traits principaux de la narration française.