La logique de Leibniz d'après des documents inédits, Volume 1

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Ancienne Librairie Germer Baillière, 1901 - 608 pages
 

Table des matières

Subalternation et conversion
9
Résolution des équations du 1er degré règle de Cramer
10
Elimination dans les équations de degrés supérieurs 484 485
11
Réduction par régression
12
Analyse des particules
13
Point de vue de la compréhension
14
X9 Tous les modes déduits des 5 universels
15
Remarques sur le tableau des 24 modes
17
Les 9 modes imparfaits
18
Principes des modes universels
19
Discussion de ces principes
21
Extension et compréhension
23
Quantification implicite du prédicat
24
Schèmes des propositions en extension
25
Schèmes des syllogismes en extension
28
Schèmes des propositions en compréhension
30
Schèmes des syllogismes en compréhension
31
Idée première de la Combinatoire
33
LAlphabet des pensées humaines
34
Le De Arte combinatoria
35
Raymond Lulle etc
36
Critique de Lulle Autres précurseurs
38
Analyse et classification des concepts
39
Le calcul remplace le raisonnement
40
Trouver tous les prédicats dun sujet donné
41
Contingence des lois de la nature
221
Principes de symétrie et des indiscernables
227
Principe de la simplicité des lois de la nature
229
Principe de continuité ou de lordre général
233
Principes mathématiques et principes métaphysiques
237
Logique des probabilités
239
Théorie mathématique des jeux
242
Principes du Calcul des probabilités
244
Rôle de la Logique des probabilités
248
Degrés de détermination des problèmes
250
Exemples tirés de lAlgèbre et de la Géométrie
252
Analogie de la Cryptographie
254
Rôle de lexpérience dans les sciences
255
Théorie des vérités premières empiriques
257
Théorie de linduction empirique
261
Rôle de la déduction dans les sciences expérimentales
264
Théorie de lanalyse de Pappus
265
Théorie de lhypothèse
266
La méthode expérimentale est la déduction
269
La Caractéristique et lArt dinventer
272
LArt dinventer et le Calcul des probabilités
273
LArt dinventer dans les sciences techniques et pratiques
276
X45 Logique Mathématique et Métaphysique
278
Analogic formelle entre la Logique et la Mathématique
283
LAlgèbre subordonnée à la Combinatoire
285
Conception de la Combinatoire
288
Division capitale de la Mathématique
290
LAlgèbre nest pas la méthode universelle
293
La Combinatoire est lArt dinventer
294
Le nouveau De Arte combinatoria
297
Relations de grandeur
300
Relations didentité et dinclusion
303
Relations de détermination
307
Congruence égalité similitude
310
Axiomes communs à ces relations
312
Axiomes propres à ces relations
314
La Mathématique se réduit à la Logique
317
La Logique se réduit à la Mathématique
318
Idée de lAlgèbre universelle
319
La multiplication logique commutative
323
Le système des nombres caractéristiques 1679
326
Traduction des propositions A E 1 0
327
Essai de Calcul des alternatives
343
Generales Inquisitiones de 1686 principes
344
Théorie du syllogisme
347
Divers essais de traduction des propositions A E I 0
349
Analogic des propositions catégoriques et hypothétiques
354
Fragments daoût 1690
358
Addition au point de vue de lextension
361
Non inelegans Specimen axiomes et définitions
367
Règles de composition des inclusions
371
Sens de linclusion inclusion des compréhensions
373
Théorie de la soustraction
376
Propriétés de la soustraction
377
Théorie des compensations
381
Théorèmes relatifs à la soustraction
383
Résumé et conclusion
385
LEssai de 1679
388
Correspondance avec Huygens
391
Correspondance avec LHospital
394
Opuscules relatifs au Calcul géométrique
396
Défauts de lAlgèbre et de la Géométrie analytique
398
Défauts de la Géométrie synthétique
401
Avantages dune analyse proprement géométrique
403
Analysis situs
405
Définitions de la situation du point et de lespace
407
Description des figures par points et par lignes
409
Théorie de la similitude
410
Définitions de la droite et du plan par lidée de similitude
413
Autres définitions par les idées de section et de mouvement
415
Définitions fondées sur lidée de congruence
417
Définitions de la sphère et du cercle
418
Définition de la droite
420
Critique de la définition de la droite dEuclide
421
CONCLUSION
431
Multiplication des polynomes Homogénéité symbolique
487
Division des polynomes
489
Méthode des coefficients indéterminés théorème de De Moivre
491
Tables pour le calcul des formes et la résolution des équations
493
Formule du binome puissances dun polynome
494
Analogie du binome et des différentielles
497
Théorèmes de divisibilité tirés de la Combinatoire
498
Démonstration du théorème de Fermat
499
Semestria literaria 1668
501
Commissariat des livres
503
Premier projet de Société encyclopédique
504
Projet dune Société allemande
505
Projet dune Société philadelphique
506
Projets de 16761679
507
Projets soumis aux ducs de Hanovre
508
Collegium Imperiale historicum 1688
511
Idée dun ordre religieux 1693
512
Avances aux Jésuites
513
Projet de Société teutophile
515
Fondation de la Société des Sciences de Berlin 1709
516
Fonctions scientifiques de la Société
517
Ressources financières de la Société
518
Projet de sériciculture
520
Projet de Société des sciences à Dresde 1704
522
Echec opposition des Jésuites
524
Projets soumis au tsar Pierre le Grand
525
Patriotisme et cosmopolitisme de Leibniz
527
Principes du Calcul de lextension
529
Définitions fondamentales
530
Égalité et congruence
532
Multiplication régressive
533
Applications géométriques et mécaniques
535
Comparaison avec le Calcul géométrique de Leibniz
536

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Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 206 - Or il est constant que toute prédication véritable a quelque fondement dans la nature des choses, et lors qu'une proposition n'est pas identique, c'est à dire lors que le prédicat n'est pas compris expressément dans le sujet, il faut qu'il y soit compris virtuellement, et c'est ce que les philosophes appellent in-esse , en disant que le prédicat est dans le sujet.
Page 110 - Chinois ; et on pourrait introduire un caractère universel fort populaire et meilleur que le leur si on employait de petites figures à la place des mots, qui représentassent les choses visibles par leurs traits et les invisibles par des visibles qui les accompagnent , y joignant de certaines marques additionnelles convenables pour faire entendre les flexions et les particules.
Page viii - Ainsi l'absurde et déplorable scission des « lettres » et des « sciences » ne compromet pas seulement l'avenir de la philosophie ; elle fausse son histoire et rend son passé inintelligible, en l'isolant des spéculations scientifiques où elle a toujours pris racine.
Page 92 - Il faut, disent-ils, comprendre toute chose clairement et distinctement, il faut procéder des choses simples aux composées ; il faut diviser nos pensées etc. Mais cela ne sert pas beaucoup, si on ne nous dit rien davantage.
Page 467 - Je ne vois pas assez cette conséquence. Car la généralité consiste dans la ressemblance des choses singulières entre elles, et cette ressemblance est une réalité. § 13. PH. J'allais vous dire moi-même que ces espèces sont fondées sur les ressemblances. TH. Pourquoi doue n'y point chercher aussi l'essence des genres et des espèces?
Page 218 - ... sont fondées sur le principe de contradiction et sur la possibilité ou impossibilité des essences mêmes , sans avoir égard en cela à la volonté libre de...
Page 207 - ... toute substance individuelle exprime l'univers tout entier, à sa manière, et sous un certain rapport...
Page 256 - Ainsi il ya deux veritez generales absolues c'est-à-dire qui partent de l'existence actuelle des choses ; l'une que nous pensons, l'autre qu'il ya une grande variété dans nos pensées. De la première il s'ensuit que nous sommes, de l'autre il s'ensuit qu'il ya quelque autre chose que nous c'està-dire autre chose que ce qui pense qui est la cause de la variété de nos apparences.
Page 157 - Et, quand il n'y aurait plus de livre ancien à examiner, les langues tiendront lieu de livres, et ce sont les plus anciens monuments du genre humain. On enregistrera avec le temps et mettra en dictionnaires et en grammaires toutes les langues de l'univers, et on les comparera entre elles...
Page 207 - Je n'en donnerai pour exemple que ce qu'il dit en l'article 13 : que la notion individuelle de chaque personne enferme une fois pour toutes ce qui lui arrivera à jamais, etc.

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