Histoire de la Convention nationaleBaudouin frères, 1825 - 388 pages |
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... pris diversement intérêt . Ré- server cette histoire pour un autre temps serait une injure pour la génération actuelle . Tout ce qu'on pourrait m'opposer avec quelque apparence de raison , ce serait ma qualité de dé- puté qui , m'ayant ...
... pris diversement intérêt . Ré- server cette histoire pour un autre temps serait une injure pour la génération actuelle . Tout ce qu'on pourrait m'opposer avec quelque apparence de raison , ce serait ma qualité de dé- puté qui , m'ayant ...
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... pris la plupart sur les biens communaux . La Convention nationale confirma cette exception par sa loi du 17 juillet 1793 . CHAPITRE II . Élections pour la Convention nationale . Division 28 HISTOIRE DE LA CONVENTION NATIONALE .
... pris la plupart sur les biens communaux . La Convention nationale confirma cette exception par sa loi du 17 juillet 1793 . CHAPITRE II . Élections pour la Convention nationale . Division 28 HISTOIRE DE LA CONVENTION NATIONALE .
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... pris part à la victoire des siens le 10 août , avec des députés que nous verrons s'en faire honneur dans leurs débats contre Robespierre et son parti . Nos Marseillais ne juraient donc que par Barbaroux , et il eut l'imprudence de ...
... pris part à la victoire des siens le 10 août , avec des députés que nous verrons s'en faire honneur dans leurs débats contre Robespierre et son parti . Nos Marseillais ne juraient donc que par Barbaroux , et il eut l'imprudence de ...
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... pris » dans son sein , pour qu'ils aillent , avec de l'artil- >> lerie qu'on prendra dans l'arsenal , mettre cette >> coupable bourgeoisie à la raison dans les districts >> environnans . » Cette motion fut adoptée . Dieu sait la peine ...
... pris » dans son sein , pour qu'ils aillent , avec de l'artil- >> lerie qu'on prendra dans l'arsenal , mettre cette >> coupable bourgeoisie à la raison dans les districts >> environnans . » Cette motion fut adoptée . Dieu sait la peine ...
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... plus encore des malheurs qu'elles an- nonçaient , je pris dès - lors le dessein de me tenir constamment à l'écart sous l'égide de mon silence et de ma nullité ; mais comme , dans mon 38 HISTOIRE DE LA CONVENTION NATIONALE .
... plus encore des malheurs qu'elles an- nonçaient , je pris dès - lors le dessein de me tenir constamment à l'écart sous l'égide de mon silence et de ma nullité ; mais comme , dans mon 38 HISTOIRE DE LA CONVENTION NATIONALE .
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Histoire de la Convention nationale Durand de Maillane (M., Pierre Toussaint),comte Jean-Denis Lanjuinais Affichage du livre entier - 1825 |
Histoire de la Convention nationale Pierre Toussaint Durand de Maillane Affichage du livre entier - 1825 |
Histoire de la Convention nationale Durand de Maillane (M., Pierre Toussaint),comte Jean-Denis Lanjuinais Affichage du livre entier - 1825 |
Expressions et termes fréquents
10 août accusés agens arrestation assemblées avaient avez Barbaroux barre Barrère bespierre blique citoyens clubs collègues comité de législation comité de salut comité de sûreté commissaires commission des douze commune complices conjurés conspirateurs constitution de 1791 Convention nationale corps législatif Couthon crime Danton déclaration décret d'arrestation délibérations demande dénoncés départemens députés devait discours Dumouriez émigrés ennemis envoyés événemens force armée force-armée girondins gouvernement Henriot j'ai jacobins jour jugement juin justice l'Assemblée constituante Lanjuinais liberté lois long-temps Louis XVI maire Marat massacres membres ment mesures ministre montagnards montagne mort municipalité n'avait n'était naires nation patrie patriotes Pétion pétition pièces poste prairial présente président projet proposition publique Qu'avez-vous à répondre représentans du peuple représentation nationale répu républicains république révolution Robespierre Saint-Just salle salut public sauver séance sections Septeuil sera seul sur-le-champ sûreté générale thermidor tion toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune troupes tyran vention nationale voté
Fréquemment cités
Page 141 - Dès ce moment jusqu'à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la République, tous les Français sont en réquisition permanente pour le service des armées. Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes, des habits...
Page 311 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 309 - Le peuple français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens, pouvant comparer sans cesse les actes du Gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer...
Page 310 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 141 - Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes, des habits et serviront dans les hôpitaux ; les enfants mettront le vieux linge en charpie ; les vieillards se feront porter sur les places publiques pour exciter le courage des guerriers, prêcher la haine des rois et l'unité de la République.
Page 313 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Page 311 - Tout homme peut engager ses services, son temps, mais il ne peut se vendre ni être vendu ; sa personne n'est pas une propriété aliénable.
Page 310 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 313 - L'exercice des droits de citoyen est suspendu : Par l'état d'accusation ; Par un jugement de contumace, tant que le jugement n'est pas anéanti.
Page 166 - Citoyens républicains, il est enfin arrivé ce jour à jamais fortuné que le peuple français consacre à l'Être suprême. Jamais le monde qu'il a créé ne lui offrit un spectacle aussi digne de ses regards. Il a vu régner sur la terre la tyrannie, le crime et l'imposture ; il voit dans ce moment une nation entière, aux prises avec tous les oppresseurs du genre humain, suspendre le cours de ses travaux héroïques pour élever sa pensée et ses vœux vers le grand Être qui lui donna la mission...