| Antonio Scoppa - 1812 - 610 pages
...élasticité'. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans, les intervalles des arbres...lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbre». La rivière qui coulait a mes pieds, tour. à tour ta perdait dans les bois, tour à tour... | |
| Antonio Scoppa - 1812 - 614 pages
...élasticité'. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres...lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes u'nèbres. La rivière qui coulait a mes pierts , tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1816 - 430 pages
...le jour bleuâtre et velouté «te la lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds, tour à tour se perdoit dans le bois, tour à tour reparoissoitbrillante des... | |
| Nicolas Gouin Dufief - 1823 - 634 pages
...velouté de la luue, descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumières jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes pieds, tour-à-lcur -•. perdait dans les bois, tour-à-tour reparassait toute brillante des con ittellations... | |
| Nicolas Gouin Dufief - 1825 - 628 pages
...élasticité, La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante ; le jour bleuâtre et velouté de la lune, descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumières jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes pieds,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 426 pages
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds , tour à tour se perdoit dans Je bois, tour à tour reparoissoit brillante des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 424 pages
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds , tour à tour se perdoit dans le bois , tour à tour reparoissoit brillante des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 470 pages
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds tour à tour se perdoit dans le bois , tour à tour reparoissoit brillante des... | |
| 1834 - 632 pages
...élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante ; le jour bleuâtre et velouté de la lune, descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumières jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes pieds,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1835 - 460 pages
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds tour à tour se perdoit dans le bois, tour à tour reparoissoit brillante des... | |
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