Advertissement sur les ivgemens d'astrologie |
Expressions et termes fréquents
aduenir affez Aftres Aftrologues Ainfi eft Anaxagoras ANGOULÊME apparoiftre apres auant auec auffi auiourd'huy auoient auoir veu auoit auſſi autruy beaucop cauſe cefte art cefte fcience celeftes celluy ceſte ceulx CHARENTE chofes choſes Ciel cognoiffance cognoiftre D'ASTROLOGIE d'elle d'vn chafcun defquelz deuant dict Dieu diuerfes diuine donques efcripture efprit eftant efté Eftoilles eftoit eftre eſt eſté eſtre euft eulx EUSEBE CASTAIGNE euſſiez euſt faict fans faueur fcauans fcauent fcauoir fceu fe fault fe peult feit femble feroit feulement fignes fignifications fignifiee finon foit fon liure font foubz fuperftition Galien GEMENS haulte iamais inferieures iour iufques iugemens iugement l'Aftrologie l'eftiment laiffer leſquelz loing luy mefme Medecin monftrer n'eft merueille neantmoins noftre Seigneur œuures opinion perſonnes peuuent philofophie Picus predict qu'ilz raiſon referué reprouuant RUE SAINT-HONORÉ s'eft Saint-Gelais Saturne ſes terreftre toutesfois trouuer veoir verité veüe veult voftre voſtre vray ymages
Fréquemment cités
Page 6 - rédigé par escrit d'un style fort élégant; et de« puis a esté imprimé sans nom et autheur, et a « esté mis en lumière, comme beaucoup d'autres >< de ses escrits, contre sa volonté et intention. » Cet ouvrage latin est tout à fait inconnu des bibliographes, et je pense qu'on a eu raison de ne voir dans cette indication que l'opuscule francais qui fait le sujet de la présente note.
Page 5 - Œuvres poétiques (p. 88 de l'édit. de 1574, et p. 79 del'édit. de 1719), sous le titre suivant : Sonnet mis au deuant d'un petit traitté que je fis, intitulé Aduertissement sur les iugemens d'Astrologie à vne studieuse damoiselle. Il est donc bien certain que cet opuscule est de Saint-Gelais, et c'est à tort que La Monnoye emploie la forme du doute à cet égard, dans une note du tome III de la Bibliothèque françoise de Du Verdier, p.
Page 32 - Princes, ou par fraulde (pour en faire leur proufiâ) , ou par ignorance, cuidans bien iuger, comme il n'eft rienfi ordinaire aux hommes que faillir : mais ce n'ejl pourtant à dire que le blafme, que leur donne Efaye,foit commun à tous. Car qui ne fcait que Noë, & Abraham, et les anciens Patriarches entendoient tresbien le cours des Eftoilles...
Page 33 - Dieu, non plus que les autres bejîes, qui n'ont vsage, que des fens. Doncques fainâ Paul parlant de les voir, entend, de les entendre. Ne donnent pas Philon, Lucas, & lojephe louenge à Moyfe d'auoir ejlé tresbien inftruit en toute la fcience des Egyptiens? qui...