...souvenir me navre encore au moment où j'écris.... Personne ne leur lendit la main. Ils reparurenl étrangers dans leur propre maison ; leur ombre toute...Ils voulurent revoir leurs provinces natales....; pas un seuil ne s'ouvrit à eux; le séjour leur devint bientôt insupportable. Après s'être convaincus...

...pareille avanie dans mes vieux jours ! Per« sonne ne leur tendit la main. Ils reparurent étran« gers dans leur propre maison ; leur ombre toute « seule...« pris d'autres opinions, le plus souvent toutes con« traires; ce reniement domestique, journalier, in« cessant, était un de leurs supplices. Ils...

...pareille avanie dans mes vieux jours ! Per« sonne ne leur tendit la main. Ils reparurent étran« gers dans leur propre maison ; leur ombre toute « seule...« pris d'autres opinions^ le plus souvent toutes con« traires; ce reniement domestique, journalier, in« cessant, était un de leurs supplices. Ils...

...au moment oü j'ecris (...) Ils reparurent ctrangers dans Ieur propre maison; leur ombre seule eüt fait plus de bruit; leurs enfants avaient pris d'autres opinions, le plus souvent toutes contraires."1 Ein anderes Zeugnis verdanken wir dem Revolutionshistoriker Alphonse Aulard, der l924...