Œuvres de J. J. Rousseau: avec des notes historiques, Volume 12Lefèvre, 1819 |
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... chère aux cœurs tendres et simples , il goûtoit dans sa retraite les charmes d'un amour partagé ; là , sur un sistre ... chers des rayons d'un miel doré dont elle faisoit ses délices ; tantôt dans le feuillage des oliviers il ten- doit ...
... chère aux cœurs tendres et simples , il goûtoit dans sa retraite les charmes d'un amour partagé ; là , sur un sistre ... chers des rayons d'un miel doré dont elle faisoit ses délices ; tantôt dans le feuillage des oliviers il ten- doit ...
Page 275
... chère patrie ! Quel démon dans ton sein produit la frénésie ? Souviens - toi qu'autrefois tu donnas des héros , Dont le sang t'acheta les douceurs du repos . Transportés aujourd'hui d'une soudaine rage , Aveugles citoyens , cherchez ...
... chère patrie ! Quel démon dans ton sein produit la frénésie ? Souviens - toi qu'autrefois tu donnas des héros , Dont le sang t'acheta les douceurs du repos . Transportés aujourd'hui d'une soudaine rage , Aveugles citoyens , cherchez ...
Page 276
... chère . Mais mon goût se refuse à tout frivole écrit Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit : Il a beau prodiguer la brillante antithèse , Semer partout des fleurs , chercher un tour qui plaise ; Le cœur , plus que l'esprit ...
... chère . Mais mon goût se refuse à tout frivole écrit Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit : Il a beau prodiguer la brillante antithèse , Semer partout des fleurs , chercher un tour qui plaise ; Le cœur , plus que l'esprit ...
Page 287
... chère à mon cœur ; J'aimai l'humanité , je chéris la douceur ; Et , respectant des grands le rang et la naissance ... cher Parisot , c'est ton commerce aimable , De grossier que j'étois , qui me rendit traitable : A M. PARISOT . 287.
... chère à mon cœur ; J'aimai l'humanité , je chéris la douceur ; Et , respectant des grands le rang et la naissance ... cher Parisot , c'est ton commerce aimable , De grossier que j'étois , qui me rendit traitable : A M. PARISOT . 287.
Page 325
... la guidant pour trouver les choses par elle - même plutôt qu'en les lui apprenant . Bonjour , chère cousine ; si tout ce fatras vous convient , je suis à vos ordres . ་ m m LETTRE II . Du 18 octobre 1771 . SUR LA BOTANIQUE . 325.
... la guidant pour trouver les choses par elle - même plutôt qu'en les lui apprenant . Bonjour , chère cousine ; si tout ce fatras vous convient , je suis à vos ordres . ་ m m LETTRE II . Du 18 octobre 1771 . SUR LA BOTANIQUE . 325.
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Expressions et termes fréquents
anthères assez auroit avez avoient avoit ayant Benjamin Bernex bonté botanique Cælius calice charmes chère cousine chevaliers romains chose Claude cœur cohortes connoissance connoître corolle crucifères d'Othon demi-fleurons disc disque donner enfans envoyer espèce étamines étoient étoit eût faisoit famille fécondation feuilles fille fleur composée fleurons folioles fructification fruit Galba genres germe goût graines guerre Helvétius herbier herborisations hermaphrodites homme j'ai j'avois j'en j'étois jamais jeune jour l'autre laisse légion LETTRE liliacées Linnæus livres long-temps m'en madame de Warens madame la duchesse ment monopétale monsieur n'ai n'étoit Néron ombelle ombellifères Othon papier parler paroît pédicule peine père péricarpe pétales petite peuple Pison pistil plaisir plaisirs plantes Pontedera porte pourrois pouvoit premier prendre presque prince qu'un quelquefois racine raison réceptacle reste rien Rousseau savoir semences sénat sentimens sentir seroit seule silique soins soldats sorte terre tige tion troupes trouve végétal vertus Vindex Vinius Vitellius Voilà yeux
Fréquemment cités
Page 443 - Pauvres aveugles que nous sommes ! Ciel, démasque les imposteurs, Et force leurs barbares cœurs A s'ouvrir aux regards des hommes...
Page 275 - M'apprennent à penser , ouvrir les yeux , et voir. Quelquefois , descendant de ces vastes lumières , Des difïerens mortels je suis les caractères. Quelquefois, m'amusant jusqu'à la fiction, Télémaque et Séthos me donnent leur leçon ; Ou bien dans Cléveland j'observe la nature, Qui se montre à mes yeux touchante et toujours pure.
Page 276 - Et vous , trop doux La Mothe , et toi , touchant Voltaire , Ta lecture à mon cœur restera toujours chère. Mais mon goût se refuse à tout frivole écrit Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit : II a beau prodiguer la brillante antithèse, Semer partout des fleurs , chercher un tour qui plaise ; Le cœur, plus que l'esprit, a chez moi des besoins, Et , s'il n'est attendri , rebute tous ces soins.
Page 276 - Barclai , Et vous , trop doux La Mothe, et toi , touchant Voltaire , Ta lecture à mon cœur restera toujours chère. Mais mon goût se refuse à tout frivole écrit Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit...
Page 312 - Ci-gisent deux amants : l'un pour l'autre ils vécurent : L'un pour l'autre ils sont morts , et les lois en murmurent. La simple piété n'y trouve qu'un forfait; Le sentiment admire, et la raison se tait.
Page 304 - Qu'à m'égarer dans ces bocages Mon cœur goûte de voluptés! Que je me plais sous ces ombrages ! Que j'aime ces flots argentés ! Douce et charmante rêverie, Solitude aimable et chérie, Puissiez-vous toujours me charmer!
Page 283 - Que n'en ai-je appris l'art dès mes plus jeunes ans ! Mais sur d'autres leçons on forma ma jeunesse. On me dit de remplir mes devoirs sans bassesse, De respecter les grands , les magistrats , les rois , De chérir les humains , et d'obéir aux lois : Mais on m'apprit aussi qu'ayant par ma naissance Le droit de partager la suprême puissance, Tout petit que j'étois, foible, obscur citoyen, Je faisois cependant membre du souverain j Qu'il falloit soutenir un si...
Page 60 - ... je puis dire également , je juge ou je sens que , de deux objets , l'un . que j'appelle toise , fait sur moi une impression différente de celui que j'appelle pied; que la couleur que je nomme rouge agit sur mes yeux différemment de celle que je nomme jaune; et j'en conclus qu'en pareil cas juger n'est jamais que sentir.
Page 59 - ... consiste à comparer et nos sensations et nos » idées , c'est-à-dire à voir les ressemblances et les » différences, les convenances et les disconvenances » qu'elles ont entre elles. Or, comme le jugement » n'est que cette apercevance elle-même, ou du moins » que le prononcé de cette apercevance , il s'ensuit » que toutes les opérations de l'esprit se réduisent
Page 314 - Cherchons-là dans le cœur des hommes. Dans ces regrets trop superflus, Qui disent dans ce que nous sommes Tout ce que nous ne sommes plus...