Œuvres de J. J. Rousseau: avec des notes historiques, Volume 12Lefèvre, 1819 |
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... cour- bure , et non l'éloignement du centre , qui influe sur la longueur des degrés d'élévation du pôle . Puis donc que votre raisonnement n'a de justesse qu'autant que vous supposez que la terre est sphérique , j'ai été en droit de ...
... cour- bure , et non l'éloignement du centre , qui influe sur la longueur des degrés d'élévation du pôle . Puis donc que votre raisonnement n'a de justesse qu'autant que vous supposez que la terre est sphérique , j'ai été en droit de ...
Page 48
... cour . Madame de Warens fut du nombre ; et cette dame , qu'un pur motif de curiosité avoit amenée , fut retenue par des motifs d'un genre supérieur , et qui n'en furent pas moins efficaces pour avoir été moins prévus . Ayant assisté par ...
... cour . Madame de Warens fut du nombre ; et cette dame , qu'un pur motif de curiosité avoit amenée , fut retenue par des motifs d'un genre supérieur , et qui n'en furent pas moins efficaces pour avoir été moins prévus . Ayant assisté par ...
Page 49
... cour . Ce projet insensé , fruit ordinaire d'un zèle fanatique , parvint aux oreilles de sa majesté ; et ce fut à cette occasion qu'elle fit à M. de Bernex cette espèce de reproche si glorieux , qu'il faisoit des con- versions bien ...
... cour . Ce projet insensé , fruit ordinaire d'un zèle fanatique , parvint aux oreilles de sa majesté ; et ce fut à cette occasion qu'elle fit à M. de Bernex cette espèce de reproche si glorieux , qu'il faisoit des con- versions bien ...
Page 52
... cour de cette maison , avec une telle violence , que ce four , qui contenoit un bâtiment assez grand , entièrement plein de fascines et de bois sec , fut bientôt embrasé . Le feu , porté par un vent impétueux , s'attacha au toit de la ...
... cour de cette maison , avec une telle violence , que ce four , qui contenoit un bâtiment assez grand , entièrement plein de fascines et de bois sec , fut bientôt embrasé . Le feu , porté par un vent impétueux , s'attacha au toit de la ...
Page 80
... cour , il passoit pour un fou . A cela près , il ne man- quoit pas de mérite : aussi s'appeloit - il Phénix . Si ce prince étoit extraordinaire , il avoit une femme qui l'étoit moins . Vive , étourdie , capricieuse , folle par la tête ...
... cour , il passoit pour un fou . A cela près , il ne man- quoit pas de mérite : aussi s'appeloit - il Phénix . Si ce prince étoit extraordinaire , il avoit une femme qui l'étoit moins . Vive , étourdie , capricieuse , folle par la tête ...
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Expressions et termes fréquents
anthères assez auroit avez avoient avoit ayant Benjamin Bernex bonté botanique Cælius calice charmes chère cousine chevaliers romains chose Claude cœur cohortes connoissance connoître corolle crucifères d'Othon demi-fleurons disc disque donner enfans envoyer espèce étamines étoient étoit eût faisoit famille fécondation feuilles fille fleur composée fleurons folioles fructification fruit Galba genres germe goût graines guerre Helvétius herbier herborisations hermaphrodites homme j'ai j'avois j'en j'étois jamais jeune jour l'autre laisse légion LETTRE liliacées Linnæus livres long-temps m'en madame de Warens madame la duchesse ment monopétale monsieur n'ai n'étoit Néron ombelle ombellifères Othon papier parler paroît pédicule peine père péricarpe pétales petite peuple Pison pistil plaisir plaisirs plantes Pontedera porte pourrois pouvoit premier prendre presque prince qu'un quelquefois racine raison réceptacle reste rien Rousseau savoir semences sénat sentimens sentir seroit seule silique soins soldats sorte terre tige tion troupes trouve végétal vertus Vindex Vinius Vitellius Voilà yeux
Fréquemment cités
Page 443 - Pauvres aveugles que nous sommes ! Ciel, démasque les imposteurs, Et force leurs barbares cœurs A s'ouvrir aux regards des hommes...
Page 275 - M'apprennent à penser , ouvrir les yeux , et voir. Quelquefois , descendant de ces vastes lumières , Des difïerens mortels je suis les caractères. Quelquefois, m'amusant jusqu'à la fiction, Télémaque et Séthos me donnent leur leçon ; Ou bien dans Cléveland j'observe la nature, Qui se montre à mes yeux touchante et toujours pure.
Page 276 - Et vous , trop doux La Mothe , et toi , touchant Voltaire , Ta lecture à mon cœur restera toujours chère. Mais mon goût se refuse à tout frivole écrit Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit : II a beau prodiguer la brillante antithèse, Semer partout des fleurs , chercher un tour qui plaise ; Le cœur, plus que l'esprit, a chez moi des besoins, Et , s'il n'est attendri , rebute tous ces soins.
Page 276 - Barclai , Et vous , trop doux La Mothe, et toi , touchant Voltaire , Ta lecture à mon cœur restera toujours chère. Mais mon goût se refuse à tout frivole écrit Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit...
Page 312 - Ci-gisent deux amants : l'un pour l'autre ils vécurent : L'un pour l'autre ils sont morts , et les lois en murmurent. La simple piété n'y trouve qu'un forfait; Le sentiment admire, et la raison se tait.
Page 304 - Qu'à m'égarer dans ces bocages Mon cœur goûte de voluptés! Que je me plais sous ces ombrages ! Que j'aime ces flots argentés ! Douce et charmante rêverie, Solitude aimable et chérie, Puissiez-vous toujours me charmer!
Page 283 - Que n'en ai-je appris l'art dès mes plus jeunes ans ! Mais sur d'autres leçons on forma ma jeunesse. On me dit de remplir mes devoirs sans bassesse, De respecter les grands , les magistrats , les rois , De chérir les humains , et d'obéir aux lois : Mais on m'apprit aussi qu'ayant par ma naissance Le droit de partager la suprême puissance, Tout petit que j'étois, foible, obscur citoyen, Je faisois cependant membre du souverain j Qu'il falloit soutenir un si...
Page 60 - ... je puis dire également , je juge ou je sens que , de deux objets , l'un . que j'appelle toise , fait sur moi une impression différente de celui que j'appelle pied; que la couleur que je nomme rouge agit sur mes yeux différemment de celle que je nomme jaune; et j'en conclus qu'en pareil cas juger n'est jamais que sentir.
Page 59 - ... consiste à comparer et nos sensations et nos » idées , c'est-à-dire à voir les ressemblances et les » différences, les convenances et les disconvenances » qu'elles ont entre elles. Or, comme le jugement » n'est que cette apercevance elle-même, ou du moins » que le prononcé de cette apercevance , il s'ensuit » que toutes les opérations de l'esprit se réduisent
Page 314 - Cherchons-là dans le cœur des hommes. Dans ces regrets trop superflus, Qui disent dans ce que nous sommes Tout ce que nous ne sommes plus...