Œuvres de J. J. Rousseau: avec des notes historiques, Volume 12Lefèvre, 1819 |
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... j'ai cru que , pour cela , mon premier objet devoit être de bien connoître les sujets auxquels j'aurai affaire . C'est à quoi j'ai principalement employé le temps qu'il y a que j'ai l'honneur d'être dans votre maison ; et je crois d ...
... j'ai cru que , pour cela , mon premier objet devoit être de bien connoître les sujets auxquels j'aurai affaire . C'est à quoi j'ai principalement employé le temps qu'il y a que j'ai l'honneur d'être dans votre maison ; et je crois d ...
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... que cette voie de le réduire ; et j'ose me pro- mettre d'obtenir désormais de lui tout ce qu'on aura lieu d'en exiger , par des voies moins dures et plus . convenables , si vous goûtez le plan que j'ai l'hon- D'ÉDUCATION . 5.
... que cette voie de le réduire ; et j'ose me pro- mettre d'obtenir désormais de lui tout ce qu'on aura lieu d'en exiger , par des voies moins dures et plus . convenables , si vous goûtez le plan que j'ai l'hon- D'ÉDUCATION . 5.
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... j'ai l'hon- neur de vous proposer . D'ailleurs , à parler franche- ment , si vous pensez , monsieur , qu'il y eût de l'igno- minie à monsieur votre fils d'être frappé par des mains étrangères , je trouve aussi de mon côté qu'un honnête ...
... j'ai l'hon- neur de vous proposer . D'ailleurs , à parler franche- ment , si vous pensez , monsieur , qu'il y eût de l'igno- minie à monsieur votre fils d'être frappé par des mains étrangères , je trouve aussi de mon côté qu'un honnête ...
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... j'ai pris de m'attacher sans réserve à votre maison dans une occasion délicate , j'aie prétendu vous engager vous - même en aucune manière . Il y a bien de la différence entre nous en faisant mon devoir autant que vous m'en laisserez la ...
... j'ai pris de m'attacher sans réserve à votre maison dans une occasion délicate , j'aie prétendu vous engager vous - même en aucune manière . Il y a bien de la différence entre nous en faisant mon devoir autant que vous m'en laisserez la ...
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... J'ai donc lieu de penser que tant que vous me souffrez dans votre maison vous n'avez pas trouvé en moi de quoi effacer l'estime dont vous m'aviez honoré . Il est vrai , monsieur , que je pourrois me plaindre que , dans les occasions où j'ai ...
... J'ai donc lieu de penser que tant que vous me souffrez dans votre maison vous n'avez pas trouvé en moi de quoi effacer l'estime dont vous m'aviez honoré . Il est vrai , monsieur , que je pourrois me plaindre que , dans les occasions où j'ai ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 443 - Pauvres aveugles que nous sommes ! Ciel, démasque les imposteurs, Et force leurs barbares cœurs A s'ouvrir aux regards des hommes...
Page 275 - M'apprennent à penser , ouvrir les yeux , et voir. Quelquefois , descendant de ces vastes lumières , Des difïerens mortels je suis les caractères. Quelquefois, m'amusant jusqu'à la fiction, Télémaque et Séthos me donnent leur leçon ; Ou bien dans Cléveland j'observe la nature, Qui se montre à mes yeux touchante et toujours pure.
Page 276 - Et vous , trop doux La Mothe , et toi , touchant Voltaire , Ta lecture à mon cœur restera toujours chère. Mais mon goût se refuse à tout frivole écrit Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit : II a beau prodiguer la brillante antithèse, Semer partout des fleurs , chercher un tour qui plaise ; Le cœur, plus que l'esprit, a chez moi des besoins, Et , s'il n'est attendri , rebute tous ces soins.
Page 276 - Barclai , Et vous , trop doux La Mothe, et toi , touchant Voltaire , Ta lecture à mon cœur restera toujours chère. Mais mon goût se refuse à tout frivole écrit Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit...
Page 312 - Ci-gisent deux amants : l'un pour l'autre ils vécurent : L'un pour l'autre ils sont morts , et les lois en murmurent. La simple piété n'y trouve qu'un forfait; Le sentiment admire, et la raison se tait.
Page 304 - Qu'à m'égarer dans ces bocages Mon cœur goûte de voluptés! Que je me plais sous ces ombrages ! Que j'aime ces flots argentés ! Douce et charmante rêverie, Solitude aimable et chérie, Puissiez-vous toujours me charmer!
Page 283 - Que n'en ai-je appris l'art dès mes plus jeunes ans ! Mais sur d'autres leçons on forma ma jeunesse. On me dit de remplir mes devoirs sans bassesse, De respecter les grands , les magistrats , les rois , De chérir les humains , et d'obéir aux lois : Mais on m'apprit aussi qu'ayant par ma naissance Le droit de partager la suprême puissance, Tout petit que j'étois, foible, obscur citoyen, Je faisois cependant membre du souverain j Qu'il falloit soutenir un si...
Page 60 - ... je puis dire également , je juge ou je sens que , de deux objets , l'un . que j'appelle toise , fait sur moi une impression différente de celui que j'appelle pied; que la couleur que je nomme rouge agit sur mes yeux différemment de celle que je nomme jaune; et j'en conclus qu'en pareil cas juger n'est jamais que sentir.
Page 59 - ... consiste à comparer et nos sensations et nos » idées , c'est-à-dire à voir les ressemblances et les » différences, les convenances et les disconvenances » qu'elles ont entre elles. Or, comme le jugement » n'est que cette apercevance elle-même, ou du moins » que le prononcé de cette apercevance , il s'ensuit » que toutes les opérations de l'esprit se réduisent
Page 314 - Cherchons-là dans le cœur des hommes. Dans ces regrets trop superflus, Qui disent dans ce que nous sommes Tout ce que nous ne sommes plus...