Œuvres de J. J. Rousseau: avec des notes historiques, Volume 12Lefèvre, 1819 |
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... pris de m'attacher sans réserve à votre maison dans une occasion délicate , j'aie prétendu vous engager vous - même en aucune manière . Il y a bien de la différence entre nous en faisant mon devoir autant que vous m'en laisserez la ...
... pris de m'attacher sans réserve à votre maison dans une occasion délicate , j'aie prétendu vous engager vous - même en aucune manière . Il y a bien de la différence entre nous en faisant mon devoir autant que vous m'en laisserez la ...
Page 12
... pris la peine de me prescrire en particulier . Voilà , monsieur , les préliminaires qui me parois- sent indispensables pour s'assurer les soins que que je donnerai à M. votre fils ne seront pas des soins perdus . Je vais maintenant ...
... pris la peine de me prescrire en particulier . Voilà , monsieur , les préliminaires qui me parois- sent indispensables pour s'assurer les soins que que je donnerai à M. votre fils ne seront pas des soins perdus . Je vais maintenant ...
Page 21
... pris en badinant avec ses frères et sa sœur , qui fait qu'il ne peut souffrir qu'on l'en distraie un instant , et qu'il prend en aversion tout ce qui produit cet effet ; car d'ailleurs je me suis convaincu qu'il n'a nulle haine pour l ...
... pris en badinant avec ses frères et sa sœur , qui fait qu'il ne peut souffrir qu'on l'en distraie un instant , et qu'il prend en aversion tout ce qui produit cet effet ; car d'ailleurs je me suis convaincu qu'il n'a nulle haine pour l ...
Page 30
... pris pour le précis des observations de ces grands hommes n'étoit effectivement qu'une conjecture ha- sardée peut - être un peu hors de propos . Je ne pré- tends pas pour cela avilir ce que votre mémoire con- tient d'ingénieux ; mais ...
... pris pour le précis des observations de ces grands hommes n'étoit effectivement qu'une conjecture ha- sardée peut - être un peu hors de propos . Je ne pré- tends pas pour cela avilir ce que votre mémoire con- tient d'ingénieux ; mais ...
Page 35
... pris à la rigueur est évidemment faux ; mais qui nous répondra que , la terre une fois dé- montrée oblongue par de constantes observations , quelque physicien plus subtil et plus hardi que moi n'adopteroit pas quelque hypothèse ...
... pris à la rigueur est évidemment faux ; mais qui nous répondra que , la terre une fois dé- montrée oblongue par de constantes observations , quelque physicien plus subtil et plus hardi que moi n'adopteroit pas quelque hypothèse ...
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Œuvres de J. J. Rousseau: avec des notes historiques, Volume 12 Jean-Jacques Rousseau Affichage du livre entier - 1819 |
Expressions et termes fréquents
anthères assez auroit avez avoient avoit ayant Benjamin Bernex bonté botanique Cælius calice charmes chère cousine chevaliers romains chose Claude cœur cohortes connoissance connoître corolle crucifères d'Othon demi-fleurons disc disque donner enfans envoyer espèce étamines étoient étoit eût faisoit famille fécondation feuilles fille fleur composée fleurons folioles fructification fruit Galba genres germe goût graines guerre Helvétius herbier herborisations hermaphrodites homme j'ai j'avois j'en j'étois jamais jeune jour l'autre laisse légion LETTRE liliacées Linnæus livres long-temps m'en madame de Warens madame la duchesse ment monopétale monsieur n'ai n'étoit Néron ombelle ombellifères Othon papier parler paroît pédicule peine père péricarpe pétales petite peuple Pison pistil plaisir plaisirs plantes Pontedera porte pourrois pouvoit premier prendre presque prince qu'un quelquefois racine raison réceptacle reste rien Rousseau savoir semences sénat sentimens sentir seroit seule silique soins soldats sorte terre tige tion troupes trouve végétal vertus Vindex Vinius Vitellius Voilà yeux
Fréquemment cités
Page 443 - Pauvres aveugles que nous sommes ! Ciel, démasque les imposteurs, Et force leurs barbares cœurs A s'ouvrir aux regards des hommes...
Page 275 - M'apprennent à penser , ouvrir les yeux , et voir. Quelquefois , descendant de ces vastes lumières , Des difïerens mortels je suis les caractères. Quelquefois, m'amusant jusqu'à la fiction, Télémaque et Séthos me donnent leur leçon ; Ou bien dans Cléveland j'observe la nature, Qui se montre à mes yeux touchante et toujours pure.
Page 276 - Et vous , trop doux La Mothe , et toi , touchant Voltaire , Ta lecture à mon cœur restera toujours chère. Mais mon goût se refuse à tout frivole écrit Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit : II a beau prodiguer la brillante antithèse, Semer partout des fleurs , chercher un tour qui plaise ; Le cœur, plus que l'esprit, a chez moi des besoins, Et , s'il n'est attendri , rebute tous ces soins.
Page 276 - Barclai , Et vous , trop doux La Mothe, et toi , touchant Voltaire , Ta lecture à mon cœur restera toujours chère. Mais mon goût se refuse à tout frivole écrit Dont l'auteur n'a pour but que d'amuser l'esprit...
Page 312 - Ci-gisent deux amants : l'un pour l'autre ils vécurent : L'un pour l'autre ils sont morts , et les lois en murmurent. La simple piété n'y trouve qu'un forfait; Le sentiment admire, et la raison se tait.
Page 304 - Qu'à m'égarer dans ces bocages Mon cœur goûte de voluptés! Que je me plais sous ces ombrages ! Que j'aime ces flots argentés ! Douce et charmante rêverie, Solitude aimable et chérie, Puissiez-vous toujours me charmer!
Page 283 - Que n'en ai-je appris l'art dès mes plus jeunes ans ! Mais sur d'autres leçons on forma ma jeunesse. On me dit de remplir mes devoirs sans bassesse, De respecter les grands , les magistrats , les rois , De chérir les humains , et d'obéir aux lois : Mais on m'apprit aussi qu'ayant par ma naissance Le droit de partager la suprême puissance, Tout petit que j'étois, foible, obscur citoyen, Je faisois cependant membre du souverain j Qu'il falloit soutenir un si...
Page 60 - ... je puis dire également , je juge ou je sens que , de deux objets , l'un . que j'appelle toise , fait sur moi une impression différente de celui que j'appelle pied; que la couleur que je nomme rouge agit sur mes yeux différemment de celle que je nomme jaune; et j'en conclus qu'en pareil cas juger n'est jamais que sentir.
Page 59 - ... consiste à comparer et nos sensations et nos » idées , c'est-à-dire à voir les ressemblances et les » différences, les convenances et les disconvenances » qu'elles ont entre elles. Or, comme le jugement » n'est que cette apercevance elle-même, ou du moins » que le prononcé de cette apercevance , il s'ensuit » que toutes les opérations de l'esprit se réduisent
Page 314 - Cherchons-là dans le cœur des hommes. Dans ces regrets trop superflus, Qui disent dans ce que nous sommes Tout ce que nous ne sommes plus...