... un effet de son peu de tendresse pour moi ; mais je n'eus que trop de moyens de m'apercevoir de mon erreur, et la folle passion qu'elle eut peu de temps après pour le comte de Guiche fit trop de bruit pour me laisser dans cette tranquillité apparente.... Critiques et portraits littéraires - Page 187de Charles Augustin Sainte-Beuve - 1836Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Léonor-Jean-Christine Soulas d' Allainval - 1822 - 406 pages
...de tendresse pour moi ; mais je n'eus que trop de moyens de m'apercevoir de mon erreur, et la forte passion qu'elle eut peu de temps après pour le comte...connaissance que j'en eus pour me vaincre moi-même, dans l'impossibilité que je trouvai à la changer; je me servis pour cela de toutes les forces de mon esprit... | |
| 1822 - 420 pages
...ridicule dans un mari , et j'attribuai à son humeur ce qui était un effet de son peu de tendresse pour moi ; mais je n'eus que trop de moyens de m'apercevoir de mon erreur, et la forte passion qu'elle eut peu de temps après pour le comte de Guiche fit trop de bruit pour me laisser... | |
| Léonor-Jean-Christine Soulas d' Allainval - 1822 - 406 pages
...ridicule dans un mari , et j'attribuai à sou humeur ce qui était un effet de son peu de tendresse pour moi ; mais je n'eus que trop de moyens de m'apercevoir de mon erreur, et la forte passion qu'elle eut peu de temps après pour le comte de Guiche fit trop de bruit pour me laisser... | |
| Jules-Antoine Taschereau - 1825 - 466 pages
...» que trop de moyens de me convaincre de mon » erreur ; et la folle passion qu'elle eut quelque » temps après pour le comte de Guiche , fit trop »...» apparente. Je n'épargnai rien , à la première con» naissance que j'en eus, pour me vaincre moi• même dans l'impossibilité que je trouvai à... | |
| Jules-Antoine Taschereau - 1828 - 472 pages
...Je n'eus que trop de moyens de me convaincre de mon erreur; et la folle passion qu'elle eut quelque temps après pour le comte de Guiche fit trop de bruit...connaissance que j'en eus, pour me vaincre moi-même, dans l'impossibilité que je trouvai à la changer; je me servis pour cela de toutes les forces de mon esprit;... | |
| Jules-Antoine Taschereau - 1828 - 484 pages
...Je n'eus que trop de moyens de me convaincre de mon erreur; et la folle passion qu'elle eut quelque temps après pour le comte de Guiche fit trop de bruit...connaissance que j'en eus, pour me vaincre moi-même, dans l'impossibilité que je trouvai à la changer ; je me servis pour cela de toutes les forces de mon... | |
| Molière - 1835 - 782 pages
...à son humeur ce qui étoit un effet de son peu de tendresse pour moi. Mais je n'eus que trop île moyens de m'apercevoir de mon erreur, et la folle...Guiche, fit trop de bruit pour me laisser dans cette tran« quillité apparente. Je n'épargnai rien , à la première connoissance que « j'en eus, pour... | |
| Molière - 1835 - 828 pages
...ridicule dans un mari , et j'attribuai à sou humeur ce qui étoit un effet de son peu de tendresse pour moi. Mais je n'eus que trop de moyens de m'apercevoir de mon erreur, et lu folle passion qu'elle eut, peu de temps après, pour « le comte de Guiche, fit trop de bruit pour... | |
| Molière - 1837 - 674 pages
...un » effet de son peu de tendresse pour moi ; mais je n'eus que trop de moyens de » m'apereevoir de mon erreur ; et la folle passion qu'elle eut peu de temps après » pour le comte de Guiehe fit trop de bruit pour me laisser dans cetie tranquillité » apparente. Je n'épargnai rien... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1841 - 618 pages
...« ridicule dans un mari, et j'attribuai à son hu« meur ce qui était un effet de son peu de tene< dresse pour moi. Mais je n'eus que trop de «• moyens...me laisser dans cette tranquillité apparente. Je x n'épargnai rien, à la première connaissance que « j'en eus, pour me vaincre moi-même, dans l'im«•... | |
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