Revue historique et archéologique du Maine, Volume 10

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Imprimerie Monnoyer, 1881
 

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Fréquemment cités

Page 144 - Thenon, chevalier de l'ordre du Roi, gentilhomme ordinaire de sa chambre, capitaine de cinquante hommes d'armes...
Page 203 - Le feuillage, animé d'un vent délicieux, Joint au chant des oiseaux sa tremblante musique; Ce parterre de fleurs, par un secret magique, Semble avoir dérobé les étoiles des cieux.
Page 220 - ... extrêmement foible depuis quinze jours en la mutation de l'automne à l'hyver, qu'il estoit devenu fort maigre et qu'il avoit peur de s'en aller avec les feuilles...
Page 13 - Si donnons en mandement à nos amés et féaux conseillers les gens tenant notre cour de parlement à Paris , que...
Page 192 - J'ay mon bréviaire au poing, je chante quelquefois, Mais c'eSt bien rarement, car j'ay mauvaise vois; Le devoir du service en rien je n'abandonne, Je suis à Prime, à Sexte et à Tierce et à Nonne, J'oy dire la grand...
Page 213 - ... et si ingrat. Les Sonnets d'État, longtemps inédits ou anonymes, constituent sans doute la meilleure part de cet héritage satirique, dont il avait cru devoir par dépit, selon Binet, priver ses contemporains et la postérité : ils offrent une page intéressante de la vie et des œuvres de Ronsard, et forment la contre-partie de cette poésie courtisanesque représentée par les Desportes et les Belleau. Avant le grand déchaînement de la Ligue, c'est le cri ou plutôt le murmure de l'opposition...
Page 221 - Auquel, ainsy qu'il luy eust demandé de quelle résolution il vouloit mourir, il répondit assez aigrement en ceste sorte : Qui vous fait dire cela, mon bon amy ? Doutez-vous de ma volonté? Je veux mourir en la Religion Catholique comme mes ayeulx, bisayeulx, trisayeulx et comme l'ay tesmoigné assez par mes escrits.
Page 197 - Qui m'eust, en m'embarquant sur la poupe, juré Que, changeant mon espée aux armes bien apprise, J'eusse pris le bonnet des Pasteurs de l'Église, Je ne l'eusse pas creu : et me l'eust dit Phœbus, J'eusse dit son Trépied et luy n'estre qu'abus : Car j'avois tout le cœur...
Page 194 - Qui donnoit aux premiers les vaquans bénéfices. Qui l'Eglise de Dieu d'ignorans farcissoit, Qui de larrons privez les Palais remplissoit, Est cause de ce mal; il ne faut qu'un jeune homme Soit Evesque, ou Abbé, ou Cardinal de Romme, II faut bien le choisir avant que luy donner Une mitre, et pasteur des peuples l'ordonner.
Page 192 - D'une haumusse le bras, d'une chape le dos, Et non, comme tu dis, faite de croix et d'os : Cest pour un capelan, la mienne est honorée De grandes boucles d'or et de frange dorée...

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