Histoire des comtes de Poictou et ducs de Guyenne; contenant ce qui s'est passé de plus memorable en France, depuis l'an 811 jusques au roi Louis le Ieune [ed. by J. Besly the younger1840 |
Expressions et termes fréquents
aage abbé advis Agnès aisné Alduin Alfonse Aliénor archevesque autheur avoient avoit esté Aymar Bernard bert Boson Bourdeaux Bourges Bourgongne cause ceste CHAPITRE Charles Charles le Chauve Charles-Magne chartre chasteau Chauve Chron chronique comte d'Anjou comte d'Arles comte d'Auvergne comte de Poictiers comte de Tolose d'Aliénor d'Italie déceds droict duc de Guyenne duc Guillaume duché duchesse Ebles enfans escrit espousa estant estoient estoit estre Eudes eust évesque de Poictiers femme fiefs fille fils aisné Fouques François frère fust Gascongne Geofroy germain guerre Guillaume IV Henry Hiérusalem Hugues Japhe jusques l'abbaye l'an l'église l'évesque Lezignem Limoges Lothaire Louys Mahaut Maillezais maison mariage Martel monastère monstre mourut n'estoit néantmoins nommé Normans oncle païs pape Pépin père Poictou pourquoy prince puisné quoy Raimond Ranulfe Raoul religieux Renaud roy Louis roy Robert royaume sacre sainct Sainct-Hilaire Sainct-Jean seigneurs siége sœur surnommé tesmoignage tesmoigne tiltre Toutesfois vicomte vicomte de Béarn vray
Fréquemment cités
Page 118 - Herbert, et à cet eiïect lui assigna jour en la ville de Saintes, où le manceau et sa femme allèrent à la bonne foy; mais Herbert n'eut pas plustost mis le pied dans le capitole (le chasteau de Saintes s'appelloit ainsi, comme aussi plusieurs autres villes que Saintes avoient des capitoles) *, l'angevin se saisit de lui en trahison, le premier dimanche de caresme de l'an 1032. Hildegarde, femme de Foulques, non moins lasche et déloyale que luy, pensoit surprendre la comtesse de Maine avant...
Page 91 - ... d'une si brave résolution jugèrent avoir plus besoin d'artifices que de forces pour se desgager d'un pas si dangereux. Tellement que toute la nuit à leur mode accoustumée ils creusèrent des fossez et trenchées qu'ils couvrirent dextrément avec des brossailles et gazons par dessus.
Page 5 - Mais quand je considère mon .âge si advancé (72 ans) et mes continuelles infirmiez, je juge que je n'auray jamais ce contentement entier, et croy que ce me sera beaucoup d'y pouvoir mettre la dernière main ; espérant que mon fils, après ma mort, satisfera à ce que je promets, en prenant l'advis de mes bons et anciens amis. » quoy j'ay travaillé depuis plus de six ans. Les héritiers ont un thrésor qui ne se peust estimer. Je croy qu'on pourroit avoir cela à prix raisonnable, veu qu'aucun...
Page 119 - Fouqucs refroidy pour cette évasion de crainte des seigneurs du païs et de la comtesse, n'osa pas exécuter sa résolution de faire mourir Herbert. Toutefois...
Page 91 - ... principaux de la noblesse, ne fussent impiteusement « massacrés à la chaude, entre la peur et le désespoir des « ennemis. La nuit venue, avec le reflus de la marée, « incontinent que les vaisseaux se trouvèrent à flots, les « payens levèrent l'ancre, et gagnant le haut, se garan« tirent pour cette fois et désormais donnèrent patience à « la Guyenne, où depuis ils n'osèrent plus retourner.
Page 117 - Martel n'eusl tenu le comté d'Anjou après » son père, sinon par force et usurpation, ce qui n'est pas croyable, » et un seul ne se trouve qui le die; car Maurice laissa un fils, appelé » Geoffroi , du nom de son aïeul (Geoffroi-Grisegonelle) , lequel vcs» quit longtemps après la mort de Maurice , son père , durant que » Martel administrait le comté...
Page 83 - Guyenne ; encore seroit-il mal aisé de fournir des exemples de cet hommage et sujection , avant l'alliance de Brisque , n'ayant point mémoire d'en avoir leu aucun soit en histoire ou en charlre. » ( Page 59.) de l'hi.sloirc de Bordeaux, que je l'avais allribué aux ducs de Gasco-.
Page 4 - ... public, et qui puisse profiter. (L. du 3 sept. 1633.) Mais Besly voulut traiter trop de sujets divers, et il avait usé la moitié de sa vie à rédiger, pour ses amis, des Mémoires et des observations critiques, qui leur servirent si puissamment à perfectionner leurs ouvrages. « Je les ay guidez dans leurs desseins, et faict part du talent qu'il a pieu à Dieu me départir, et par ce moyen faict passage à la publication de leurs histoires, à quoy (l'on me permettra de le dire) ils ne fussent...
Page 88 - Parthenay (2) a pour droit la coupe d'argent dont il sert comme « eschançon pour le premier traict: il a aussi les nappes de la grande &
Page 9 - Mallobergiura, de laquelle relèvent tous les fiefs capitaux de la province , s'appelle cncores aujourd'huy Maubergeon, par une diction un peu fléchie et accommodée à nostre langue. — Besly*, c. \. 1 C'était de ce côté-ci du Rhin (la rive droite) qu'avait pris son...