Les oeuvres de monsieur de Moliere, Volume 6par la Compagnie des Librairies, 1718 - 285 pages |
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... fille d'Argante . HIACINTE , Fille de Geronte . SCAPIN , Valet d'Octave , & Fourbe . SILVESTRE , Valet de Leandre . NERINE , Nourrice de Hiacinte . CARLE , Fourbe , DEUX PORTEURS . La Scene eft à Naples . 2 LES FOURBERIES DE SCAPIN ...
... fille d'Argante . HIACINTE , Fille de Geronte . SCAPIN , Valet d'Octave , & Fourbe . SILVESTRE , Valet de Leandre . NERINE , Nourrice de Hiacinte . CARLE , Fourbe , DEUX PORTEURS . La Scene eft à Naples . 2 LES FOURBERIES DE SCAPIN ...
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... fille du Seigneur Geronte ? SILVESTRE , Da Seigneur Geronte . OCTAVE . ' Et que cette fille eft mandée de Tarente icy pour cela . Oui , SILVESTRE , i OCTA VE . Et tu tiens ces nouvelles de mon oncle . SILVESTRE . De vôtre oncle . OCTAVE ...
... fille du Seigneur Geronte ? SILVESTRE , Da Seigneur Geronte . OCTAVE . ' Et que cette fille eft mandée de Tarente icy pour cela . Oui , SILVESTRE , i OCTA VE . Et tu tiens ces nouvelles de mon oncle . SILVESTRE . De vôtre oncle . OCTAVE ...
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... fille que je trouvai belle à la verité , mais non pas tant qu'il vouloit que je la trouval- fe . Il ne m'entretenoit que d'elle chaque jour , m'exageroit à tous momens fa beauté . & fa gra- ce ; me louoit fon efprit , & me parloir avec ...
... fille que je trouvai belle à la verité , mais non pas tant qu'il vouloit que je la trouval- fe . Il ne m'entretenoit que d'elle chaque jour , m'exageroit à tous momens fa beauté . & fa gra- ce ; me louoit fon efprit , & me parloir avec ...
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... fille toute fondante en larmes , la plus belle & la plus touchante qu'on puiffe jamais voir . Ah , ah , SCAPIN . OCTAVE . Une autre auroit paru effroyable en l'état où elle étoit ; car elle n'avoit pour habillement qu'une mé- chante ...
... fille toute fondante en larmes , la plus belle & la plus touchante qu'on puiffe jamais voir . Ah , ah , SCAPIN . OCTAVE . Une autre auroit paru effroyable en l'état où elle étoit ; car elle n'avoit pour habillement qu'une mé- chante ...
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... fille , quoi que fans bien & fans appui , eft de famille honnê- te ; & qu'à moins que de l'époufer , on ne peut fouf frir fes pourfuites . Voilà fon amour augmenté par les difficultez , Il confulte dans fa tête , agite , rai- fonne ...
... fille , quoi que fans bien & fans appui , eft de famille honnê- te ; & qu'à moins que de l'époufer , on ne peut fouf frir fes pourfuites . Voilà fon amour augmenté par les difficultez , Il confulte dans fa tête , agite , rai- fonne ...
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Expressions et termes fréquents
affez Affurément AGENOR AGLAURE aime ainfi Allons Amant amour appas ARGANTE ARISTE ARMANDE Arreft auffi avez beauté beaux befoin BELISE c'eft C'eſt ceffe charmes chofe choſe CHRISALE CIDIPPE Ciel Cinq cens écus CLEOMENE CLITANDRE coeur confentement deftin Dieu Dieux dire douleur doux efprit Eft-ce eftre encens eſt fans fçai fçait fçaurai fçauroit fçavez fçavoir feconde fecours fecret femble fens fent fervir feul feur fille flâme foeur foins foit fongez font fouffrir fouhaits foûpirs FOURBERIES DE SCAPIN fouvent fuis grace HENRIETTE HIACINTE j'ai j'ay jufte L'AMOUR l'efprit laiffer LEANDRE loix m'en Madame MARTINE merite Monfieur n'eft n'eſt NERINE noftre OCTAVE paffe penfe pere perfonne Pfiché PHILAMINTE plaifant plaifirs PREMIERE PSICHE puiffe quoy raifon réfolu rien s'eft SCAPIN SCENE Seigneur Geronte SILVESTRE tendreffe toûjours TRISSOTIN VADIUS VENUS veut veux voeux voftre voilà voſtre yeux Zephire ZERBINETTE
Fréquemment cités
Page 218 - M'ôter pour faire bien du grenier de céans Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune ; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune, Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous, Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
Page 218 - Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas ; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile, Et laisser la science aux docteurs de la ville...
Page 218 - C'est à vous que je parle , ma sœur. Le moindre solécisme en parla'nt vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile , Et laisser la science aux docteurs de la...
Page 219 - Mes gens à la science aspirent pour vous plaire , Et tous ne font rien moins que ce qu'ils ont à faire; Raisonner est l'emploi de toute ma maison; Et le raisonnement en bannit la raison.
Page 193 - Ton ait cette envie, Et que de vous enfin si fort on se soucie? Je vous trouve plaisant de vous le figurer, Et bien impertinent de me le declarer.