Histoire de France, Volume 2 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 100
Page xiv
... avaient ( 1 ) « Malgré les sophismes de quelques écrivains , disait Mounier en 89 , je prouverai clairement que sous la première et la seconde race de nos rois , tous les ingénus Francs ou Gaulois participèrent à la législation . Plus ...
... avaient ( 1 ) « Malgré les sophismes de quelques écrivains , disait Mounier en 89 , je prouverai clairement que sous la première et la seconde race de nos rois , tous les ingénus Francs ou Gaulois participèrent à la législation . Plus ...
Page xvii
... avaient vécu jusques - là sous le pouvoir seigneurial du roi et avaient fait partie de son domaine , non de sa monarchie ; maintenant ils furent ses sujets . Eux aussi eurent à demander des droits , bientôt après ce fut de même par la ...
... avaient vécu jusques - là sous le pouvoir seigneurial du roi et avaient fait partie de son domaine , non de sa monarchie ; maintenant ils furent ses sujets . Eux aussi eurent à demander des droits , bientôt après ce fut de même par la ...
Page xviii
... avaient , surtout au nord de la France , une existence précaire et incomplétement reconnue . Ce qui leur avait été accordé , elles pou- vaient le perdre , car elles n'avaient pas la force de le défendre . Au milieu de tant d'effroyables ...
... avaient , surtout au nord de la France , une existence précaire et incomplétement reconnue . Ce qui leur avait été accordé , elles pou- vaient le perdre , car elles n'avaient pas la force de le défendre . Au milieu de tant d'effroyables ...
Page xix
abbe Antoine Eugene de Genoude. mités , elles n'avaient pu acquérir encore la grande puissance de la richesse ; d'ailleurs , appelés en auxi- liaires par la couronne , pour balancer la force des seigneurs , elles avaient contracté l ...
abbe Antoine Eugene de Genoude. mités , elles n'avaient pu acquérir encore la grande puissance de la richesse ; d'ailleurs , appelés en auxi- liaires par la couronne , pour balancer la force des seigneurs , elles avaient contracté l ...
Page xxxv
... avaient besoin d'un centre où recourir en cas de révolte . Voilà ce qui explique comme l'ordre féodal fut si fort dans le pays même où les vassaux plus puissants devaient être plus tentés de le mépriser . Ce progrès incessant de la ...
... avaient besoin d'un centre où recourir en cas de révolte . Voilà ce qui explique comme l'ordre féodal fut si fort dans le pays même où les vassaux plus puissants devaient être plus tentés de le mépriser . Ce progrès incessant de la ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
Adrien Duport Alexandre de Lameth assemblée assemblée nationale aurait avaient Bailly Barnave blée c'était Cazalès Champfort chef choses citoyens clergé comité constitutionnels cour déclaration décret délibérations demande députés désordres devait discussion duc d'Orléans Duport époque esprit Etats-Généraux eût événements féodalité force garde nationale gardes-du-corps général gouvernement hommes idées impôts j'ai jamais Jeu-de-Paume jour jugement l'assem l'assemblée constituante l'assemblée nationale l'autorité l'égalité l'Eglise l'esprit l'état l'histoire l'homme l'ordre Lafayette laissé Lameth législatif lettres de cachet liberté lois Louis XVI Malouet ment ministres Mirabeau monarchie monarque Montlosier Mounier mouvement moyens n'avait n'était nation nécessaire Necker noblesse octobre ordre parler passions père personne peuple politique populaire pouvait pouvoir exécutif premier prince principes public publique puissance raison réformation régiment de Flandre reine représentants reste révolution Robespierre royauté s'était sanction royale séances semblait sentiments serait seul Siéyès société sorte souveraineté système talents Talleyrand tion tribune trône trouvait Versailles veto volonté voulait
Fréquemment cités
Page 290 - ... de votre crime ? Contemplateurs stoïques des maux incalculables que cette catastrophe vomira sur la France ; impassibles égoïstes, qui pensez que ces convulsions du désespoir et de la misère passeront comme tant d'autres, et d'autant plus rapidement qu'elles seront plus violentes, êtes-vous bien sûrs que tant d'hommes...
Page 290 - ... garant de votre constitution? Je vous dis : vous serez tous entraînés dans la ruine universelle; et les premiers intéressés au sacrifice que le gouvernement vous demande, c'est vous-mêmes.
Page 290 - Oui, messieurs, c'est la prudence la plus ordinaire, la sagesse la plus triviale, c'est votre intérêt le plus grossier que j'invoque. Je . ne vous dis plus, comme autrefois : donnerez-vous les premiers aux nations le spectacle d'un peuple assemblé pour manquer à la foi publique...
Page 441 - Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Page 303 - Le peuple qui a la souveraine puissance « doit faire par lui-même tout ce qu'il peut bien faire ; et ce qu'il ne peut pas bien faire , il faut qu'il le fasse par ses ministres.
Page 305 - La convocation des assemblées primaires en retard ; L'exercice de la police constitutionnelle sur les administrateurs et sur les officiers municipaux ; Les questions, soit d'éligibilité, soit de validité des élections. Ne sont pareillement sujets à la sanction les actes relatifs à la responsabilité des ministres, ni les décrets portant qu'il ya lieu à accusation.
Page 259 - Le prince est le représentant perpétuel du peuple, comme les députés sont ses représentants élus à certaines époques. Les droits de l'un , comme ceux des autres, ne sont fondés que sur l'utilité de ceux qui les ont établis. Personne ne réclame contre le veto de l'assemblée nationale , qui n'est effectivement qu'un droit du peuple confié à ses représentants , pour s'opposer à toute proposition qui tendrait au rétablissement du despotisme ministériel.
Page 93 - Et moi, messieurs, je crois le veto du roi tellement nécessaire, que j'aimerais mieux vivre à Constantinople qu'en France, s'il ne l'avait pas : oui, je le déclare, je ne connaîtrais rien de plus terrible que l'aristocratie souveraine de six cents personnes, qui demain pourraient se rendre inamovibles, après-demain héréditaires, et finiraient, comme les aristocrates de tous les pays du monde, par tout envahir.
Page 222 - Vous eussiez prévenu l'incendie des châteaux, si vous aviez été plus prompts à déclarer que les armes terribles qu'ils contenaient, et qui tourmentent le peuple depuis des siècles, allaient être anéanties par le rachat forcé que vous alliez ordonner. Le peuple, impatient d'obtenir justice et las de l'oppression, s'empresse à détruire ces titres, monuments de la barbarie de nos pères.
Page 96 - L'autorité du monarque peut- elle sommeiller un instant? ne faut-il pas qu'il concoure à votre décret, ne fût-ce que pour en être lié? et quand on nierait, contre tous les principes , que sa sanction fût nécessaire pour rendre obligatoire tout acte extérieur de cette assemblée, accordera-t-il aux décrets...