Histoire de la littérature française1869 |
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... - tuer la nationalité française , grandirent longtemps à part , hostiles et menaçants , jusqu'au jour où ils se heurtèrent dans le sang des Albigeois . SECONDE PÉRIODE . MOYEN AGE . Société féodale . - 58 CHAPITRE VI .
... - tuer la nationalité française , grandirent longtemps à part , hostiles et menaçants , jusqu'au jour où ils se heurtèrent dans le sang des Albigeois . SECONDE PÉRIODE . MOYEN AGE . Société féodale . - 58 CHAPITRE VI .
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... FÉODALE . Renaissance de la poésie ; jongleurs et trouvères . Formation des chants épiques . Société féodale . Vers le onzième siècle sont enfin constituées les langues , c'est - à - dire les peuples modernes , car un peuple n'est lui ...
... FÉODALE . Renaissance de la poésie ; jongleurs et trouvères . Formation des chants épiques . Société féodale . Vers le onzième siècle sont enfin constituées les langues , c'est - à - dire les peuples modernes , car un peuple n'est lui ...
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... ou moins élégante d'un lettré . Les jongleurs ( joculatores ) , comme les aèdes grecs , s'atta- chèrent d'abord à la personne des princes . Nous en trouvons déjà à la suite de Charlemagne et de Louis le SOCIÉTÉ FÉODALE . 61.
... ou moins élégante d'un lettré . Les jongleurs ( joculatores ) , comme les aèdes grecs , s'atta- chèrent d'abord à la personne des princes . Nous en trouvons déjà à la suite de Charlemagne et de Louis le SOCIÉTÉ FÉODALE . 61.
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... féodal était resté enveloppé de nuages , sans guerre , sans tournois , qu'il n'avait vu que peu d'étrangers et de pèle- rins ; quand s'étaient écoulés ces longs jours monotones , ces interminables soirées mal remplies par le ... FÉODALE . 63.
... féodal était resté enveloppé de nuages , sans guerre , sans tournois , qu'il n'avait vu que peu d'étrangers et de pèle- rins ; quand s'étaient écoulés ces longs jours monotones , ces interminables soirées mal remplies par le ... FÉODALE . 63.
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... par doel e par rancune ; Cruist li acers , ne freint ne n'esguignet ; E dist li quens : « Sancte Marie , aiue ! E , Durandel bone , si mare fustes ! LITT . FR . Cette strophe contient , comme on le voit , la SOCIÉTÉ FÉODALE . 65.
... par doel e par rancune ; Cruist li acers , ne freint ne n'esguignet ; E dist li quens : « Sancte Marie , aiue ! E , Durandel bone , si mare fustes ! LITT . FR . Cette strophe contient , comme on le voit , la SOCIÉTÉ FÉODALE . 65.
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
admirable âme amour antique beau belle bon sens Bossuet brillante Buffon c'était caractère chansons chansons de geste chants Charlemagne Charles d'Orléans charme chevaleresque chevaliers chose chrétienne chronique cœur contemporains Corneille Dieu dit-il dix-huitième siècle dix-septième siècle dramatique drame écrit écrivains éloquence époque Érasme esprit Fénelon féodale forme française François Ier génie gloire goût Grèce Histoire homme idées imitation jeune l'âme l'amour l'antiquité l'art l'auteur l'Église l'épopée l'esprit l'histoire l'homme langage langue latin lettres LITT littéraire littérature livre Louis XIV lui-même maître ment moderne mœurs Molière monde Montaigne Montesquieu morale mort moyen âge noble œuvre ouvrage parler passé passion peinture pensée peuple philosophie poëme poésie poëte poétique politique populaire premier prince quelquefois Racine religieux religion Renaissance rien roman Ronsard Rutebeuf saint Sainte-Beuve satire savant scène science scolastique seizième siècle semble sentiment seul société style sujet talent théâtre tion tragédie traits troubadours trouve trouvères vérité verve Villemain Voltaire
Fréquemment cités
Page 383 - Tous ces crimes d'État qu'on fait pour la couronne. Le ciel nous en absout alors qu'il nous la donne, Et dans le sacré rang où sa faveur l'a mis Le passé devient juste et l'avenir permis.
Page 649 - Il est si beau l'enfant, avec son doux sourire. Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers!
Page 648 - C'est que l'amour, la tombe, et la gloire, et la vie. L'onde qui fuit, par l'onde incessamment suivie. Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal. Fait reluire et vibrer mon âme de cristal, Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adore Mit au centre de tout comme un écho sonore ! D'ailleurs j'ai purement passé les jours mauvais, Et je sais d'où je viens, si j'ignore où je vais.
Page 523 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 287 - Quand je vois, dit Montaigne, ces braves formes de s'expliquer, si vives, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je dis que c'est bien penser.
Page 419 - Monsieur, lui dis-je, nous approuvions, vous et moi, toutes les sottises qui viennent d'être critiquées si finement, et avec tant de bon sens ; mais croyez-moi, pour me servir de ce que saint Rémi dit à Clovis, il nous faudra brûler ce que nous avons adoré et adorer ce que nous avons brûlé.
Page 645 - Il faut donc que le drame soit un miroir de concentration qui , loin de les affaiblir, ramasse et condense les rayons colorants, qui fasse d'une lueur une lumière, d'une lumière une flamme.
Page 431 - Je chéris l'Arioste, et j'estime le Tasse; Plein de Machiavel, entêté de Boccace, J'en parle si souvent qu'on en est étourdi. J'en lis qui sont du Nord, et qui sont du Midi.
Page 281 - Nous autres ignorants étions perdus, dit Montaigne, si ce livre ne nous eût relevés du bourbier; sa merci (grâce à lui) nous osons à cette heure et parler et écrire ; les dames en régentent les maîtres d'école : c'est notre bréviaire.
Page 544 - Qu'avez-vous fait pour tant de biens? vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus : du reste, homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu, perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes; et vous voulez jouter!...