Histoire de la littérature française1869 |
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... milieu des chan- gements universels de l'Europe , la Bretegne semble demeurer immobile ; et , pareille à ses mystérieux dolmens , elle s'élève dans un coin de la France comme l'ombre de notre passé , comme le dépositaire des vieilles ...
... milieu des chan- gements universels de l'Europe , la Bretegne semble demeurer immobile ; et , pareille à ses mystérieux dolmens , elle s'élève dans un coin de la France comme l'ombre de notre passé , comme le dépositaire des vieilles ...
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... milieu de la nuit . << Il appelait ses aiglons et tous les oiseaux du ciel . « Et il leur disait en les appelant : Levez - vous vite sur vos deux ailes . « Ce n'est pas de la chair pourrie de chiens et de brebis , c'est de la chair ...
... milieu de la nuit . << Il appelait ses aiglons et tous les oiseaux du ciel . « Et il leur disait en les appelant : Levez - vous vite sur vos deux ailes . « Ce n'est pas de la chair pourrie de chiens et de brebis , c'est de la chair ...
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... milieu des tortures ; vainqueurs , ils célébraient leurs succès par de poétiques récits . Nous en avons un exemple dans un fragment anglo - saxon sur la bataille de Finsburh , qui remonte aux temps païens et qui respire bien l'ivresse ...
... milieu des tortures ; vainqueurs , ils célébraient leurs succès par de poétiques récits . Nous en avons un exemple dans un fragment anglo - saxon sur la bataille de Finsburh , qui remonte aux temps païens et qui respire bien l'ivresse ...
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... milieu des chances du monde et de la vie . On voit paraître en même temps deux autres traits de la physionomie germanique qui se conserveront longtemps dans notre histoire : l'un , c'est le patronage militaire , le dévouement volontaire ...
... milieu des chances du monde et de la vie . On voit paraître en même temps deux autres traits de la physionomie germanique qui se conserveront longtemps dans notre histoire : l'un , c'est le patronage militaire , le dévouement volontaire ...
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... milieu des tourments . « Quel est le Dieu des chrétiens ? lui demande le gouverneur . Tu le connaîtras , répond le vieillard , quand tu en seras digne . > « Plus loin , c'est une jeune femme de vingt - deux ans , Per- pétue , qui ...
... milieu des tourments . « Quel est le Dieu des chrétiens ? lui demande le gouverneur . Tu le connaîtras , répond le vieillard , quand tu en seras digne . > « Plus loin , c'est une jeune femme de vingt - deux ans , Per- pétue , qui ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 383 - Tous ces crimes d'État qu'on fait pour la couronne. Le ciel nous en absout alors qu'il nous la donne, Et dans le sacré rang où sa faveur l'a mis Le passé devient juste et l'avenir permis.
Page 649 - Il est si beau l'enfant, avec son doux sourire. Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers!
Page 648 - C'est que l'amour, la tombe, et la gloire, et la vie. L'onde qui fuit, par l'onde incessamment suivie. Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal. Fait reluire et vibrer mon âme de cristal, Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adore Mit au centre de tout comme un écho sonore ! D'ailleurs j'ai purement passé les jours mauvais, Et je sais d'où je viens, si j'ignore où je vais.
Page 523 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 287 - Quand je vois, dit Montaigne, ces braves formes de s'expliquer, si vives, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je dis que c'est bien penser.
Page 419 - Monsieur, lui dis-je, nous approuvions, vous et moi, toutes les sottises qui viennent d'être critiquées si finement, et avec tant de bon sens ; mais croyez-moi, pour me servir de ce que saint Rémi dit à Clovis, il nous faudra brûler ce que nous avons adoré et adorer ce que nous avons brûlé.
Page 645 - Il faut donc que le drame soit un miroir de concentration qui , loin de les affaiblir, ramasse et condense les rayons colorants, qui fasse d'une lueur une lumière, d'une lumière une flamme.
Page 431 - Je chéris l'Arioste, et j'estime le Tasse; Plein de Machiavel, entêté de Boccace, J'en parle si souvent qu'on en est étourdi. J'en lis qui sont du Nord, et qui sont du Midi.
Page 281 - Nous autres ignorants étions perdus, dit Montaigne, si ce livre ne nous eût relevés du bourbier; sa merci (grâce à lui) nous osons à cette heure et parler et écrire ; les dames en régentent les maîtres d'école : c'est notre bréviaire.
Page 544 - Qu'avez-vous fait pour tant de biens? vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus : du reste, homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu, perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes; et vous voulez jouter!...