Dictionnaire des sciences naturelles: -[t.11]. Botanique (végétaux dicotylédons)F. G. Levrault, 1817 |
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Dictionnaire des sciences naturelles,... suivi d'une biographie des plus ... Affichage du livre entier - 1829 |
Expressions et termes fréquents
acide acides sulfurique ailes alongé animaux arbres arbrisseau arrondies assez avoit axillaires baryte bigaradier blanc blanchâtres bord bractées brun Buffon calathides calice capsule cédrats chlorate chlore chlorique chlorure chou chouette chromate chrome Cinchona cinq cissus citrate citronniers Cliffortia Clupea Clypeaster cobalt Coccinella composée corolle corps corselet couleur croît cylindriques dents écailles élytres en-dessous Encycl Entom épillets espèce étamines étoit famille femelles fleurs folioles forme fruit garnis de feuilles genre de plantes glabres Gmel graines gris harengs hibou hydrochlorique Ichthyol inférieure jaune l'acide l'eau l'oxide l'oxigène lancéolées Linn Linnæus lobes mâchoire måles membrane nageoire nitrique noir noirâtre nomme oblongues obtuses oiseau Ornith Ostracion ovaire ovales oxide panicule paroît pédoncules peroxide pétales pétiolées petites pieds POIR poisson potasse pouces presque protoxide quatre queue rameaux rameuse rouge sessiles sommet stigmate strix sulfurique supérieure taches terminales tête tiges tube tubercules valves variété velues vert Voyez
Fréquemment cités
Page 437 - La sardine a la tête pointue, assez grosse, souvent dorée , le front noirâtre, les yeux gros, les opercules ciselés et argentés, la ligne latérale droite, mais à peine visible ; les écailles tendres, larges et faciles à détacher, le ventre terminé par une carène longitudinale, aiguë, tranchante et recourbée, quinze...
Page 278 - ... des étamines nombreuses ; un ovaire supérieur, surmonté d'un style terminé par un stigmate simple-, une capsule à cinq- ou à dix loges, et autant de valves , portant chacune une cloison sur le milieu de leur face interne, et renfermant plusieurs graines. Ce genre se compose maintenant de vingt-cinq espèces connues, presque toutes naturelles aux pays du midi de l'Europe, et en général aux contrées qui avoisinent le bassin de la Méditerranée. Une seule espèce se trouve au cap de Bonne-Espérance;...
Page 485 - ... dans une sorte de huche trouée que l'on met au milieu du courant d'une rivière. Lorsqu'on veut la transporter un peu loin, on a le soin d'agiter continuellement l'eau du vaisseau dans lequel on la fait entrer ; et l'on choisit un tems frais, comme, par exemple, la fin de l'automne.
Page 436 - Anglois font tous leurs efforts pour enlever aux Hollandois la pêche et le commerce des harengs ; mais ils sont loin d'être parvenus sous ce rapport au même point de perfection , quoiqu'ils emploient les mêmes procédés. Toutefois si les Hollandois ont le mérite d'avoir appris à saler les harengs pour les conserver, c'est à nos compatriotes, les habitans de Dieppe, que l'on doit un art plus utile à la partie la plus nombreuse et la moins fortunée de la société, celui de les fumer. Pour...
Page 268 - ... nuque relevée et arrondie ; de petites écailles sur la tête et les opercules ; ces opercules arrondis dans leur contour ; la mâchoire inférieure garnie de quatre dents plus grandes que les autres, et semblables à des...
Page 213 - De la grosseur d'un dindon femelle . elle a deux pieds neuf pouces neuf lignes depuis le bout du bec jusqu'à celui de la queue, et environ...
Page 209 - C'est au même mécanisme que les cigognes doivent la faculté de dormir sur une seule patte en tenant l'autre fléchie et souvent même suspendue à angle droit.
Page 518 - ... mâchoires ; quatre doigts aux pieds de devant, et trois à ceux de derrière; une glande sur le dos, qui produit une matière odorante ; queue réduite à un léger rudiment. Les pécaris paraissent se trouver dans toute l'Amérique méridionale.
Page 440 - Lorsqu'en i432 , le célèbre Comte de Dunois prit la ville de Chartres , ce fut à la faveur d'un prétendu convoi dans lequel étoit une charrette qu'on disoit remplie d'aloses (3). Enfin , au rapport de Champier , l'alose étoit si estimée , qu'on la réservoit pour la table des Grands. (i) Recepte véritable par laquelle les hommes pourront apprendre à augmenter et multiplier leurs trésors.
Page 558 - Sa chair est exquise. On le nourrit avec soin en plusieurs endroits; on l'y conserve dans des bassins ou dans des étangs; et il y devient, selon Renard, si familier, qu'il accourt à la voix de ceux qui l'appellent , vient à la surface de l'eau , et prend sans crainte sa nourriture jusques dans la main qui la lui présente. L'OSTRACION BOSSU'.