Oeuvres nouvelles de Des Forges Maillard: Publiées avec notes, étude biographique, et bibliographie, Volume 2Société des bibliophiles bretons et de l'histoire de Bretagne, 1882 |
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Oeuvres nouvelles de Des Forges Maillard: Publiées avec notes ..., Volume 2 Paul Briand Des Forges Maillard Affichage du livre entier - 1882 |
Expressions et termes fréquents
amitié Amusemens du cœur Antoine Godeau avez avoient avoit belle Biblioth Bonamy Bretagne c'étoit canton de l'Isle-en-Dodon cher ami chose ci-dessus Clisson comédie contrôleur du dixième Croisic d'Orville Despréaux dire duc d'Aiguillon édit étoient étoit Euvres faisoit femme FORGES MAILLARD François François Bonamy Fulvy goût Grallon homme imprimé J'ai l'honneur d'être J'aurois j'avois j'ay j'en j'étois jour Journal de Verdun l'abbé Philippe l'auteur l'édition l'Espine l'esprit l'ode Lettre autographe lion marin Lysippe m'avoit m'en madame Chevaye Mercure Mlle de Malcrais mois Monsieur et cher Monsieur mon très-cher mont Parnasse Montaudouin Morinière mort Muses Nantes NOTES obéissant serviteur Œuvres de 1759 Parnasse paroît passer pense Perot pièce plaisir Poésies poëte pourroit président Bouhier président de Robien prince prose province publiée Racan raison René Chevaye René Gentilhomme Sables d'Olonne Saint-Amant santé satirique sçais seroit sieur sonnets souhaite stile strophe Titon du Tillet très-cher ami trouve volume voudrois
Fréquemment cités
Page 126 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux, d'une chute commune, Tous ceux que la fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 124 - Maillard en si bons termes à nos vieux poètes (p. 128) : « Tout ce qui nous reste de ces hommes immortels n'est point à négliger. On retrouve dans leurs moindres ouvrages les vestiges de li flamme divine dont ils étaient animés.
Page 148 - Ils étoient fâchés que je l'épousasse, à cause des trois enfants qu'elle a du premier lit, et ils s'employèrent auprès d'un grand-vicaire avec qui ils ont quelque parenté, afin qu'il n'eût pas donné dispense de deux bans à mon épouse future, et que, par ce moyen, en nous renvoyant dans...
Page 172 - Condé, qui l'avait reçu chez lui, et qui, par la mort de Louis XIII et de Gaston d'Orléans son frère, était héritier présomptif de la couronne, car il y dit positivement qu'il ne doit plus se repaître de l'espérance de cette succession , et qu'il doit se contenter d'être toute sa vie M. le Duc tout court. Or cette prédiction ayant eu son effet environ un an après (autant que je puis m'en souvenir) , ceux qui en...
Page 149 - Croisic, où, quoique tout soit cher, on ne fait que la dépense conforme à ses rentes. Cependant je projette de solliciter un emploi aux environs du Croisic, s'il est possible ; car la famille venant, il faut songer à gagner quelque chose au loin ou au près, et mes lettres du premier de l'an rouleront là-dessus.
Page 179 - La Société d'agriculture de Bretagne, la première qui ait existé en France...
Page 147 - est très aimable, elle a beaucoup d'esprit, mais elle joue, prend du café et tracasse la petite pretintaille des personnes qui ont vécu dans le grand monde *. Je n'aime rien de tout cela ; mais irai-je heurter ses goûts de front, ab abrupto ? Cela m'est échappé d'abord ; je l'ai chagrinée, j'en ai été fâché. Ma foi, dans ce monde, undique ambages et angustice.
Page 150 - . Je vous souhaite par avance, mon très-cher ami, tout ce que les hommes sincères se peuvent souhaiter de plus heureux, surtout une santé parfaite. Vous vous donnerez le reste vous-même, avec l'esprit et la fortune que vous avez. Je souhaite pareillement santé et joie à madame Chevaye et à toute votre famille.
Page 160 - Ce que j'assurerai, c'est que je ne me serois jamais défié que le mien dût se trouver dans ce grand registre. Je vais à Vannes, Monsieur, j'y deviens amoureux d'une femme de condition, jolie veuve, assez jeune, ayant extrêmement d'esprit et beaucoup de goût pour les lettres.
Page 147 - Je n'aime rien de tout cela ; mais irai-je heurter ses goûts de front, ab abrupto ? Cela m'est échappé d'abord ; je l'ai chagrinée, j'en ai été fâché. Ma foi, dans ce monde, undique ambages et angustiœ. Je me déplaisois garçon...