Les femmes savantes, le bourgeois gentilhommeGaume et cie., 1882 |
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... Clitandre obtiennent la récompense d'un amour généreux , Armande et Bélise sont punies de leur vanité par le triomphe de leur rivale ; et les femmes savantes enfin sont dupes et ne sont point corrigées 1 . Les Femmes savantes ...
... Clitandre obtiennent la récompense d'un amour généreux , Armande et Bélise sont punies de leur vanité par le triomphe de leur rivale ; et les femmes savantes enfin sont dupes et ne sont point corrigées 1 . Les Femmes savantes ...
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... Clitandre . Mais ce dernier n'avait - il pas com- mencé par faire la cour à la sœur aînée ? Celle - ci prétendrait le garder au nombre de ses admirateurs . Clitandre , pressé de dévoiler son cœur , déclare sans ménagement qu'il renonce ...
... Clitandre . Mais ce dernier n'avait - il pas com- mencé par faire la cour à la sœur aînée ? Celle - ci prétendrait le garder au nombre de ses admirateurs . Clitandre , pressé de dévoiler son cœur , déclare sans ménagement qu'il renonce ...
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... Clitandre avec Henriette . Acte III . On est en grande séance littéraire . Trissotin est venu lire aux trois femmes savantes deux pièces du plus mauvais goût , dont chaque mot les ravit en admiration . L'auteur se rengorge mo- destement ...
... Clitandre avec Henriette . Acte III . On est en grande séance littéraire . Trissotin est venu lire aux trois femmes savantes deux pièces du plus mauvais goût , dont chaque mot les ravit en admiration . L'auteur se rengorge mo- destement ...
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... Clitandre montre une tout autre générosité . Philaminte ouvre les yeux . Henriette hésite à faire retomber sur son amant le poids de leur infortune ; mais Ariste déclare que les nouvelles sont fausses , qu'il les a inven- tées pour ...
... Clitandre montre une tout autre générosité . Philaminte ouvre les yeux . Henriette hésite à faire retomber sur son amant le poids de leur infortune ; mais Ariste déclare que les nouvelles sont fausses , qu'il les a inven- tées pour ...
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... Clitandre ? HENRIETTE . Et par quelle raison n'y serait - elle pas ? Manque - t - il de mérite ? Est - ce un choix qui soit bas ? ARMANDE . Non ; mais c'est un dessein qui serait malhonnête Que de vouloir d'une autre enlever la conquête ...
... Clitandre ? HENRIETTE . Et par quelle raison n'y serait - elle pas ? Manque - t - il de mérite ? Est - ce un choix qui soit bas ? ARMANDE . Non ; mais c'est un dessein qui serait malhonnête Que de vouloir d'une autre enlever la conquête ...
Expressions et termes fréquents
ACTE admirable Allez Allons amour ARISTE ARMANDE et BÉLISE assez avez bas à madame bas à monsieur beaux esprits Belle marquise BOURGEOIS GENTILHOMME céans charmes choses CHRYSALE CLÉONTE CLITANDRE cœur comédie comique COVIELLE d'Henriette dire dis-je donne DORIMÈNE doux ENTRÉE DE BALLET époux Est-ce êtes FEMMES SAVANTES fille fils du Grand-Turc galant GARÇON TAILLEUR gendre gens goût habit HENRIETTE homme impertinente j'ai j'en l'amour l'esprit LAQUAIS LUCILE MADAME JOURDAIN main maître MAITRE A DANSER MAITRE D'ARMES MAITRE DE MUSIQUE MAITRE DE PHILOSOPHIE MAITRE TAILLEUR mamamouchi mariage MARTINE Misanthrope Molière monde MONSIEUR JOURDAIN Monsieur le philosophe monsieur Trissotin Montrant Trissotin MUSICIENS NICOLE notaire parler père personne PHILAMINTE pièces Précieuses ridicules prendre prose Qu'est-ce raison ridicules rire s'il vous plaît sais SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII science sœur soin Taisez-vous théâtre Turc VADIUS veut veux vient vœux voilà vois voulez voulez-vous vouloir vrai yeux
Fréquemment cités
Page 40 - Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 35 - Quoi ! toujours, malgré nos remontrances, Heurter le fondement de toutes les sciences, La grammaire, qui sait régenter jusqu'aux rois, Et les fait, la main haute, obéir à ses lois * ! CHRYSALE. Du plus grand des forfaits je la croyais coupable. PHILAMINTE. Quoi ! vous ne trouvez pas ce crime impardonnable?
Page 151 - Lui marchand! C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux; et comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent.
Page 57 - Et dans les bouts-rimes je vous trouve adorable. TRISSOTIN Si la France pouvait connaître votre prix, VADIUS Si le siècle rendait justice aux beaux esprits, TRISSOTIN 985 En carrosse doré vous iriez par les rues.
Page 40 - Qui de ce mauvais air n'était point infectée, Et voilà qu'on la chasse avec un grand fracas, A cause qu'elle manque à parler Vaugelas. Je vous le dis, ma sœur, tout ce train-là me blesse, Car c'est comme j'ai dit, à vous que je m'adresse.
Page 56 - Ah ! ma nièce, du grec ! ARMANDE. Du grec ! quelle douceur ! PHILAMINTE. Quoi ! monsieur sait du grec ? Ah ! permettez, de grâce, Que, pour l'amour du grec, monsieur, on vous embrasse.
Page 39 - C'est à vous que je parle, ma sœur. * Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite.
Page 115 - Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 38 - J'aime bien mieux, pour moi, qu'en épluchant ses herbes, Elle accommode mal les noms avec les verbes, Et redise cent fois un bas ou méchant mot, Que de brûler ma viande, ou saler trop mon pot.
Page 20 - Laissez aux gens grossiers, aux personnes vulgaires / Les bas amusements de ces sortes d'affaires. / A de plus hauts objets élevez vos désirs, / Songez à prendre un goût des plus nobles plaisirs / Et traitant de mépris les sens et la matière, / A l'esprit comme nous donnez-vous toute entière. / Vous avez notre mère en exemple à vos yeux / Que du nom de savante on honore en tous lieux.