Les femmes savantes, le bourgeois gentilhommeGaume et cie., 1882 |
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... coup sûr à triompher d'une épreuve souvent funeste à la plupart d'entre eux . VIENT DE PARAITRE : La version latine à la portée de tous , par L. PORTELETTE , agrégé des classes supérieures de lettres . 1 vol . in - 12 ...... 2 fr ...
... coup sûr à triompher d'une épreuve souvent funeste à la plupart d'entre eux . VIENT DE PARAITRE : La version latine à la portée de tous , par L. PORTELETTE , agrégé des classes supérieures de lettres . 1 vol . in - 12 ...... 2 fr ...
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... coup les peintures aux personnes et l'on a attribué à l'auteur une malice qu'il n'a point eue . De nos jours encore on a vivement contesté la leçon morale et re- ligieuse du Tartufe . Un célèbre polémiste 1 s'est distingué entre tous ...
... coup les peintures aux personnes et l'on a attribué à l'auteur une malice qu'il n'a point eue . De nos jours encore on a vivement contesté la leçon morale et re- ligieuse du Tartufe . Un célèbre polémiste 1 s'est distingué entre tous ...
Page 8
... coup le plus rude au privilège de la naissance . Il ne descend pas jusqu'à la lie plébéienne , mais en renversant l'ancienne aristocratie , il en élève une nouvelle . C'est dans la classe intermédiaire , dans la bourgeoisie , qu'il ...
... coup le plus rude au privilège de la naissance . Il ne descend pas jusqu'à la lie plébéienne , mais en renversant l'ancienne aristocratie , il en élève une nouvelle . C'est dans la classe intermédiaire , dans la bourgeoisie , qu'il ...
Page 16
... coup , le jeune homme lui reproche son animosité . Quel mal lui a - t - il fait pour qu'elle le maltraite ainsi ? Armande se radoucit ; elle voudrait s'hu- maniser : il n'en est plus temps . Cependant Trissotin arrive à point pour se ...
... coup , le jeune homme lui reproche son animosité . Quel mal lui a - t - il fait pour qu'elle le maltraite ainsi ? Armande se radoucit ; elle voudrait s'hu- maniser : il n'en est plus temps . Cependant Trissotin arrive à point pour se ...
Page 28
Molière. Mais ... CLITANDRE . BÉLISE . Adieu . Pour ce coup , ceci doit vous suffire , Et je vous ai plus dit que je ne voulais dire . Mais votre erreur ... CLITANDRE . BÉLISE . Laissez . Je rougis maintenant ; Et ma pudeur s'est fait un ...
Molière. Mais ... CLITANDRE . BÉLISE . Adieu . Pour ce coup , ceci doit vous suffire , Et je vous ai plus dit que je ne voulais dire . Mais votre erreur ... CLITANDRE . BÉLISE . Laissez . Je rougis maintenant ; Et ma pudeur s'est fait un ...
Expressions et termes fréquents
ACTE admirable Allez Allons amour ARISTE ARMANDE et BÉLISE assez avez bas à madame bas à monsieur beaux esprits Belle marquise BOURGEOIS GENTILHOMME céans charmes choses CHRYSALE CLÉONTE CLITANDRE cœur comédie comique COVIELLE d'Henriette dire dis-je donne DORIMÈNE doux ENTRÉE DE BALLET époux Est-ce êtes FEMMES SAVANTES fille fils du Grand-Turc galant GARÇON TAILLEUR gendre gens goût habit HENRIETTE homme impertinente j'ai j'en l'amour l'esprit LAQUAIS LUCILE MADAME JOURDAIN main maître MAITRE A DANSER MAITRE D'ARMES MAITRE DE MUSIQUE MAITRE DE PHILOSOPHIE MAITRE TAILLEUR mamamouchi mariage MARTINE Misanthrope Molière monde MONSIEUR JOURDAIN Monsieur le philosophe monsieur Trissotin Montrant Trissotin MUSICIENS NICOLE notaire parler père personne PHILAMINTE pièces Précieuses ridicules prendre prose Qu'est-ce raison ridicules rire s'il vous plaît sais SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII science sœur soin Taisez-vous théâtre Turc VADIUS veut veux vient vœux voilà vois voulez voulez-vous vouloir vrai yeux
Fréquemment cités
Page 40 - Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 35 - Quoi ! toujours, malgré nos remontrances, Heurter le fondement de toutes les sciences, La grammaire, qui sait régenter jusqu'aux rois, Et les fait, la main haute, obéir à ses lois * ! CHRYSALE. Du plus grand des forfaits je la croyais coupable. PHILAMINTE. Quoi ! vous ne trouvez pas ce crime impardonnable?
Page 151 - Lui marchand! C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux; et comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent.
Page 57 - Et dans les bouts-rimes je vous trouve adorable. TRISSOTIN Si la France pouvait connaître votre prix, VADIUS Si le siècle rendait justice aux beaux esprits, TRISSOTIN 985 En carrosse doré vous iriez par les rues.
Page 40 - Qui de ce mauvais air n'était point infectée, Et voilà qu'on la chasse avec un grand fracas, A cause qu'elle manque à parler Vaugelas. Je vous le dis, ma sœur, tout ce train-là me blesse, Car c'est comme j'ai dit, à vous que je m'adresse.
Page 56 - Ah ! ma nièce, du grec ! ARMANDE. Du grec ! quelle douceur ! PHILAMINTE. Quoi ! monsieur sait du grec ? Ah ! permettez, de grâce, Que, pour l'amour du grec, monsieur, on vous embrasse.
Page 39 - C'est à vous que je parle, ma sœur. * Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite.
Page 115 - Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 38 - J'aime bien mieux, pour moi, qu'en épluchant ses herbes, Elle accommode mal les noms avec les verbes, Et redise cent fois un bas ou méchant mot, Que de brûler ma viande, ou saler trop mon pot.
Page 20 - Laissez aux gens grossiers, aux personnes vulgaires / Les bas amusements de ces sortes d'affaires. / A de plus hauts objets élevez vos désirs, / Songez à prendre un goût des plus nobles plaisirs / Et traitant de mépris les sens et la matière, / A l'esprit comme nous donnez-vous toute entière. / Vous avez notre mère en exemple à vos yeux / Que du nom de savante on honore en tous lieux.