| Voltaire - 1785 - 568 pages
...comptoir à fe défefpérer; de forte que mou cœur était déchiré entre le déplorable fpectacle de mon fils mort , et la crainte de perdre ce cher mari, de la douleur à laquelle il fe livrait tout entier fans entendre aucune confolation ; et ce fut dans... | |
| Voltaire - 1785 - 576 pages
...comptoir à fe défefpérer; de forte que mon cœur était déchiré entre le déplorable fpectacle de mon fils mort , et la crainte de perdre ce cher mari, de la douleur à laquelle il fe livrait tout entier fans entendre aucune confolation ; et ce fut dans... | |
| Voltaire - 1785 - 396 pages
...comptoir à fe défefpérer ; de forte que mon cœur était déchiré entre le déplorable fpectacle de mon fils mort, et la crainte de perdre ce cher mari, de la douleur à laquelle il fe livrait tout entier fans entendre aucune confolation ; et ce fut dans... | |
| Voltaire - 1792 - 444 pages
...comptoir à fe défefpérer ; de foi te que mon cœur était déchiré entre le déplorable fpectacle de mon fils mort, et la crainte de perdre ce cher mari-, de la douleur à laquelle il fe livrait tout entier fans entendre aucune eonfolation ; et ce fut dans... | |
| Voltaire - 1830 - 642 pages
...l'examiner plus exactement, ce qu'il fit inutilement. Cela n'était que trop vrai; et pendant tout ce temps-là mon mari était appuyé sur un comptoir...fils mort, et la crainte de perdre ce cher mari, de la douleur à laquelle il se livrait tout entier sans entendre aucune consolation ; et ce fut dans... | |
| Coquerel (fils) - 1858 - 592 pages
...l'examiner plus exactement, ce qu'il fit inutilement; cela n'était que trop vrai. Et pendant tout ce temps-là mon mari était appuyé sur un comptoir à se désespérer; de sorte que mon cœiir était déchiré entre le déplorable spectacle de mon fils mort, c\ la crainte de perdre ce... | |
| 1860 - 488 pages
...trouble, Jean Calas ne songeait qu'aux siens. Mais qu'il souffrait! «Mon cœur, a écrit madame Calas, était déchiré entre le déplorable spectacle de...ce fut dans cet état que la justice nous trouva. > Pierre, chez Cazeing, avait rencontré Lavaysse : il lui demanda de nier le suicide, t Je croyais... | |
| Voltaire - 1860 - 592 pages
...heures. S. La cuisine est auprès de la salle à manger, au premier étage. YoLTainE. — xvui. 33 temps-là mon mari était appuyé sur un comptoir...fils mort, et la crainte de perdre ce cher mari , de la douleur à laquelle il se livrait tout entier sans entendre aucune consolation ; et ce fut dans... | |
| Voltaire - 1860 - 588 pages
...ce qu'il fit inutilement. Cela n'était que trop vrai ; et pendant tout ce 1. Sur les sept heures. temps-là mon mari était appuyé sur un comptoir...fils mort, et la crainte de perdre ce cher mari , de la douleur à laquelle il se livrait tout entier sans entendre aucune consolation ; et ce fut dans... | |
| Athanase Coquerel - 1869 - 566 pages
...l'exami Ber plus exactement, ce qu'il fit inutilement; cela n'était que trop vrai. Et pendant tout ce temps-là mon mari était appuyé sur un comptoir...dans notre chambre où on nous avait fait remonter. « Voilà l'affaire tout comme elle s'est passée mot à mot ; et je|prie Dieu, qui connaît notre... | |
| |