Je suis porté à croire , en général , continuait le ministre, qu'il convient peu à la politique et au génie de la France de tenter, à de grandes distances de son territoire , de nouveaux et grands établissements coloniaux, et de s'engager, à... Colonisation de Madagascar - Page 14de Désiré Laverdant, Gabriel-Désiré Laverdant - 1844 - 197 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1844 - 1002 pages
...Madagascar serait une Me. a Je suis porté à croire , en général , continuait le ministre, qu'il convient peu à la politique et au génie de la France de tenter,..., de nouveaux et grands établissements coloniaux, et de s'engager, à leur sujet, dans de longues luttes, soit avec les naturels du pays, soit avec d'autres... | |
| A. Thoisnier-Desplaces, Charles-Louis Lesur, Ulysse Tencé, Victor Rosenwald, Hippolyte Desprez, Armand Fouquier - 1844 - 1000 pages
...serait une folie. « Je suis porté à croire , en général, continuait le ministre, qu'il convient peu à la politique et au génie de la France de tenter,..., de nouveaux et grands établissements coloniaux, et de s'engager, à leur sujet, dans de longues luttes, soit avec les naturels du pays, soit avec d'autres... | |
| 1844 - 1046 pages
...folie. « Je suis porté à croire , en général , continuait le ministre, qu'il convient peu à là politique et au génie de la France de tenter, à..., de nouveaux et grands établissements coloniaux, et de s'engager, à leur sujet, dans de longues luttes, soit avec les naturels du pays, soit avec d'autres... | |
| 1844 - 1070 pages
...serait une. folie. t u Je suis porté à croire , en général , continuait le ministre, qu'il convient peu à la politique et au génie de la France de tenter, à de grandes dislances de son territoire , de nouveaux et grands établissements coloniaux, et de s'engager, à... | |
| Georges Azéma - 1862 - 380 pages
...du haut de la tribune française : « Qu'il était porté à croire, en général, » qu'il convient peu à la politique et au génie de la » France de tenter, à de si grandes distances de son » territoire, de nouveaux établissements coloniaux. » Ce n'était certes... | |
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