cialement appelés; ils quitterent le Caire le o octobre 1529, accompagnés d'on frere cultion to charpentier Aziänger, et arriverent le j'éd/ex mlyna de la même audée : Vavvis, ver la cita d'shqe sine. Lores out bjour, ka matanga aomi, ja s'a aver 50er fan per pjs Gas Turbiang héologie, L'enseigne ves de notre its qui ressornt encore que, être répandue, se décida à un nouvel pédiant quelques missionnaires en y faire connaître la Parole de Die oubliée. Elle s'adressa à cet effe missions évangéliques de B on ne pourrait pas trouver ques jeunes gens dispos œuvre importante. Aprè muel Gobat de Cremen ne doit pas vouloir être et Christian Kugler temberg, furent : rent ar partir Jéru répondre victorieu es de la théologie en et claires de la Bible, et e de Dieu; et ne pas crainase souvent très honorable: 1ponse dont les pères, dans les reformateurs et plusieurs de eologiens font peut-être trop ra Magazin für die Geschichte der evangel Bibel-Gesellschaften, publié par le Cossions dé Bâle, année 1834, 1" cahier.) gue VI ché de décrire dans mon journal toutes Dservations que j'ai faites en Abyssinie. Elles se rapportent directement ou indirectement aux intérêts, ou plutôt au but de la Société des missions de l'Eglise anglicane relativement à ce pays. J'ai même essayé d'employer, autant qu'il a dépendu de moi, les expressions mêmes de ceux que j'ai entendus, pour dépeindre ce que je n'ai pu voir moi-même, afin d'éviter quelques erreurs que je crois avoir remarquées dans des descriptions de Voyages plus systématiques. Ainsi on a souvent coutume de représenter les circonstances et les occurrences les plus rares comme si elles étaient ordinaires et habituelles, et, en revanche, de faire ressortir ce qui paraît extraordinaire à des Européens. Ainsi encore, il arrive souvent qu'afin de soutenir un système adopté trop à la hâte on tombe dans une faute de laquelle on ne peut guère se préserver qu'en communiquant, sous forme de journal, les observations telles qu'on les a faites. Cette faute consiste à exagérer les faits et à affir amenés par dés questions subtiles sur la théologie, une heureuse application du mode d'enseignement religieux qu'on suit avec les élèves de notre institut des missions de Bâle. Les faits qui ressortent de ces conversations prouvent encore que, dans la plupart des cas, on peut répondre victorieusement aux questions subtiles de la théologie en citant les paroles simples et claires de la Bible, et que le prédicateur chrétien ne doit pas vouloir être plus savant que la Parole de Dieu, et ne pas craindre de faire cette réponse souvent très honorable: Je ne le sais pas ! Réponse dont les pères, dans les conciles, nos dignes réformateurs et plusieurs de nos plus savans théologiens font peut-être trop rarement usage! (Traduil du Magazin für die Geschichte der evangel. Missions und Bibel-Gesellschaften, publié par le Comité des missions dé Bâle, année 1834, 1" cahier.) er TROISIEME PARTIE. Remarques générales sur l'état actuel de l'Abyssinie, ou Introduction aù journal de S. Gobat. 1 J'ai tâché de décrire dans mon journal toutes les observations que j'ai faites en Abyssinie. Elles se rapportent directement ou indirectement aux intérêts, ou plutôt au but de la Société des missions de l'Eglise anglicane relativement à ce pays. J'ai même essayé d'employer, autant qu'il a dépendu de moi, les expressions mêmes de ceux que j'ai entendus, pour dépeindre ce que je n'ai pu voir moi-même, afin d'éviter quelques erreurs qué je crois avoir remarquées dans des descriptions de Voyages plus systématiques. Ainsi on a souvent coutume de représenter les circonstances et les occurrences les plus rares comme si elles étaient ordinaires et habituelles, et, en revanche, de faire ressortir ce qui paraît extraordinaire à des Européens. Ainsi encore, il arrive souvent qu'afin de soutenir un système adopté trop à la hâte on tombe dans une faute de laquelle on ne peut guère se préserver qu'en communiquant, sous forme de journal, les observations telles qu'on les a faites. Cette faute consiste à exagérer les faits et à affir |