| 1899 - 466 pages
...les tiens dans les bras, je les mets autour de mon cou. Je n'ouvrirai plus les mains cette nuit... Je n'ai jamais vu de cheveux comme les tiens, Mélisande!......m'inondent encore jusqu'au cœur... Ils m'inondent encore jusqu'aux genoux!... Et ils sont doux, ils sont doux comme s'ils tombaient du ciel !... Je ne... | |
| Maurice Maeterlinck - 1908 - 264 pages
...les mains cette nuit... MÉLISANDE. Laisse-moi! laisse-moi!... Tu vas me faire tomber!... PELLÉAS. Non, non, non;... je n'ai jamais vu de cheveux comme les tiens, Mélisande!... Vois, vois; ils viennent de si haut et m'inondent jusqu'au cœur... Ils sont tièdes et doux comme s'ils tombaient... | |
| Claude Debussy - 1907 - 64 pages
...will I open my hands — MÉLISANDE Laisse-moi-! laisse-moi!... Tu vas me faire tomber!... PELLÉAS Non, non, non ;... je n'ai jamais vu de cheveux comme...vois, vois, ils viennent de si haut et ils m'inondent jusqu'au cœur... Ils m'inondent encore jusqu'aux genoux... Et ils sont doux, ils sont doux comme s'ils... | |
| Claude Debussy, Maurice Maeterlinck - 1907 - 68 pages
...dans les bras, je les mets autour de mon cou... Je n'ouvrirai plus les mains cette nuit... PELLÉAS. Non, non, non;... je n'ai jamais vu de cheveux comme...vois, vois, ils viennent de si haut et ils m'inondent jusqu'au cœur... Ils m'inondent encore jusqu'aux genoux... Et ils sont doux, ils sont doux comme s'ils... | |
| Claude Debussy - 1907 - 66 pages
...les mets autour de mon cou... Je n'ouvrirai plus les mains cette nuit... PELLÉAS. Non, non, non;._ je n'ai jamais vu de cheveux comme les tiens, Mélisande!......vois, vois, ils viennent de si haut et ils m'inondent jusqu'au cœur... Ils m'inondent encore jusqu'aux genoux... Et ils sont doux, ils sont doux comme s'ils... | |
| Claude Debussy, Maurice Maeterlinck - 1908 - 96 pages
...les mains cette nuit... MÉLISANDE. Laisse-moi! laisse-moi!... Tu vas me faire tomber!... PELLÉAS. Non, non, non ;... je n'ai jamais vu de cheveux comme...vois, vois, ils viennent de si haut et ils m'inondent jusqu'au cœur. ..Us m'inondent encore jusqu'aux genoux... Et ils sont doux, ils sont doux comme s'ils... | |
| Maurice Maeterlinck - 1908 - 276 pages
...les mains cette nuit... MÉLISANDE. Laisse-moi! laisse-moi!... Tu vas me faire tomber!... PELLÉAS. Non, non, non;... je n'ai jamais vu de cheveux comme les tiens, Mélisande!... Vois, vois; ils viennent de si haut et m'inondent jusqu'au cœur... Ils sont tièdes et doux comme s'ils tombaient... | |
| Albert de Bersaucourt - 1913 - 460 pages
...comme une eau dorée... Pelléas savoure une égale volupté en caressant les cheveux de Mélisande : , Je n'ai jamais vu de cheveux comme les tiens. Mélisande !... Vois, vois ; ils viennent de si haut et m'inondent jusqu'au cœur... Ils sont tièdes et doux comme s'ils tombaient... | |
| Jan Greshoff - 1915 - 336 pages
...cette nuit . . . Mélisande : Laisse-moi ! laisse-moi ! ... Tu vas me faire tomber ! ... Pelléas : Non, non, non ; ... je n'ai jamais vu de cheveux comme les tiens, Mélisande ! ... Vois, vois ; ils viennent de si haut et m'inondent jusqu'au cœur ... Ils sont tièdes et doux comme s'ils tombaient... | |
| Jules Lemaître - 1920 - 394 pages
...descendent vers moi !... Toute ta chevelure, Mélisande, toute ta chevelure est tombée de la tour... Je n'ai jamais vu de cheveux comme les tiens, Mélisande......m'inondent encore jusqu'au cœur... Ils m'inondent encore jusqu'aux genoux... Tu vois, tu vois ? Mes deux mains ne peuvent plus les tenir ; il y en a... | |
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