Tableau de Paris, Volume 2 |
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Expressions et termes fréquents
affez ainfi années appelle arts auffi aujourd'hui auteur avoit befoin belle c'eft c'eſt Capitale cents cher chofe cinq cœur commerce corps côté coup Cour d'autres d'être devant dire doit donne enfans enfin étoit fans femmes fent fera feroit fervir feul filles fociété foit font force forme fort forte foule fous ftyle gens goût graces heures hommes idées j'ai jeunes jour juge l'Académie l'argent l'homme laiffe langue lettres liberté lieu livres loin loix maifons main malheureux maniere ment mieux mifere milieu mille monde mort moyens n'eft n'en n'ont nature nombre nouvelle paffer paie parler pauvre peine pendant pere perfonne petit petits peuple place plufieurs police porte prefque premier public publique qu'à qu'un quatre rare refte regarde ridicule rien rues s'il table tableau terre tête tion trente trouve vérité veut ville voilà voit voix vrai yeux
Fréquemment cités
Page 235 - Il est bien cruel de voir un pauvre enfant de huit ans, les yeux bandés et la tête couverte d'un sac, monter des genoux et du dos dans une cheminée étroite et haute de cinquante pieds; ne pouvoir respirer qu'au sommet périlleux; redescendre comme il est monté, au risque de se rompre le...
Page 46 - Heureuse nation! Qui avez de jolis appartements, de jolis meubles, de jolis bijoux, de jolies femmes, de jolies ariettes, qui prisez avec fureur ces charmantes bagatelles, puissiez-vous ne jamais vous réveiller du joli rêve qui berce mollement votre légère existence C1)!
Page 144 - On lui amene par hafard un vieux domeftique, ancien portier,tremblant fur fes genoux , qui confiné dans fa loge depuis quinze ans, n'avoit plus que la force fuffifante pour tirer le cordon de la porte :.il ne reconnoît pas le maître qu'il a fervi, mais il lui apprend que fa femme eft morte il ya trente ans , de chagrin & -de mifere, que fes enfansfont allés dans des climats inconnus , que tous fes amis ne font plus.
Page 282 - ... et le pavé n'est rien moins que libre. C'est l'heure des sollicitations et des demandes de toute espèce. « A deux heures les dîneurs en ville, coiffés, poudrés, arrangés, marchant sur la pointe du pied de peur de salir leurs bas blancs, se rendent dans les quartiers les plus éloignés. Tous les fiacres roulent à cette heure, il n'y en a plus sur la place; on se les dispute et il arrive quelquefois que deux personnes ouvrent en même temps la portière, montent et se placent.
Page 144 - ... toutes les figures , il n'en vit pas une feule dont il eût le moindre fouvenir. Effrayé, il s'arrête & poufle un profond foupir. Cette ville a beau être peuplée d'êtres...
Page 144 - ... pas le maître qu'il a servi, mais il lui apprend que sa femme est morte il ya trente ans, de chagrin et de misère, que ses enfans'sont allés dans des climats inconnus, que tous ses amis ne sont plus.
Page 64 - Paris, sans pousser un > profond soupir. Je me dis : Là, s'engouffre l'argent » arraché avec violence de toutes les parties du royaume » pour qu'après ce long et pénible voyage, il rentie al» 1ère dans les coffres du roi.
Page 143 - L'efcalier de la prifon , la faile , la cour , tout lui paroît vafte , immenfe , prefque fans bornes. 11 s'arrête comme égaré , éperdu : fes yeux ont peine à fupporter la clarté du grand jour ; il regarde le ciel comme un objet nouveau ; fon œil eft fixe ; il ne peut pas...
Page 145 - Séparé de la fociété , je vivois avec moi-même; ici je ne puis vivre ni avec moi , ni avec les hommes nouveaux pour qui mon défefpoir n'eft qu'un rêve.
Page 15 - ... à déposer ici nos plaintes sur l'injustice ou l'insensibilité de la plupart des gens de lettres...