Esprit des loisFirmin Didot frères, fils et cie., 1860 - 600 pages |
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... parle après toutes les histoires . Je sais très - bien qu'il n'est pas rare qu'il y ait des princes vertueux ; mais je dis que dans une monarchie il est très - diffi- cile que le peuple le soit1 . Qu'on lise ce que les historiens de ...
... parle après toutes les histoires . Je sais très - bien qu'il n'est pas rare qu'il y ait des princes vertueux ; mais je dis que dans une monarchie il est très - diffi- cile que le peuple le soit1 . Qu'on lise ce que les historiens de ...
Page 40
... . X. - Strabon , en cet endroit , parle , d'après l'historien Ephore , des lois de Crète et non de celles de Lacédémone . ( L'abbé BARTHÉLEMY . ) du frère . Il est clair que cette seconde loi 40 DE L'ESPRIT DES LOIS .
... . X. - Strabon , en cet endroit , parle , d'après l'historien Ephore , des lois de Crète et non de celles de Lacédémone . ( L'abbé BARTHÉLEMY . ) du frère . Il est clair que cette seconde loi 40 DE L'ESPRIT DES LOIS .
Page 43
... parle que des républiques commerçantes ; car , pour celles qui ne le sont pas , le législateur a bien d'autres règle- ments à faire 2 . Il y avait dans la Grèce deux sortes de républiques : les unes étaient militaires , comme Lacédémone ...
... parle que des républiques commerçantes ; car , pour celles qui ne le sont pas , le législateur a bien d'autres règle- ments à faire 2 . Il y avait dans la Grèce deux sortes de républiques : les unes étaient militaires , comme Lacédémone ...
Page 62
... parle d'une république fondée sur la vertu , et nous parlons d'une monarchie . Or , dans une monarchie où , quand les charges ne se vendraient pas par un règlement public , l'indigence et l'avidité des courtisans les vendraient tout de ...
... parle d'une république fondée sur la vertu , et nous parlons d'une monarchie . Or , dans une monarchie où , quand les charges ne se vendraient pas par un règlement public , l'indigence et l'avidité des courtisans les vendraient tout de ...
Page 69
... parle- ment et quelques conseillers d'État , le roi les ayant forcés d'opiner sur le décret de prise de corps , le président de Bellièvre dit : « Qu'il voyait « dans cette affaire une chose étrange , un prince opiner au procès d'un de ...
... parle- ment et quelques conseillers d'État , le roi les ayant forcés d'opiner sur le décret de prise de corps , le président de Bellièvre dit : « Qu'il voyait « dans cette affaire une chose étrange , un prince opiner au procès d'un de ...
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De l'esprit des lois: Tome premier Charles de Secondat baron de Montesquieu Affichage du livre entier - 1772 |
Expressions et termes fréquents
appelle Aristote avaient barbares Beaumanoir Bourguignons c'était capitulaire change chap CHAPITRE VIII Charlemagne Charles le Chauve Chine choses citoyens climat code combat judiciaire commerce comte coutumes crime Denys d'Halicarnasse despotique donner enfants esclaves établi État eût femmes fiefs firent gens Germains gouvernement Grecs Grégoire de Tours guerre Hollande hommes libres Ibid Indes jugement justice Justinien l'abbé Dubos l'an l'argent l'empire l'esprit l'Esprit des Lois l'État législateur liberté livre loi des Lombards loi salique lois civiles Lombards Louis le Débonnaire luxe magistrats maitre manière marchandises mariage mème ment mer Rouge mœurs monarchie monnaie Montesquieu n'avait n'était nation nature particuliers payer pays peine père Perse peuple Plutarque politique pouvait prince principe puissance punir qu'un raison règle religion république richesses Ripuaires rois Rome seigneur sénat sent serait serfs servitude seul sorte Strabon sujet Tacite terres tion Tite-Live toyens tribunal tributs trouve usage vassaux voulait Wisigoths
Fréquemment cités
Page 139 - Il n'ya point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice. Si elle était jointe à la puissance législative, le pouvoir sur la vie et la liberté des citoyens serait arbitraire; car le juge serait législateur. Si elle était jointe à la puissance exécutrice, le juge pourrait avoir la force d'un oppresseur.
Page 18 - Elles doivent être relatives au physique du pays; au climat, glacé, brûlant ou tempéré; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur; au genre de vie des peuples, laboureurs, 20 chasseurs ou pasteurs. Elles doivent se rapporter au...
Page 20 - Le peuple est admirable pour choisir ceux à qui il doit confier quelque partie de son autorité. Il n'a à se déterminer que par des choses qu'il ne peut ignorer, et des faits qui tombent sous les sens.
Page 141 - Comme dans un état libre tout homme qui est censé avoir une âme libre doit être gouverné par lui-même, il faudroit que le peuple en corps eût la puissance législative ; mais comme cela est impossible dans les grands états, et est sujet à beaucoup d'inconvénients dans les petits, il faut que le peuple fasse par ses représentants tout ce qu'il ne peut faire par lui-même.
Page 139 - Lorsque dans la même personne ou dans le même corps de magistrature, la puissance législative est réunie à la puissance exécutrice, il n'ya point de liberté ; parce qu'on peut craindre que le même monarque ou le même sénat ne fasse des lois tyranniques pour les exécuter tyranniquement.
Page 17 - Le droit des gens est naturellement fondé sur ce principe, que les diverses nations doivent se faire dans la paix le plus de bien , et dans la guerre le moins de mal qu'il est possible , sans nuire à leurs véritables intérêts.
Page 14 - Avant qu'il y eût des êtres intelligents, ils étaient possibles; ils avaient donc des rapports possibles, et par conséquent des lois possibles. Avant qu'il y eût des lois laites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux 2.
Page 140 - La puissance de juger ne doit pas être donnée à un sénat permanent, mais exercée par des personnes tirées du corps du peuple', dans certains temps de l'année, de la manière prescrite par la loi, pour former un tribunal qui ne dure qu'autant que la nécessité le requiert. De cette façon, la puissance de juger, si terrible parmi les hommes, n'étant attachée ni à un certain état, ni à une certaine profession, devient, pour ainsi dire , invisible et nulle. On n'a point continuellement...
Page 213 - ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique, pour s'en servir à défricher tant de terres s.
Page 38 - Les vertus qu'on nous y montre sont toujours moins ce que l'on doit aux autres, que ce que l'on se doit à soimême : elles ne sont pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens, que ce qui nous en distingue.