Erpétologie générale ou histoire naturelle complète des reptiles, Volume 7,Numéro 1

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Roret, 1854 - 780 pages
 

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Fréquemment cités

Page 551 - Les mâchoires longues, les crochets de la supérieure formant une série longitudinale continue, quoique les derniers, ou les postérieurs, soient généralement plus forts et plus longs à peu près de moitié et jamais cannelés; les écailles du dos, et le plus souvent celles des flancs, portant une ligne saillante ou une sorte de carène. Queue médiocre pour la longueur.
Page 539 - Une dernière dissemblance enGn, démontre que l'espèce décrite ici est distincte de celle qui la précède et de celle qui la suit : c'est la différence d'origine.
Page i - Alban, département de la Loire , loin des amis nombreux que sa loyauté et son excellent caractère lui avaient acquis et conservés. Heureusement il était encouragé dans ses souffrances et soutenu constamment dans sa fermeté , par la sollicitude éclairée, par les soins affectueux d'une épouse adorée et toute dévouée, qui faisait le bonheur réel et la consolation d'une existence douloureuse dont il avait prévu l'inévitable et trop rapide terminaison.
Page i - ... étrangères , et qu'il avait été décoré comme chevalier de la Légiond'Honneur. Depuis longtemps d'ailleurs, il professait l'histoire naturelle avec un grand succès, dans l'une des plus anciennes écoles primaires supérieures de la ville de Paris (collège municipal Turgot). Je ne dois pas non plus oublier de rappeler ici sa savante collaboration à plusieurs recueils scientifiques, et parmi les différentes relations de voyage, auxquelles il a...
Page 527 - ... ordinairement sous les pierres ou dans des cavités au pied des arbres. Il se nourrit d'insectes qu'il chasse d'ordinaire à l'aurore ou vers le déclin du jour. Le spécimen de Mr. Huard ne laisse voir aucune trace de points noirs sur la ligne médiane des plaques ventrales. Fam. des SYNCRANTERIENS. (') Serpents dont toutes les dents sont lisses, distribuées sur une même ligne, mais avec les dernières plus longues, sans intervalle libre au devant d'elles. Sur les cinq serpents que nous possédons,...
Page 5 - Aussi ces observations nous ont-elles suggéré la pensée de remplacer les dénominations que nous avions proposées d'abord pour désigner ces grands sous -ordres, par des termes nouveaux, propres à exprimer matériellement, et par un seul mot , les caractères essentiels qui dénotent chacun d'eux. L'examen des dents des Ophidiens devient donc la clef de la méthode suivant laquelle les Serpents se trouvent divisés et rapportés à cinq sous-ordres principaux, et ceux-ci partagés en un assez...
Page 656 - Les habitudes de ce reptile sont celles d'un animal timide, foible et dépourvu de tout moyen de défense. C'est dans la fuite qu'il cherche toujours sa sûreté ; et le besoin d'échapper à ses ennemis, lui fait contracter une rapidité de locomotion dont les autres Ophidiens des Antilles n'offrent aucun exemple. S'il n'a rien à craindre des hommes , et si sa vie est presque toujours épargnée, quand elle est à leur disposition, ce n'est pas, comme on pourroit le croire, par reconnoissance pour...
Page 13 - ... les légers changements apportés aux divisions que nous avions proposées en 1841, quand nous avons publié le volume précédent. Le quatrième sous-ordre comprend les Serpents beaucoup plus venimeux, ceux dont les dents cannelées ou les crochets, marqués d'unsimplesillon , sont constamment placés en avant de l'os sus-maxillaire , à l'inverse de ce qui a lieu dans les Opisthoglyphes, dont les crochets sillonnés sont toujours si tués en arrière de la rangée des dents lisses qui les précède.
Page i - ... avait été nommé, en 1840, membre de la Société philomatique, plus tard correspondant de plusieurs académies nationales et étrangères , et qu'il avait été décoré comme chevalier de la Légiond'Honneur. Depuis longtemps d'ailleurs, il professait l'histoire naturelle avec un grand succès, dans l'une des plus anciennes écoles primaires supérieures de la ville de Paris (collège municipal Turgot).
Page 302 - Le crâne offre des formes alongées. Les os qui le composent sont minces , les caisses peu longues, les nasaux à bords très convexes. La livrée des jeunes brille d'un éclat peu ordinaire. Le beau noir foncé et très luisant, qui occupe le dessus, passe sur les côtés du tronc au bleu d'acier ou au vert, et se confond avec la teinte blanche ou jaunâtre de l'abdomen. Une raie d'un beau jaune de citron règne le...

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