Histoire d'Espagne, depuis l'invasion des Goths jusqu'au commencement du XIXme siècle

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F.-G. Levrault, 1837

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Page 258 - Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, Treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt.
Page 258 - Les éclairs ne jaillissent plus de leurs armes souillées de sang. Combien sont-ils? enfant, compte-les bien : Vingt, dix-neuf, dix-huit, dix-sept, seize, quinze, quatorze, treize, Douze, onze, dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un. Un ! il n'y en a même plus un.
Page 259 - C'est fini. Etcheco-Jaona, vous pouvez rentrer avec votre chien , Embrasser votre femme et vos enfants, Nettoyer vos flèches, les serrer avec votre corne de bœuf, et ensuite vous coucher et dormir dessus. La nuit les aigles viendront manger ces chairs écrasées, Et tous ces os blanchiront dans l'éternité.
Page 258 - Et qu'avaient-ils à faire dans nos montagnes, ces hommes du Nord ? Pourquoi sont-ils venus troubler notre paix? Quand Dieu fait des montagnes, c'est pour que les hommes ne les franchissent pas. Mais les rochers en roulant tombent : ils écrasent les bataillons; Le sang ruisselle, les chairs palpitent; Oh!
Page 258 - Oh ! combien d'os broyés 1 quelle mer de sang ! Fuyez ! fuyez ! ceux à qui il reste de la force et un cheval. Fuis , roi Carloman , avec tes plumes noires et ta cape rouge. Ton neveu , ton plus brave , ton chéri , Roland , est étendu mort là-bas. Son courage ne lui a servi à rien.
Page 10 - Donnez-lui ce que la loi ordonne, et la renvoyez avec honneur. 49. 0 prophète! il t'est permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives que Dieu a fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles, et de tes tantes qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui te livrera son cœur.
Page 320 - ... l'espérance d'assurer leur indépendance, pactisaient avec l'ennemi. « Les walis, dit Conde, accoutumés à être indépendants dans leurs gouvernements, s'y maintenaient par une politique perfide et lâche, recherchant l'amitié et la faveur des chrétiens, pour ne pas obéir au roi leur seigneur. C'est ainsi que se perdit la frontière et que devait se perdre avec le temps toute l'Espagne. » Et, en effet, les musulmans, repoussés des Pyrénées, rejetés au delà...
Page 259 - I, p. 454), il renferme cependant de ces traits de nature qui n'appartiennent qu'aux peuples jeunes , car les Basques , séparés du monde dans leurs profondes vallées, n'avaient guère vieilli depuis Auguste jusqu'à Charlemagne. Telle est, par exemple, cette phrase si vraie dans la bouche d'un Basque : « Quand Dieu fait les montagnes, c'est pour que les hommes ne les franchissent pas...
Page 256 - ... position. La pesanteur des armes et la difficulté du terrain rendaient au contraire les Franks inférieurs en tout à leurs ennemis. Egghiard...
Page 65 - Un général arabe, au moment de livrer une bataille où il fallait vaincre ou périr, fit la prière d'usage, mais en omettant le nom du calife; ses officiers, croyant que c'était une distraction, l'en avertirent. « Sachez, répondit Mouza, que nous sommes dans un lieu et dans un moment, où nul autre nom ne doit être invoqué que le nom du Dieu très haut (3).

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