 | Comte Philippe Régis Denis de Keredern Trobriand - 1850 - 378 pages
...la nourriture des hommes et des bestiaux, et donnait un ombrage agréable pendant l'été; — c'est un peu moins grand qu'un chêne, — mais un peu plus...franc. On en achetait de tous les coins de la France. — Je me permis quelques plaisanteries à ce sujet Ah! le voilà encore, — dit-on, — il ne veut... | |
 | Alphonse Karr - 1853 - 432 pages
...la Nouvelle-Zélande — servait à la fois à la nourriture des hommes et des bestiaux, et donnait un ombrage agréable pendant l'été; — c'était...franc. On en achetait de tous les coins de la France. — Je me permis quelques plaisanteries à ce sujet. — « Ah ! le voilà encore, — dit-on, —... | |
 | Alphonse Karr - 1853 - 430 pages
...la Nouvelle-Zélande — servait à la fois à la nourriture des hommes et des bestiaux, et donnait un ombrage agréable pendant l'été; — c'était...qu'un prunier. — On vendait chaque graine un franc. Un en achetait de tous les coins de la France. — Je me permis quelques plaisanteries à ce sujet.—... | |
 | alphonse karr - 1861 - 332 pages
...chou : — les choux qu'on avait vus jusque-là n'étaient que des ébauches, des embryons de choux, grand qu'un chêne, — mais un peu plus grand qu'un...franc. On en achetait de tous les coins de la France. — Je me permis quelques plaisanteries à ce sujet. — « Ah ! le voilà encore, — dit-on, —... | |
 | Alphonse Karr - 1866 - 330 pages
...chou : — les choux qu'on avait vus jusque-là n'étaient que des ébauches, des embryons de choux , grand qu'un chêne, — mais un peu plus grand qu'un...franc. On en achetait de tous les coins de la France. — Je me permis quelques plaisanteries à ce sujet. — « Ah ! le voïli encore, — dit-on, —... | |
 | Alphonse Karr - 1866 - 674 pages
...chou : — les choux qu'on avait vus jusque-là n'étaient que des ébauches, des embryons de choux , grand qu'un chêne, — mais un peu plus grand qu'un...franc. On en achetait de tous les coins de la France. — Je me permis quelques plaisanteries à ce sujet. — « Ah ! le voiM encore, — dit-on, — il... | |
 | Lorédan Larchey - 1888 - 456 pages
...moins grand qu'un chêne, mais un peu plus grand qu'un prunier. On vendait chaque graine un franc...On en achetait de tous les coins de la France. — Au...dédaignées depuis longtemps. La justice s'en mêla. » (A. Karr, 41.) CHOUAN: Légitimiste. — Allusion aux insurgés de nos provinces de l'Ouest. C'était... | |
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Nouvelle-Zélande — servait à la fois à la nourriture des hommes et des bestiaux, et donnait un ombrage agréable pendant l'été; — c'était un peu moins grand qu'un chêne, — mais un peu plus grand qu'un prunier. — On vendait chaque graine... 