| Arnaud Jacques A. Leroy de Saint-Arnaud - 1855 - 618 pages
...bottes, déboutonné ma capote. L'exaltation, la nécessité me soutiennent ; je me porterais très-bien sans le chagrin affreux qui m'a frappé hier. Le commandant...je sympathisais le plus, a reçu, en chargeant les Kabyles, une balle qui lui a traversé la poitrine. Je l'ai pleuré, je le pleure : je déplore une... | |
| Société archéologique, historique, et géographique du Département de Constantine - 1870 - 674 pages
...13, je ne me suis pas couché, je n'ai pas ôté mes bottes, déboutonné ma capote. L'exaltation, la nécessité, me soutiennent; je me porterais très...frappé hier. Le commandant de notre bataillon, le brave tlorain, mon ami intime, l'homme avec lequel je sympathisais le plus, a reçu, en chargeant les Kabiles,... | |
| 1900 - 746 pages
...suis pas couché, je n'ai pas ôté mes bottes, déboutonné un bouton de ma capote. L'excitation, la nécessité me soutiennent, je me porterais très...bien sans le chagrin affreux qui m'a frappé hier. Notre brave commandant, mon ami intime, l'homme avec lequel je sympathisais le plus, a été frappé... | |
| Maurice Quatrelles L'Épine - 1928 - 554 pages
...poursuivis plus d'un quart de lieue. Ils étaient, sur ce point, au moins cinq cents... « L'excitation, la nécessité me soutiennent. Je me porterais très...bien sans le chagrin affreux qui m'a frappé hier. Notre brave commandant, mon ami intime Horain avec lequel je sympathisais le plus, a été frappé,... | |
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