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je sais, c'est je ne sais rien (SOCRATE). 14. La guerre m'a pris un ami sur - je comptais pour m'aider à faire un travail dans il était très compétent. 15. Le premier pas qu'on fait dans le monde est celui dépend l'avenir. 16. Ne prodiguez pas le temps, car le temps est l'étoffe la vie est faite (FRANKLIN). 17. L'aviateur X a abattu deux aéroplanes ennemis au-dessus il s'était élevé. 18. Le pays venez est vraiment beau. 19. L'homme est si léger que souvent се il s'occupe le plus est ce qui l'intéresse le moins. 20. Les régions - l'on tire les métaux ne sont pas propres à l'agriculture. Être issu de. Renoncer à. Comprendre à.1 Tirer de. S'occuper de.2

II. Vocabulaire.

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Vous

Trouver les noms qui ont servi à former les noms suivants:

un bibliothécaire

un locataire

un secrétaire

un pensionnaire

un dictionnaire

un légataire

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un expéditionnaire un mandataire

Une propriété. Le célibat. Une secte. Un vocable. Un legs (prononcez lè).

Un mandat.

III. Phrases.

Même exercice que les leçons précédentes.

LE MAL DU PAYS

«On sait mieux le français au pays de la neige;
Éloignons cet enfant de nous, se dirent-ils;

1 Ce verbe qui demande ordinairement le complément direct est souvent suivi de la préposition à, surtout quand il est accompagné de rien ou de quelque chose: Je ne comprends rien à sa conduite.

2 S'occuper à, c'est y travailler, employer son temps: Occupez-vous toujours à quelque chose d'utile. S'occuper de, c'est y penser: Je

m'occupe de mes amis.

Il faut que les garçons apprennent les exils.>>
Et l'on m'envoya loin, à Mâcon, au collège.

Oh! comme je pleurais là-bas, pauvre petit!
Mes compagnons de classe en ont gardé mémoire,
Et ceux qui m'ont revu m'en ont redit l'histoire ;
Plus de gaietés d'enfant, de jeux, ni d'appétit.

Et mes grands yeux, encore agrandis par la fièvre,
Poursuivaient fixement le songe du retour;
Je mourais d'un regret de soleil et d'amour ;
Les lettres du pays ne quittaient plus ma lèvre.

Pourtant les bois sont beaux où l'on allait courir;
Mais est-ce la beauté que, si petit, l'on aime?
Et je me repliais, frissonnant, sur moi-même,
Comme un oiseau blessé se blottit pour mourir.

Voulant m'ôter du cœur la Provence lointaine,
Des mères par pitié m'embrassaient quelquefois.
Leur baiser m'était doux, mais j'entendais leur voix ;
Quel accent étranger m'eût guéri de ma peine?

Il fallut m'emporter en Provence, un beau jour,
Ce rêve intérieur m'ayant consumé l'âme . . .
Le soleil ralluma ma vie avec sa flamme.

O souvenir sacré, ce moment du retour!

JEAN AICARD.1

1. Que décida-t-on pour cet enfant? 2. Que voulait-on lui apprendre? 3. Où l'envoya-t-on? 4. La ville de Mâcon était-elle loin de son pays? 5. L'enfant fut-il heureux au collège? 6. Qui se souvient de ses larmes? 7. A-t-il revu ses

1 Poète et auteur dramatique français, né en 1848: La Chanson de l'enfant, le Livre des petits, etc.

compagnons? Lui en ont-ils parlé? 8. L'enfant était-il gai? S'amusait-il? 9. Comment étaient ses yeux? Qu'est-ce qui les agrandissait? 10. A quoi pensait tout le temps cet enfant? 11. Que regrettait-il surtout? 12. Aimait-il recevoir des lettres de chez lui? Qu'en faisait-il? 13. Les bois où il allait courir étaient-ils beaux? Les appréciait-il? Pourquoi pas? 14. Comment se repliait-il sur lui-même? 15. Qui avait pitié de lui? Que faisaient ces personnes? Pourquoi l'embrassaientelles? 16. Était-il content alors? Mais qu'est-ce qui lui faisait peine à entendre? 17. Put-il guérir à la longue? Où fallait-il le ramener? 18. Qu'est-ce qui le guérit? 19. Que fut, pour l'enfant, ce moment du retour? 20. Quel est le nom de la maladie de l'enfant? 21. Qu'est-ce qui vous attache à votre pays?

A l'aide du texte, trouvez le contraire des mots suivants :

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I. Grammaire. Pronoms interrogatifs.

Compléter les phrases suivantes en y ajoutant le pronom interrogatif qui convient :

1. est celui de nous qui ne pourrait changer (VICTOR HUGO)? 2. Vous êtes malade? De vous plaignez-vous? vous intéressez-vous le plus ? le père et le fils. parlezauteur préféré? 6. Voilà avez-vous pensé ? 7.

3. De ces deux institutions à
4. Il y a deux Alexandre Dumas:
vous? 5.
des deux est votre
donc ce que vous avez fait! A

de plus beau que la vertu ! 8.

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de ces vertus mérite le plus

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d'autre chose?

10.

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ne fait pas un bon père pour ses enfants?

11. de ces deux hommes parlez-vous? 12. vous arrive? 13. De vous plaignez-vous; de Jean ou de Paul? 14. De ou de parlez-vous? 15. J'ai vu quelque chose, devinez

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? 16. - sont les principaux généraux qui ont donné la victoire aux alliés? 17. pensez-vous de ce qu'il dit? 18. A devons-nous la découverte de la télégraphie sans fil? 19. Dites-moi ce - c'est. 20. vous arrive-t-il?

II. Vocabulaire.

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D'après le modèle: «Le pendule est une partie de l'horloge,>> faire des phrases avec les noms suivants :

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Former une proposition qui soit le contraire de la proposition donnée. Écrire: En ne sacrifiant rien, etc.

1. En sacrifiant tout à son devoir, on devient bon citoyen et honnête homme. 2. Les hommes puissants sont toujours entourés de flatteurs, parce qu'ils ont des faveurs à donner. 3. L'activité est la source du bonheur. 4. Le travail et l'économie mènent les hommes à la fortune. 5. L'ignorance est la juste punition de l'oisiveté. 6. La gourmandise est un vice. 7. On rend l'esprit fertile en le cultivant. 8. Ne parlez jamais autrement que vous ne pensez. 9. L'élève attentif acquiert de nombreuses connaissances. 10. L'oisiveté est souvent fatigante. 11. Cherchez toutes les occasions de

bien faire. 12. Ceux qui sont absents ont toujours tort. 13. La jeunesse est le temps propre au travail. 14. Des manières polies rendent les bonnes raisons meilleures. 15. L'imprévoyance est le défaut de ceux qui ne pensent pas à l'avenir. 16. La concorde dans une famille est une source de prospérité.

L'économie

mandise

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la prodigalité. L'ignorance le savoir. La gour- la sobriété. Attentif distrait. Fatigant

La concorde la discorde.

LEÇON XXVII

I. Grammaire. y et en.

Copier, en remplaçant le tiret par y ou par en:

reposant.

1. Pour être soldat il ne suffit pas d'- porter l'uniforme. 2. C'est une grande affaire; le succès

est douteux. 3. Vous m'avez caché la vérité; j'— suis blessé. 4. Ce chien est très méchant, ne vous approchez pas. 5. Quiconque n'aperçoit pas ses fautes ne peut s'- corriger. 6. C'est lorsque nous sommes éloignés de notre pays que nous sentons les liens qui attachent. 7. Quand nous recevons une lettre, la politesse nous oblige d'- répondre. 8. Faites votre devoir; n'attendez pas qu'on vous invite. 9. Si vous voulez réussir dans vos études, donnez tous vos soins. 10. Avant la guerre,

nous

les Français furent très confiants, mais ils eurent lieu de s'repentir. 11. Plus on a de mérite, moins on

tire vanité.

tirer

12. Le temps paraît long à ceux qui ne savent pas profit. 13. On appelle avare l'homme qui a .de l'argent et n'— touche pas. 14. La paresse est une pente fatale pour ceux qui s'— abandonnent. 15. Celui qui ne pense qu'à luimême dispense les autres d'- penser. 16. On parle mal du bon sens, surtout quand on manque. 17. La moindre guerre entre nations est une chose très dangereuse; les diplomates feraient bien d'- faire attention. 18. La faim fait un

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