Œuvres complètes de Voltaire: La pucelle. Petits poëmes. Premiers contes en vers. 1877Garnier frères, 1877 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 75
Page 6
... j'ai vus . Voltaire , que le fanatisme voulait arracher de son asile , sans lui en laisser aucun autre , devait tout employer pour faire échouer le projet de ses ennemis . Aussi écrivait - il à d'Argental 2 : « Il n'y a pas de parti que ...
... j'ai vus . Voltaire , que le fanatisme voulait arracher de son asile , sans lui en laisser aucun autre , devait tout employer pour faire échouer le projet de ses ennemis . Aussi écrivait - il à d'Argental 2 : « Il n'y a pas de parti que ...
Page 8
... j'ai parlé à la page précédente . La Pucelle d'Orléans , poëme héroï - comique , par M. de Voltaire , Genève , 1757 , deux volumes très - petit in - 8 ° , de 116 et 92 pages , avec titres gravés , et cette épigraphe : Desinit in piscem ...
... j'ai parlé à la page précédente . La Pucelle d'Orléans , poëme héroï - comique , par M. de Voltaire , Genève , 1757 , deux volumes très - petit in - 8 ° , de 116 et 92 pages , avec titres gravés , et cette épigraphe : Desinit in piscem ...
Page 10
... J'ai sous les yeux une édition de 1773 , augmentée de quelques notes données sous le nom de M. de Morza , et qui la contient ; et c'est ainsi que le poëme se trouve avoir vingt et un chants dans cette édition , et dans les éditions des ...
... J'ai sous les yeux une édition de 1773 , augmentée de quelques notes données sous le nom de M. de Morza , et qui la contient ; et c'est ainsi que le poëme se trouve avoir vingt et un chants dans cette édition , et dans les éditions des ...
Page 11
... j'ai publié les premiers volumes . Depuis lors on a cependant , en général , laissé subsister la phrase dans l'ar- gument , et la lacune dans le texte . M. L. du Bois , qui , dans l'édition de Voltaire entreprise par M. Delangle en 1825 ...
... j'ai publié les premiers volumes . Depuis lors on a cependant , en général , laissé subsister la phrase dans l'ar- gument , et la lacune dans le texte . M. L. du Bois , qui , dans l'édition de Voltaire entreprise par M. Delangle en 1825 ...
Page 13
... j'ai craint de ne pouvoir donner à la Pucelle tous les soins que demandait encore ce poëme . M. Ravenel , sous - bibliothécaire de la ville de Paris , a bien voulu se charger de ce travail . Je lui ai donc remis les notes que j'avais ...
... j'ai craint de ne pouvoir donner à la Pucelle tous les soins que demandait encore ce poëme . M. Ravenel , sous - bibliothécaire de la ville de Paris , a bien voulu se charger de ce travail . Je lui ai donc remis les notes que j'avais ...
Autres éditions - Tout afficher
Œuvres complètes de Voltaire: La pucelle. Petits poëmes. Premiers contes en ... Voltaire Affichage du livre entier - 1877 |
Expressions et termes fréquents
affreux Agnès Sorel aime amant âme amour âne Anglais auteur beau beau Robert beauté belle Agnès bonheur Bonneau bras Brognon C'était Cantique des cantiques cantiques cent Chandos chant Charles charmant cher ciel cieux cœur combat Conculix Covelle crie d'Argental dévot diable Dieu dieux discours dit-il divin Dorothée doux Dunois éditeurs Édition de 1756 encens esprit fière fille frère Genève guerre hélas Hermotime héros heureux homme humain imprimé j'ai jamais Jean Chandos Jeanne Jeanne d'Arc jour l'amour l'âne l'auteur l'édition l'esprit l'homme lettre Lisbonne Louis Louis XIV main maître maîtresse malheureux manuscrit monde Monrose mort mortels nature noble Note de Voltaire Orléans parle Patouillet philosophe plaisir plaisirs pleurs poëme porte premières éditions Pucelle qu'un raison rien rois Rousseau sage saint Denis savez secret sentiments seul Talbot tendre terre Thieriot Tirconel tremblant Trimouille triste vertu voit voix Voyez yeux
Fréquemment cités
Page 423 - Les miracles sont bons ; mais soulager son frère , Mais tirer son ami du sein de la misère , Mais à ses ennemis pardonner leurs vertus , C'est un plus grand miracle , et qui ne se fait plus Ce magistrat , dit-on , est sévère , inflexible ; Rien n'amollit jamais sa grande âme insensible.
Page 475 - N'est qu'un passage étroit vers un monde éternel. Nous essuyons ici des douleurs passagères : Le trépas est un bien qui finit nos misères. Mais quand nous sortirons de ce passage affreux, Qui de nous prétendra mériter d'être heureux? Quelque parti qu'on prenne, on doit frémir, sans doute. Il n'est rien qu'on connaisse, et rien qu'on ne redoute. La nature est muette, on l'interroge en vain; On a besoin d'un Dieu qui parle au genre humain.
Page 398 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 359 - Tu veux donc, belle Uranie, Qu'érigé par ton ordre en Lucrèce nouveau, Devant toi, d'une main hardie, Aux superstitions j'arrache le bandeau; Que j'expose à tes yeux le dangereux tableau Des mensonges sacrés dont la terre est remplie, Et que ma philosophie T'apprenne à mépriser les horreurs du tombeau Et les terreurs de l'autre vie.
Page 456 - A la religion discrètement fidèle , Sois doux, compatissant, sage, indulgent comme elle ; Et sans noyer autrui songe à gagner le port : La clémence a raison , et la colère a tort. Dans nos jours passagers de peines, de misères, Enfants du même Dieu , vivons du moins en frères ; Aidons-nous l'un et l'autre à porter nos fardeaux...
Page 419 - Mais malheur à l'auteur qui veut toujours instruire ! Le secret d'ennuyer est celui de tout dire. C'est ainsi que ma muse avec simplicité Sur des tons différents chantait la vérité , Lorsque, de la nature éclaircissant les voiles, Nos Français à Quito cherchaient d'autres étoiles; Que Clairaut, Maupertuis , entourés de glaçons . D'un secteur à lunette étonnaient les Lapons , Tandis que , d'une main stérilement vantée...
Page 466 - Je dois être aussi cher à mon maître , moi être pensant et sentant , que les planètes, qui probablement ne sentent point.
Page 477 - Atomes tourmentés sur cet amas de boue, Que la mort engloutit et dont le sort se joue, Mais atomes pensants, atomes dont les yeux, Guidés par la pensée, ont mesuré les cieux, Au sien de l'infini nous élançons notre être, Sans pouvoir un moment nous voir et nous connaître.
Page 384 - Quelque différence qui paraisse entre les fortunes, il ya néanmoins une certaine compensation de biens et de maux qui les rend égales.
Page 460 - O Dieu qu'on méconnaît, ô Dieu que tout annonce, Entends les derniers mots que ma bouche prononce ; Si je me suis trompé, c'est en cherchant ta loi. Mon cœur peut s'égarer, mais il est plein de toi. Je vois sans m'alarmer l'éternité paraître ; Et je ne puis penser qu'un Dieu qui m'a fait naître, Qu'un Dieu qui sur mes jours versa tant de bienfaits, Quand mes jours sont éteints me tourmente à jamais1.