 De grands branchages s'y dressaient affreusement. Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant...  Revue contemporaine - Page 3651862Affichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Victor Hugo - 1862 - 364 pages
...ténébreux, sans aucun froissement de feuilles, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été. De grands branchages s'y dressaient affreusement....avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les côtés il y avait des étendues lugubres. arbres, deux épaisseurs redoutables. Une réalité... | |
 | Victor Hugo - 1862 - 698 pages
...ténébreux , sans aucun froissement de feuilles , sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été. De grands branchages s'y dressaient affreusement....avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les cotés il y avait des étendues lugubres. L'obscurité est vertigineuse. Il faut à l'homme... | |
 | Eugène de Mirecourt - 1862 - 316 pages
...égaré cette grosse étoile qu'elle ne connaissait pas. Un vent froid soufflait de la plaine. Le ciel était ténébreux; de grands branchages s'y dressaient...herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles. De tous les côtés il y avait des étendues lugubres. Les forêts sont des apocalypses, et le battement... | |
 | Victor Hugo - 1866 - 492 pages
...ténébreux , sans aucun froissement do feuilles, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été. De grands branchages s'y dressaient affreusement....le vent, passaient rapidement et avaient l'air de s'enfair avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les côtés il y avait des étendues... | |
 | Victor Hugo - 1887 - 432 pages
...horrible. La brume, lugubrement empourprée, élargissait l'astre. On eût dit une plaie lumineuse. anguilles. Les ronces se tordaient comme de longs...avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les côtés il y avait des étendues lugubres. L'obscurité est vertigineuse. Il faut à l'homme... | |
 | Victor Hugo - 1888 - 384 pages
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 | Victor Hugo - 1888 - 732 pages
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 | Georges Duval - 1888 - 348 pages
...l'Esprit. Et les nrhres, troublés d'un sépulcral frisson, Tordaient leurs bras soutirants. Idem. Les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre des proies. Les Misérables* Une roche Sortait du noir brouillard comme un bras qui s'approche La Fin de Satan... | |
 | Victor Hugo - 1890 - 436 pages
...ténébreux, sans aucun froissement de feuilles, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été. De grands branchages s'y dressaient affreusement....buissons chétifs et difformes sifflaient dans les cl airières. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient... | |
 | Victor Hugo - 1904 - 670 pages
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