Poésies, Volumes 3 à 4P. Didot l'aîné, 1823 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 45
Page 8
... héros , plus de grand homme ; Chez ce peuple de conquérants Il est un pape , et plus de Rome . Va plutôt vers ces monts qu'autrefois sépara Le redoutable fils d'Alcmène , Qui dompta les lions , sous qui l'hydre expira , Et qui des dieux ...
... héros , plus de grand homme ; Chez ce peuple de conquérants Il est un pape , et plus de Rome . Va plutôt vers ces monts qu'autrefois sépara Le redoutable fils d'Alcmène , Qui dompta les lions , sous qui l'hydre expira , Et qui des dieux ...
Page 42
... obscurs écrits , Princes , ducs , maréchaux , qui n'en ont rien appris . Contre le vil croquant tout honnête homme éclate , Avant que sur sa joue ou sur son omoplate Des rois et des héros les grands noms soient vengés 42 ÉPITRE.
... obscurs écrits , Princes , ducs , maréchaux , qui n'en ont rien appris . Contre le vil croquant tout honnête homme éclate , Avant que sur sa joue ou sur son omoplate Des rois et des héros les grands noms soient vengés 42 ÉPITRE.
Page 43
Voltaire. Des rois et des héros les grands noms soient vengés Par l'empreinte des lis qu'il a tant outragés . Ces serpents odieux de la littérature , Abreuvés de poisons et rampant dans l'ordure , Sont toujours écrasés sous les pieds des ...
Voltaire. Des rois et des héros les grands noms soient vengés Par l'empreinte des lis qu'il a tant outragés . Ces serpents odieux de la littérature , Abreuvés de poisons et rampant dans l'ordure , Sont toujours écrasés sous les pieds des ...
Page 59
... héros ... Ce sont les souverains Qui font le caractère et les mœurs des humains . Un grand homme du temps a dit dans un beau livre : « Quand Auguste buvait la Pologne était ivre 4. » Ce grand homme a raison : les exemples d'un roi ...
... héros ... Ce sont les souverains Qui font le caractère et les mœurs des humains . Un grand homme du temps a dit dans un beau livre : « Quand Auguste buvait la Pologne était ivre 4. » Ce grand homme a raison : les exemples d'un roi ...
Page 62
... héros que célébra l'histoire ! J'aurais cru ressembler à ce vieux Philémon , Qui recevait les dieux dans son pauvre ermitage . Je les aurais connus à leur noble langage , A leurs mœurs , à leurs traits , sur - tout à leur bonté 1 ; Ils ...
... héros que célébra l'histoire ! J'aurais cru ressembler à ce vieux Philémon , Qui recevait les dieux dans son pauvre ermitage . Je les aurais connus à leur noble langage , A leurs mœurs , à leurs traits , sur - tout à leur bonté 1 ; Ils ...
Table des matières
120 | |
121 | |
122 | |
124 | |
125 | |
127 | |
129 | |
130 | |
132 | |
133 | |
135 | |
136 | |
137 | |
138 | |
140 | |
143 | |
144 | |
145 | |
147 | |
149 | |
150 | |
151 | |
153 | |
154 | |
155 | |
156 | |
166 | |
167 | |
168 | |
169 | |
170 | |
184 | |
195 | |
200 | |
205 | |
209 | |
213 | |
218 | |
226 | |
230 | |
236 | |
242 | |
246 | |
250 | |
254 | |
263 | |
289 | |
295 | |
300 | |
304 | |
306 | |
383 | |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
affreux aimable aime amour arts Atrée auguste auteur Barmécide beaux Boileau Boveresse brave brillant cagots cent chants charmant cher Chine Chinois chrétien Cicéron ciel cieux cœur déja dévots Dieu dieux divin doux Dunciade écrits Édit Édition de Kehl enfants enfers Épictète ÉPITRE esprit éternel fanatiques Ferney fesait Fréron fripons gens gloire goût grace Grèce guerre Hélas héros heureux homme humains Ibid j'ai jamais jansénisme Jean-Jacques Journal de Trévoux jours Kehl Kien-Long l'abbé l'amour l'auteur l'esprit l'univers lauriers long-temps Louis MADAME madame Necker main malheureux Marc-Aurèle MARQUIS DE VILLETTE monde mort mortels Muse NOTE DE L'ÉPITRE NOTE DE L'ODE NOTES ET VARIANTES nuit ouvrage paix Parnasse Patrocle Pékin père peuple philosophe plaisir plaisirs pleurs poëme prince PRUSSE qu'un régner rien rois Rome sage saint sang savants seul sots sottises talents temple terre trembler triste trône tyrans vainqueur venger Vénus vertu Virgile vois voix Voltaire yeux
Fréquemment cités
Page 139 - Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire, Le Temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage : Qui n'a pas l'esprit de son âge De son âge a tout le malheur.
Page 318 - L'innocence à genoux y tend la gorge au crime : La fortune y domine, et tout y suit son char. Ce globe infortuné fut formé pour César : Hâtons-nous de sortir d'une prison funeste; Je te verrai sans ombre, ô vérité céleste ! Tu te caches de nous dans nos jours de sommeil : Cette vie est un songe et la mort un réveil.
Page 189 - Tout annonce d'un Dieu l'éternelle existence; On ne peut le comprendre, on ne peut l'ignorer. La voix de l'univers annonce sa puissance, Et la voix de nos cœurs dit qu'il faut l'adorer.
Page 53 - C'est le sacré lien de la société, Le premier fondement de la sainte équité, Le frein du scélérat, l'espérance du juste. Si les cieux , dépouillés de son empreinte auguste , Pouvaient cesser jamais de le manifester, Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer.
Page 182 - Ainsi j'essaye encor ma voix Au moment même qu'elle expire. 'Je veux dans mes derniers adieux, Disait Tibulle à son amante, Attacher mes yeux sur tes yeux, Te presser de ma main mourante.
Page 115 - Dont les talents et les écrits * Seraient de tous nos beaux esprits Ou la censure ou les modèles ! Que Paris est changé! les Welches n'y sont plus ; Je n'entends plus siffler ces ténébreux reptiles, Les Tartuffes affreux, les insolents Zoïles.
Page 64 - Reçois mes compliments , charmant roi de la Chine. Ton trône est donc placé sur la double colline ! On sait dans l'Occident que , malgré mes travers , J'ai toujours fort aimé les rois qui font des vers. David même me plut...
Page 54 - Que le sage l'annonce , et que les roisle craignent. Rois, si vous m'opprimez, si vos grandeurs dédaignent Les pleurs de l'innocent que vous faites couler, Mon vengeur est au ciel: apprenez à trembler. Tel est au moins le fruit d'une utile croyance.
Page 85 - J'ai vécu plus que toi; mes vers dureront moins. Mais au bord du tombeau je mettrai tous mes soins A suivre les leçons de ta philosophie, A mépriser la mort en savourant la vie, A lire tes écrits pleins de grâce et de sens, Comme on boit d'un vin vieux qui rajeunit les sens.
Page 139 - M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge, De son âge a tout le malheur. Laissons à la belle jeunesse Ses folâtres emportements ; Nous ne vivons que deux moments : Qu'il en soit un pour la sagesse. Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel qui me consoliez Des amertumes de la vie...