Histoire philosophique de la révolution de France, Volume 8Belin, 1807 |
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... ment , mais d'y insérer plusieurs chapitres impor- tans par les lumières que les détails d'une révolu tion arrivée dans un siècle où tous les arts aggran- dissant la sphère des connaissances humaines , doi- vent jeter sur les anciens ...
... ment , mais d'y insérer plusieurs chapitres impor- tans par les lumières que les détails d'une révolu tion arrivée dans un siècle où tous les arts aggran- dissant la sphère des connaissances humaines , doi- vent jeter sur les anciens ...
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... ment les prétentions les plus hautaines , avait reçu ordre du directoire de quitter la France . Si son séjour dans Paris le rendit témoin des ruses employées tour - à - tour par les royalistes et les anarchistes pour renverser le gouver ...
... ment les prétentions les plus hautaines , avait reçu ordre du directoire de quitter la France . Si son séjour dans Paris le rendit témoin des ruses employées tour - à - tour par les royalistes et les anarchistes pour renverser le gouver ...
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... ment de ces misérables ! Vous seuls avez tort , qui les avez investis du pouvoir sans bornes dont ils ont abusé ! et dans sa fureur , oubliant qu'il parlait à moi , il ajoutait : vous êtes tous la cause de la mort de Louis XVI ; vous ...
... ment de ces misérables ! Vous seuls avez tort , qui les avez investis du pouvoir sans bornes dont ils ont abusé ! et dans sa fureur , oubliant qu'il parlait à moi , il ajoutait : vous êtes tous la cause de la mort de Louis XVI ; vous ...
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... ment si habilement compassé , que , les enrôlés connus , il était difficile d'atteindre les prin- cipaux enrôleurs ; et au moment où l'on croyait tenir la chaîne , elle se trouvait rompue . Les enrôleurs subalternes non - seulement ne ...
... ment si habilement compassé , que , les enrôlés connus , il était difficile d'atteindre les prin- cipaux enrôleurs ; et au moment où l'on croyait tenir la chaîne , elle se trouvait rompue . Les enrôleurs subalternes non - seulement ne ...
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... ne craignait que la maison d'Autriche . Les prétentions de l'empe- reur Joseph II dont j'ai parlé précédem- AN 5 . ment , des demandes impérieuses d'échanges 1797. refusées , et DE FRANCE . 39 Insurrections des provinces véni- tiennes.
... ne craignait que la maison d'Autriche . Les prétentions de l'empe- reur Joseph II dont j'ai parlé précédem- AN 5 . ment , des demandes impérieuses d'échanges 1797. refusées , et DE FRANCE . 39 Insurrections des provinces véni- tiennes.
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
agens Anglais armée armées françaises armes arrêter assemblées Autrichiens avaient Berne beys bientôt blique Bonaparte Brueix çais Campo-Formio cantons Championnet CHAPITRE cinq cents citoyens coalition commandait commerce Condé congrès de Rastadt conspiration constitution corps législatif cour de Londres cour de Vienne d'Autriche déclara départemens députés devait directoire division ennemis escadre Etats eût événemens floréal flotte forces fran fructidor général gouvernement guerre habitans heures hussards Italie Jean Debry l'amiral l'Angleterre l'armée française l'empereur l'empire l'escadre l'Europe l'Helvétie l'Italie Larévellière légation française liberté Limath long-tems Louis XVIII Malte mée ment Milan mille hommes ministres Moreau Naples non-seulement ordres Ottomans paix patrie peuple Pichegru politique port pouvait prince Prusse publique puissance représentans répu républicains république cisalpine république française révolution Rhin rive royalistes Russes s'était saient Schérer sénat serait seul Sonthonax Suisses sureté Suwarow systême tems tion Toussaint Louverture traité traité de Campo-Formio troupes trouvait vaisseaux Venise vénitiennes Villate voulait
Fréquemment cités
Page 174 - San-Giacomo , offrant un avantage égal aux deux parties , laquelle sera désignée par des officiers du génie nommés de part et d'autre avant l'échange des ratifications du présent traité. La ligne de limite passera ensuite...
Page 133 - J'éloignerai les coquins, et les placerai dans des lieux où ils ne peuvent nuire, et où leur position sera telle qu'ils ne pourront se réunir. Cela fait, dès que je serai de l'autre côté du Rhin, je proclame le roi; j'arbore le drapeau blanc ; le corps de Condé ct l'armée de l'Empereur s'unissent à nous : aussitôt je repasse le Rhin et je rentre en France.
Page 133 - Mais il faut que vous sachiez que pour le soldat français la royauté est au fond du gosier. Il faut, en criant vive le roi! lui donner du vin et un écu dans la main.
Page 133 - ... en quatre jours, et je me perdrais en quinze jours. Mon armée est composée de braves gens et de coquins : il faut séparer les uns des autres, et aider tellement les premiers par une grande démarche, qu'ils n'aient plus la possibilité de reculer, et ne voient plus leur salut que dans le succès. Pour y parvenir, j'offre de passer le Rhin où l'on me désignera, le jour et à l'heure fixés, et avec la quantité de soldats et de toutes les armes que l'on voudra. — Avant, je placerai, dans...
Page 176 - Il sera tenu à Rastadt un congrès uniquement composé des plénipotentiaires de l'empire germanique et de ceux de la république française pour la pacification entre ces deux puissances.
Page 289 - Sur son rapport le directoire prend le jour même un arrêté qui charge le ministre de la république près les cantons helvétiques, de déclarer aux gouvernemens de Berne et de Fribourg que les membres de ces gouvernemens répondront personnellement de la sûreté individuelle et des propriétés des habitans du pays de Vaud qui se...
Page 154 - La déportation doit être désormais le grand moyen de salut pour la chose publique; c'est la peine qu'il faut faire subir à tous les ennemis irréconciliables de la liberté et de la république; cette mesure est commandée par la . politique; elle est autorisée par la justice, avouée par l'humanité.
Page 175 - Bohême, et à la République française, des avantages égaux à ceux dont jouissent, dans les États respectifs, les nations les plus favorisées. En attendant, toutes les communications et relations commerciales seront rétablies dans l'état où elles étaient avant la guerre.
Page 398 - Ses habits étaient déchirés; il était blessé au bras gauche, à l'épaule et au nez ; sa perruque et son chapeau lavaient garanti d'un coup de sabre sur la tête, de manière qu'il n'en avait qu'une contusion.
Page 97 - Ceux de nos sujets fidèles que nous avons chargés de vous éclairer sur vos véritables intérêts, retrouveront dans cet écrit les instructions qu'ils ont reçues. Ceux que la pureté de leur zèle et la sagesse de leurs principes rendront dignes à l'avenir de notre confiance, y liront d'avance les instructions...