Histoire du prolétariat ancien et moderneGuillaumin, 1882 - 718 pages |
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Histoire du Prolétariat: Ancien Et Moderne (Classic Reprint) Amédée Villard Aucun aperçu disponible - 2017 |
Expressions et termes fréquents
affranchis associations avaient bénéfices bienfaisance bourgeois c'est-à-dire C'était caisses caisses d'épargne capital censive cessé charité Charlemagne citoyens civile civilisation classe clergé colonat colons commune concurrence condition Congrès consommation corporations corvées cultiver dépenses devait dime distributions économique enfants esclaves Etats Etats-Généraux Eupatrides famille féodaux fiefs François Ier générale Germains Gracques grèves guerre habitants hommes hôpitaux impôts indigents indus industriels institutions jour justice l'assistance l'association l'Empire l'épargne l'esclavage l'esclave l'Etat l'impôt l'industrie l'ouvrier liberté libres lods et ventes Louis Louis Blanc Louis XIV mainmortables maison mème mendicité ment métiers millions misère moyen moyen âge n'était nation noblesse nombre organisation ouvriers partout paupérisme pauvres payer paysan pendant peuple plèbe population pouvait privée privilèges produits prolétaires propriété provinces public publique redevances rente romaine Rome royale royauté ruine Saint-Simon salaires secours mutuels seigneur seigneuriaux serfs servage services servitude seule socialisme sociétés sorte suivant taille terre Tiers tion travail travailleurs tribu Turgot vail villes XIIe siècle
Fréquemment cités
Page 615 - Il sera créé et organisé un établissement général de Secours publics, pour élever les enfants abandonnés, soulager les pauvres infirmes, et fournir du travail aux pauvres valides qui n'auraient pas pu s'en procurer.
Page 415 - Il sera créé et organisé une instruction publique, commune à tous les citoyens, gratuite à l'égard des parties d'enseignement indispensables pour tous les hommes, et dont les établissements seront distribués graduellement, dans un rapport combiné avec la division du royaume.
Page 316 - C'est le bal à toutes les dames, et un grand souper : c'a été un scandale public. M. de Rohan, honteux, a continué, et c'est ainsi que nous chantons en mourant, semblables au cygne; car mon fils le dit.
Page xiii - Plus on examine avec attention l'histoire du passé, plus on voit combien se trompent ceux qui s'imaginent que notre époque a enfanté de nouvelles misères sociales. La vérité est que ces misères sont anciennes; ce qui est nouveau, c'est l'intelligence qui les découvre et l'humanité qui les soulage.
Page 465 - Mon ami, c'est que, quand les pauvres ont bien voulu qu'il y eût des riches, les riches ont promis de nourrir tous ceux qui n'auraient de quoi vivre ni par leur bien ni par leur travail.
Page 316 - une grande rue , et défendu de les recueillir sur peine « de la vie ; de sorte qu'on voyait tous ces misérables , « femmes accouchées, vieillards,' enfants, errer en pleurs « au sortir de cette ville, sans savoir où aller, sans avoir
Page 283 - Philisbourg, des citoyens s'instruisent du dedans et du dehors d'un royaume, étudient le gouvernement, deviennent fins et politiques, savent le fort et le faible de tout un État, songent à se mieux placer, se placent, s'élèvent, deviennent puissants, soulagent le prince d'une partie des soins publics. Les grands, qui les dédaignaient, les révèrent : heureux s'ils deviennent leurs gendres.
Page 237 - Non-seulement sa situation a beaucoup changé, mais les éléments en étaient tout autres : au xne siècle elle ne se composait guère que de marchands, de négociants faisant un petit commerce, et de petits propriétaires, soit de maisons, soit de terres, qui avaient pris dans la ville leur habitation. Trois siècles après, la bourgeoisie comprenait, en outre des avocats, des médecins, des lettrés de tous genres, tous les magistrats locaux. La bourgeoisie s'est formée successivement, et...
Page 173 - France. rectement par les moines, à l'aide de corvées et du travail des serfs de corps ; les autres inféodés ou acensés. Les sujets de l'abbaye étaient divisés en quatre classes. La première était celle des barons ou des hommes libres, qui ne devaient que le service militaire à cheval. Au nombre de trente, ils formaient la cour de baronnie. — Ils possédaient des terres indépendantes. Les censitaires libres composaient la seconde classe. Ils payaient un cens annuel, formaient le conseil...
Page 672 - Par toutes les recherches que j'ai pu faire depuis plusieurs années que je m'y applique, j'ai fort bien remarqué que, dans ces derniers temps, près de la dixième partie du peuple est réduite à la mendicité, et mendie effectivement ; que des neuf autres parties, il y en a cinq qui ne sont pas en état...