Les guêpes ...Lecou, 1853 |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
Aimé Martin Alexandre Dumas amis annonce appelle arrive assez aujourd'hui avez Balzac beau c'est-à-dire c'était carrés de papier cent Chambre cheval chose Delecluse demande députés dernier dire disait discours domestique donner Dubignac duc d'Orléans DUGRIVEL électeurs émeutes enfants êtes Eugène Sue femme fleurs foule Gabriel Delessert Gannal garde nationale gens gouvernement Guêpes Guizot homme Honfleur Hugo Ingres j'ai jamais jardin Jean-Pierre Lutandu jolie Journal des Débats journaux jury l'autre jour l'émeute laissé Ledru-Rollin lettres livre Louis Louis XVIII Louis-Aimé Martin Louis-Philippe madame mademoiselle Mahul manger marchands ment messieurs mille ministre mois monde monseigneur monsieur Augustin mort Mycènes n'ai Nisard Olympia parler passer pauvres peintres pensée personne petite peuple phrase poëte police portrait pouvoir préfet presse prétexte qu'un raison répondit reste ridicule rien Rudder s'est sais savez Schoene serait seul singulier société sorte tableau Tartempiou théâtre Thiers tion trouve veut Victor Hugo Villemain voici voilà
Fréquemment cités
Page 222 - La personne du roi est inviolable et sacrée. Ses ministres sont responsables. Au roi seul appartient la puissance executive. 13. Le roi est le chef suprême de l'Etat ; il commande les forces de terre et de mer , déclare la guerre , fait les traités de paix , d'alliance et de commerce...
Page 220 - Ledru se plaint des priviléges, — il fait bon marché de son privilége d'électeur, qui ne lui coûte rien; mais il ne dit mot de sa charge d'avocat aux conseils du roi et à la cour de cassation, qui lui a coûté trois cent trente mille francs. — A la bonne heure! c'était là une belle offrande à déposer sur l'autel de la patrie. — Mais il ya privilège et privilége,—et c'est, en effet, une hideuse chose que les priviléges dont jouissent les autres. M" Ledru prend en grand'pitié...
Page 269 - SANCTA. — Comme le mois dernier — je vous parlais — de vos croyances — à cette époque d'incrédulité, — je vous rappelais le chou colossal. — Savez-vous ce qu'a produit ce souvenir? — une grande défiance des annonces des journaux? Nullement : l'idée à un monsieur de renouveler la plaisanterie. Il ya deux ou trois ans, — on vit, à la quatrième page de tous les journaux de toutes les couleurs, un éloge pompeux d'un nouveau chou. — Je vous ai souvent fait remarquer la touchante...
Page 140 - Vous êtes entré à l'Académie en en enfonçant les portes;— en vain vous avez caché votre triomphe. — en vain vous avez pris une allure modeste et hypocrite : — vos confrères malgré eux — ont fait comme les vieilles femmes d'une ville prise d'assaut : — elles jettent du haut des fenêtres, sur la tète de l'ennemi, tous leurs ustensiles de ménage.
Page 142 - FRANÇAISE. Le Français, né malin, créa la guillotine. Beaucoup de gens ont déjà remarqué qu'on ne s'amusait plus en France. — Cette question, beaucoup plus grave qu'on ne semble le croire, a dû occuper quelques-unes de mes méditations. - — Voici les causes que j'en ai trouvées : à cette époque où le gouvernement de la France était une monarchie absolue tempérée par des chansons, — il n'y avait dans les affaires qu'un très-petit nombre de rôles à jouer, — et ces rôles,...
Page 208 - L'émeute est tour à tour défendue et permise : Le gouvernement de Juillet, Selon les temps, les lieux et surtout l'intérêt, La canonne ou la canonise. La police n'a pas tardé à faire supprimer le transparent, devant lequel commençait à s'amasser une foule curieuse.
Page 168 - Trojœ qui priraus ab oris... fato profugus Je chante les baïonnettes intelligentes (arma) et le fonctionnaire (virum) qui le premier (M. Mahul, — le second est M. Plougoulm) s'enfuit de Toulouse. Comme on demandait à M. Royer-Collard ce qu'il pensait de l'affaire de Toulouse : « Je pense, dit-il, que le ministère s'est trompé : il a cru que les oies pourraient encore une fois sauver le Capitule; — mais il ya entre les oies d'aujourd'hui et les oies de ce temps-là la même différence qu'entre...
Page 106 - ... deux femmes. — Entre deux amis, il n'y en a qu'un qui soit l'ami de l'autre. — Entre tous les ennemis, le plus dangereux est celui dont on est l'ami. — A la fin de sa vie, on découvre qu'on n'a jamais autant souffert de personne que de son ami. — Ce serait pourtant une belle et sainte chose que l'ainitii:.
Page 338 - Si la mort est le but, — pourquoi donc, sur les routes. Est-il dans les buissons de si charmantes fleurs? Et, lorsqu'au vent d'automne elles s'envolent toutes, Pourquoi les voir partir d'un œil mouillé de pleurs? Si la vie est le but, — pourquoi donc, sur les routes, Tant de pierres dans l'herbe et d'épines aux fleurs ! Que, pendant le voyage, hélas ! nous devons toutes Tacher de notre sang...
Page 49 - On s'occupe beaucoup, à la Chambre et dans les journaux, de la loi sur la propriété littéraire... Il ya quelques années déjà, au milieu d'une discussion sur le même sujet, j'avais proposé une loi, qui a été jugée, en ce temps-là, par les meilleurs esprits, si simple, si raisonnable, qu'on n'y a pas trouvé la moindre objection.