Discours politiques (1847 à 1881)Germer-Baillière, 1882 - 454 pages |
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Expressions et termes fréquents
absolument appelé Applaudissements arrivé Assemblée aujourd'hui aurait avaient bancs c'était cause Chambre chers chose citoyens cœur commission commun compte condition coup d'autres d'avoir d'être déclaration demande devant dire disait discours doit donner effet enfants enfin esprits Est-ce faisait fond force forme Garibaldi gauche général génie gouvernement guerre heures hommes humaine idées intérêts j'ai jour juge justice l'Assemblée l'État l'homme l'ordre laissé liberté libre lieu livre LOUIS BLANC lutte main malheureux manière membres ment messieurs mettre ministres monde mort Mouvement moyen n'avait n'était nationale nature nombre ouvriers parle passer pauvre pays peine pendant pensée personne peuple place porter pouvait pouvoir première présent président presse prolongés publique puissance qu'à qu'en qu'un question raison rapport régime républicains République reste Révolution rien s'il sentiment serait seulement siècle social société sorte suffrage universel système tion travail trouve venait vérité Vifs Vive voilà vote vrai
Fréquemment cités
Page 316 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre .qu'auparavant.
Page 302 - Il en a été autrement; nos soldats ont été reçus en ennemis : notre honneur militaire est engagé; je ne souffrirai pas qu'il reçoive aucune atteinte. Les renforts ne vous manqueront pas.
Page 233 - ... il est réellement de trop sur la terre. Au grand banquet de la nature, il n'ya point de couvert mis pour lui. La nature lui commande de s'en aller, et elle ne tarde pas à mettre elle-même cet ordre à exécution ». M.
Page 382 - En tout genre de travail, il doit arriver et il arrive en effet que le salaire de l'ouvrier se borne à ce qui lui est nécessaire pour lui procurer sa subsistance.
Page 324 - Lecteur, vous pouvez m'en croire. Je prédis à quiconque a des entrailles et néglige de si saints devoirs, qu'il versera longtemps sur sa faute des larmes amères, et n'en sera jamais consolé.
Page 320 - J'entendais autour de moi un chuchotement de femmes qui me semblaient belles comme des anges, et qui s'entre-disaient à demivoix : Cela est charmant, cela est ravissant; il n'ya pas un son là qui ne parle au cœur.
Page 39 - Mes amis, sachez-le, vous serez non-seulement puissants, vous serez non-seulement riches, vous serez rois : car tous les hommes sont égaux, tous les hommes sont rois !.... « Sentiments de modération tempérés par une 5.
Page 315 - ... puisqu'il est manifestement contre la loi de nature, de quelque manière qu'on la définisse, qu'un enfant commande à un vieillard, qu'un imbécile conduise un homme sage, et qu'une poignée de gens regorge de superfluités, tandis que la multitude affamée manque du nécessaire.
Page 300 - C'est là le principe de l'égalité : l'association en est la forme nécessaire. Le but final de l'association est d'arriver à la satisfaction des besoins intellectuels, moraux et matériels de tous, par l'emploi de leurs aptitudes diverses et le concours de leurs efforts. Les travailleurs ont été esclaves, ils ont été serfs, ils sont aujourd'hui salariés ; il faut tendre à les faire passer à l'état d'associés.
Page 226 - Si le roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.