Histoire de la littérature dramatique, Volume 4Michel Lévy frères, 1854 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 90
Page 1
... Père de Fa- mille , un drame de sa prédilection , et dans une fantaisie inédite où se joue en riant ce bel esprit improvisateur qui d'une main prodigue , inépuisable , jette à qui les veut ramasser , les trésors de sa verve et de son ...
... Père de Fa- mille , un drame de sa prédilection , et dans une fantaisie inédite où se joue en riant ce bel esprit improvisateur qui d'une main prodigue , inépuisable , jette à qui les veut ramasser , les trésors de sa verve et de son ...
Page 2
... Père de Famille et l'éditeur de l'Encyclopédie emportât la place d'assaut , ou qu'il y entrât par surprise . Il y avait si longtemps que nous l'attendions , sur ce piédestal que lui seul il pouvait occuper , ce maître excellent parmi ...
... Père de Famille et l'éditeur de l'Encyclopédie emportât la place d'assaut , ou qu'il y entrât par surprise . Il y avait si longtemps que nous l'attendions , sur ce piédestal que lui seul il pouvait occuper , ce maître excellent parmi ...
Page 4
... père Canaye et son cheval . Il avait des admirations jusqu'à l'apothéose et des violences jusqu'à l'injure ! Demandez à Marmontel , à Naigeon , à Cogé , à Ribaillier , à Palissot , à cet aréopage de cabaret et de carrefour , comme il ...
... père Canaye et son cheval . Il avait des admirations jusqu'à l'apothéose et des violences jusqu'à l'injure ! Demandez à Marmontel , à Naigeon , à Cogé , à Ribaillier , à Palissot , à cet aréopage de cabaret et de carrefour , comme il ...
Page 7
... Père de Famille , puisque enfin c'est au Père de Famille que commence le drame moderne ; puisque le premier qui a eu l'idée de jeter dans la tragédie les passions bour- geoises et les héros bourgeois , c'est Diderot . Idée féconde que ...
... Père de Famille , puisque enfin c'est au Père de Famille que commence le drame moderne ; puisque le premier qui a eu l'idée de jeter dans la tragédie les passions bour- geoises et les héros bourgeois , c'est Diderot . Idée féconde que ...
Page 10
... Père de Famille , encore une fois , c'est « une tra- gédie bourgeoise » où l'on pleure . Cette partie de tric - trac s'engage vivement entre Cécile et son oncle le commandeur . Le père de famille attend son fils Toute cette famille est ...
... Père de Famille , encore une fois , c'est « une tra- gédie bourgeoise » où l'on pleure . Cette partie de tric - trac s'engage vivement entre Cécile et son oncle le commandeur . Le père de famille attend son fils Toute cette famille est ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
acte admirable aimait âme amoureux beau beauté belle c'était Casimir Delavigne chanson chante charmant chefs-d'œuvre Chépy chose ciel cœur comédie comédien Corneille coup Crancey Dame aux Camélias diable Diderot Dieu dire disait docteur Faust dramatique drame duel élégante enfant esprit eût Faust femme fête fille de marbre fleurs fortune Frédérick Lemaître gens Gil Blas gloire Goethe Hardouin Hélas héros heure heureux honnête honte jeune homme jeunesse joie jour l'amour l'heure laisse Lamartine larmes livre Louis XIV lui-même madame mademoiselle main maison maître malheureux Marion Delorme misère Molière monde monsieur mort Népomucène Lemercier Neveu de Rameau parler passé passions pauvre peine père petite pied Piron pitié Pixérécourt plaisir plein pleure poëme poésie poëte poétique premier prince royal reine Rétif rêve rien rire Ruy-Blas Sage savait scène Sedaine seul siècle sourire terrible tête théâtre tragédie vaudeville veut vice Victor Ducange Victor Hugo Vidocq vieux voilà Voltaire vrai Werther
Fréquemment cités
Page 366 - Au clair de la lune, Mon ami Pierrot, Prête-moi ta plume Pour écrire un mot. Ma chandelle est morte, Je n'ai plus de feu. Ouvre-moi ta porte, Pour l'amour de Dieu.
Page 324 - Mon corps, comme mon âme, est fils du soleil; il lui faut la lumière; il lui faut ce rayon de vie que cet astre darde, non pas du sein déchiré de nos nuages d'Occident, mais du fond de ce ciel de pourpre qui ressemble à la gueule de la fournaise ; ces rayons qui ne sont pas seulement une lueur, mais qui pleuvent tout chauds, qui calcinent, en tombant, les roches blanches , les dents étincelantes des pics des montagnes, et qui viennent teindre l'Océan de rouge, comme un incendie flottant sur...
Page 127 - Non ! j'appelle, en auteur soumis, mais peu craintif, Du parterre en tumulte, au parterre attentif. Qu'un si frivole soin ne trouble pas la fête. Ne songez qu'aux plaisirs que l'hymen vous apprête. Vous à qui cependant je consacre mes jours, MUSES, tenez-moi lieu de fortune et d'amours ! LE MISANTHROPE, COMÉDIE EN CINQ ACTES, PAR MOLIÈRE.
Page 287 - ... connais la valeur intrinsèque. On se fait ordinairement dans le monde une idée superstitieuse des grandes révolutions des empires; mais lorsqu'on est dans les coulisses l'on voit pour la plupart du temps que les scènes les plus magiques sont mues par des ressorts communs , et par de vils faquins qui , s'ils se montraient dans leur état naturel, ne s'attireraient que l'indignation du public.
Page 337 - Toutes les passions s'éloignent avec l'âge , L'une emportant son masque et l'autre son couteau , Comme un essaim chantant d'histrions en voyage Dont le groupe décroît derrière le coteau.
Page 337 - Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons: Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie: Emportez-moi comme elle, orageux aquilons!
Page 71 - H t' élever de terre, homme, il te faut deux ailes, La pureté du cœur et la simplicité; Elles te porteront avec facilité Jusqu'à l'abîme heureux des clartés éternelles ; Celle-ci doit régner sur tes intentions, Celle-là présider à tes affections , Si tu veux de tes sens...
Page 352 - Je ne dirai plus qu'un mot : il ordonnait qu'on vendît les œufs des basses-cours de ses domaines, et les herbes inutiles de ses jardins >'; et il avait distribué à ses peuples toutes les richesses des Lombards, et les immenses trésors de ces Huns qui avaient dépouillé l'univers.
Page 29 - HARDOUIN, seul. Moi, un bon homme, comme on le dit! je ne le suis point : je suis né foncièrement dur, méchant, pervers. Je suis touché presque jusqu'aux larmes de la tendresse de cette mère pour son enfant, de sa sensibilité, de sa reconnoissance. J'aurois même du goût pour elle, et, malgré moi, je persiste dans le projet peut-être de la désoler... Hardouin, tu es un fieffé monstre...
Page 333 - Et pour ce que les Muses ne veulent loger en une âme si elle n'est bonne, sainte et vertueuse, tu seras de bonne nature, non méchant, renfrogné ou chagrin : mais, animé d'un gentil esprit, tu ne laisseras rien entrer dans ton entendement qui ne soit surhumain ou divin...