L'ASSISTANCE ET DE LA PRÉVOYANCE PAR M. THIERS, REPRÉSENTANT DU PEUPLE. du 26 janvier 1850.) (FIN1.) VII Cette fois notre étude portera moins sur le texte du Rapport que sur une théorie, sur un système qui, ainsi que je l'ai indiqué, n'est point propre à M. Thiers. Plusieurs voix, et, il faut le dire, une sorte d'instinct ont, par des raisons trop naturelles, mis ce système en faveur depuis Février. Mais si l'illustre homme d'Etat n'en est pas l'inventeur, il emploie tout son talent à l'affermir dans l'opinion; les citations placées à la fin du précédent article en sont la preuve : l'expression de vertu appliquée à l'Etat, et d'autres analogues que je me suis permis de critiquer, 1 Voir le Correspondant du 10 septembre 1850, t. XXVI, p. 641. T. XXVII. 10 oct. 1850. 1′′ LIVR. 1 |