Le Correspondant, Volume 27Charles Douniol, 1851 |
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... 'elle en soit la cause première : fin surnaturelle quand l'homme s'é- lève jusqu'à la religion : fin naturelle lorsque , conformément à la pensée du Rapporteur , elle se réduit au plaisir de soulager SUR L'ASSISTANCE . 3.
... 'elle en soit la cause première : fin surnaturelle quand l'homme s'é- lève jusqu'à la religion : fin naturelle lorsque , conformément à la pensée du Rapporteur , elle se réduit au plaisir de soulager SUR L'ASSISTANCE . 3.
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... idées anarchiques dont la propagation cause aujourd'hui dans le monde une si profonde et si juste inquiétude , il suffit de recon- naître que le classement de certaines des fonctions exercées par SUR L'ASSISTANCE . 7.
... idées anarchiques dont la propagation cause aujourd'hui dans le monde une si profonde et si juste inquiétude , il suffit de recon- naître que le classement de certaines des fonctions exercées par SUR L'ASSISTANCE . 7.
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... cause de ces contradictions , de celles que je signalerai dans un article suivant et de toutes les autres que je suis obligé de passer sous silence , l'Académie française vient , dans sa séance du 8 août , de << à la merci de l ...
... cause de ces contradictions , de celles que je signalerai dans un article suivant et de toutes les autres que je suis obligé de passer sous silence , l'Académie française vient , dans sa séance du 8 août , de << à la merci de l ...
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... cause égyptienne , et puis parce que le Foreign - Office vit en lui , avec raison , un obstacle au calcul d'inféoder à l'industrie britannique la population chrétienne de la Montagne , en la convertissant au protestantisme . Le Liban ...
... cause égyptienne , et puis parce que le Foreign - Office vit en lui , avec raison , un obstacle au calcul d'inféoder à l'industrie britannique la population chrétienne de la Montagne , en la convertissant au protestantisme . Le Liban ...
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... cause commune avec ces derniers , nos coréligionnaires , si lear défaut d'énergie et l'absence d'union parmi leurs émirs et leurs cheiks n'eussent rendu leur défaite inévitable , eussent pu avoir raison de cette alliance . Ils ont eu ...
... cause commune avec ces derniers , nos coréligionnaires , si lear défaut d'énergie et l'absence d'union parmi leurs émirs et leurs cheiks n'eussent rendu leur défaite inévitable , eussent pu avoir raison de cette alliance . Ils ont eu ...
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Expressions et termes fréquents
Albert âme anglicans assez aujourd'hui avaient Californie catholicisme catholiques cause charité Chateaubriand chose chrétiens Christianisme clergé cœur comte de Chambord conciles conscience culte d'autres devant Dieu dire divine doctrine donner doute Druzes ecclésiastique enfants esprit eût évêques force Fourier général général Changarnier gens gouvernement hommes humaine idées intérêts j'ai Jacopone jamais jeune jour Jules Janin l'Allemagne l'anglicanisme l'auteur l'Autriche l'éducation l'Eglise l'empire l'esprit l'Etat l'homme l'Inquisition laisser Léon Faucher Liban liberté livre lois lord John Russell main maison de Lorraine Maronites Mémoires d'Outre-Tombe ment ministre monarchie monde morale n'avait nation non-seulement parler paroles passer passions pays pensée personne peuple philosophie Pie IX Pierre Leroux politique porte pouvoir premier présent prince principes protestantisme Prusse public puissance puseyistes qu'un question raison réforme religieux religion respect reste révolution Riambourg rien Russie s'est saint semble sentiment serait seul siècle sociale société sorte spirituel système tion trouve vérité vrai
Fréquemment cités
Page 104 - Trois degrés d'élévation du pôle renversent toute la jurisprudence, un méridien décide de la vérité ; en peu d'années de possession, les lois fondamentales changent ; le droit a ses époques, l'entrée de Saturne au Lion nous marque l'origine d'un tel crime. Plaisante justice qu'une rivière borne ! Vérité au deçà des Pyrénées, erreur au delà.
Page 145 - Je n'entretiendrai pas non plus la postérité du détail de mes faiblesses ; je ne dirai de moi que ce qui est convenable à ma dignité d'homme, et, j'ose le dire, à 1 élévation de mon cœur. Il ne faut présenter au monde que ce qui est beau...
Page 145 - ... présenter au monde que ce qui est beau; ce n'est pas mentir à Dieu que de ne découvrir de sa vie que ce qui peut porter nos pareils à des sentiments nobles et généreux. Ce n'est pas, qu'au fond, j'aie rien à cacher; je n'ai ni fait chasser une servante pour un ruban volé, ni abandonné mon ami mourant dans une rue, ni déshonoré la femme qui m'a recueilli, ni mis mes bâtards aux Enfants-Trouvés...
Page 598 - C'est le travail aride et la nuit studieuse, Tandis que la maison s'endort silencieuse, Et que pour rafraîchir son labeur échauffant On a tout près de soi le sommeil d'un enfant. Laissons aux cerveaux creux ou bien aux égoïstes Ces désordres au fond si vides et si tristes, Ces amours sans lieu et dont l'impiété A l'égal d'un malheur craint la fécondité.
Page 79 - On renie souvent ces maîtres suprêmes; on se révolte contre eux; on compte leurs défauts; on les accuse d'ennui, de longueur, de bizarrerie, de mauvais goût, en les volant et en se parant de leurs dépouilles; mais on se débat en vain sous leur joug.
Page 165 - Saint-Servan, 1" juillet 1798. « Mon ami, nous venons de perdre la meilleure des mères; je t'annonce à regret ce coup funeste. Quand tu cesseras d'être l'objet de nos sollicitudes, nous aurons cessé de vivre. Si tu savais combien de pleurs tes erreurs ont fait répandre à notre respectable mère, combien elles paraissent déplorables à tout ce qui pense et fait profession non...
Page 160 - Dans l'existence intérieure et théorique, je suis l'homme de tous les songes; dans l'existence extérieure et pratique, l'homme des réalités. Aventureux et ordonné, passionné et méthodique, il n'ya jamais eu d'être à la fois plus chimérique et plus positif que moi, de plus ardent et de plus glacé ; androgyne bizarre, pétri des sangs divers de ma mère et de mon père.
Page 159 - ... sur notre caractère! Songeons que nous pouvons, avec un attachement profond, n'en pas moins empoisonner des jours que nous rachèterions au prix de tout notre sang. Quand nos amis sont descendus dans la tombe, quel moyen avons-nous de réparer nos torts ? Nos inutiles regrets, nos vains repentirs, sont-ils un remède aux peines que nous leur avons faites ? Ils auraient mieux aimé de nous un sourire pendant leur vie que toutes nos larmes après leur mort.
Page 158 - Je m'ennuie de la vie; l'ennui m'a toujours dévoré : ce qui intéresse les autres hommes ne me touche point. Pasteur ou roi, qu'aurais-je fait de ma houlette ou de ma couronne ? Je serais également fatigué de la gloire et du génie, du travail et du loisir, de la prospérité et de l'infortune. En Europe, en Amérique, la société et la nature m'ont lassé. Je suis vertueux sans plaisir; si j'étais criminel, je le serais sans remords. Je voudrais n'être pas né, ou être à jamais oublié.
Page 67 - Les divers sentiments de mes âges divers, ma jeunesse pénétrant dans ma vieillesse , la gravité de mes années d'expérience attristant mes années légères ; les rayons de mon soleil, depuis son aurore jusqu'à son couchant, se croisant...