Soudain un funeste présage M'annonça les douleurs. Je courus vers le fleuve, inquiète et tremblante , J'y contemplai longtemps mon image flottante... Et je versai des pleurs. Depuis ce jour fatal je ne sais plus sourire ; D'un mal mystérieux, d'un... La lune de miel - Page 25de Émile Souvestre - 1861 - 245 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1824 - 634 pages
...Oui , la beauté' , dit-il , seule obtient notre hommage. Je l'e'coutais : soudain un funeste nuage M'annonça les douleurs ; Je courus vers le fleuve , inquiète et tremblante ; J'y contemplais long-temps mon image flottante , Kl je versais des pleurs. Depuis ce jour fatal je ne sais... | |
| 1829 - 440 pages
...Oui , dit-il , la beauté seule obtient mon hommage : Je l'écoutais!.. Soudain un funeste pre'sage M'annonça les douleurs : Je courus vers le fleuve...long-temps mon image flottante.. Et je versai des pleurs. sourire; "ire Mon cœur est consume ; on cœur est consume ; Je sais trop qu'il n'est point de. terme... | |
| 1829 - 426 pages
...Oui , dit-il ,-la beauté' seule obtient mon hommage : Je l'e'eoutais!.. Soudain un funeste pre'sage M'annonça les douleurs : Je courus vers le fleuve...inquiète et. tremblante , J'y contemplai long-temps men. image flottante.. • Et je versai des pleurs. Depuis ce jour fatal je ne sais plus sourire; D'un... | |
| Alfred Péron - 1833 - 852 pages
...Présent à mes esprits. « Oui, dit-il, la beauté seule obtient mon hommage. » Je l' écoutais; soudain, un funeste présage, M'annonça les douleurs....est consumé. % Je sais trop qu'il n'est point de fin à ma souffrance : De lui plaire jamais je n'ai plus l'espérance , Et je l'ai tant aimé ! Adieu... | |
| Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen - 1836 - 708 pages
...encore Présent à mes esprits. Oui , dit il , la beauté seule obtient noire hommage. Je l'e'coutais ; soudain un funeste présage M'annonça les douleurs...délire Mon cœur est consumé. Je sais trop qu'il n'est pas de fin à ma souffrance ; De lui plaire jamais je n'ai plus l'espérance Et je t'ai tant aimé... | |
| 1829 - 1022 pages
...encore Présent à mes esprits ! Oui, dit-il , la beauté seule obtient mon hommage : Je t'écoutais!.. Soudain un funeste présage M'annonça les douleurs...mystérieux , d'un funeste délire Mon cœur est consumé j Je sais trop qu'il n'est point de terme à ma souffrance , De lui plaire jamais j'ai perdu l'espérance... | |
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