xliv ODE DE FREDERIC II, ROI DE PRUSSE. Et l'on voit tour-à-tour renaître sur tes traces Tes vers harmonieux, élégants sans parure, Loin de l'art pédantesque en leur simplicité, Enfants du dieu du goût, enfants de la nature, Prêchent la volupté. Tes soins laborieux nous vantent la paresse, Au centre du bon goût d'une nouvelle Athene Berlin en est frappée : à sa voix qui t'appelle, 名・ ÉPITRE A. S. M. LE ROI DE PRUSSE. 1741. Du trône et des plaisirs voler à la victoire, Aux arts anéantis donner un nouvel être, C'étoit l'ouvrage de la vie, Et les destins divers de divers souverains : L'histoire d'un seul homme, et celle d'une année. |