Œuvres de Gresset: 11805 - 242 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 11
Page 78
... les tourbillons ; Perçons l'infernale carriere Des scholastiques régions : Là , comme aux sources du Cocyte On ne connoît plus les beaux jours , Sur cette demeure proscrite La nuit semble régner toujours ; 58 LES OMBRES .
... les tourbillons ; Perçons l'infernale carriere Des scholastiques régions : Là , comme aux sources du Cocyte On ne connoît plus les beaux jours , Sur cette demeure proscrite La nuit semble régner toujours ; 58 LES OMBRES .
Page 96
... carriere des airs : De mille objets la nouveauté t'invite ; Et leur image , autrefois interdite A ton pinceau dans les jours de tes fers , Vient aujourd'hui te demander des vers . Rendue enfin à la scene du monde , Tu crois sortir d'une ...
... carriere des airs : De mille objets la nouveauté t'invite ; Et leur image , autrefois interdite A ton pinceau dans les jours de tes fers , Vient aujourd'hui te demander des vers . Rendue enfin à la scene du monde , Tu crois sortir d'une ...
Page 97
... carriere Tu prétends voir ton char bientôt lancé : Du moins , avant qu'on t'ouvre la barriere , Pour prévenir un écart insensé , Va consulter la sage Deshouliere , Et vois les traits dont sa muse en courroux De l'art des vers nous a ...
... carriere Tu prétends voir ton char bientôt lancé : Du moins , avant qu'on t'ouvre la barriere , Pour prévenir un écart insensé , Va consulter la sage Deshouliere , Et vois les traits dont sa muse en courroux De l'art des vers nous a ...
Page 140
... carriere , Donne à ses derniers feux sa plus vive clarté ; J'ai vu ce pas fatal où l'ame plus hardie , S'élançant de ses tristes fers , Et prête à voir finir le songe de la vie , Au poids du vrai seul apprécie Le néant de cet univers ...
... carriere , Donne à ses derniers feux sa plus vive clarté ; J'ai vu ce pas fatal où l'ame plus hardie , S'élançant de ses tristes fers , Et prête à voir finir le songe de la vie , Au poids du vrai seul apprécie Le néant de cet univers ...
Page 143
... carriere J'ai vu rentrer l'astre des cieux , Et dans un si long intervalle , La Parque , d'une main fatale Arrachant de mes yeux les paisibles pavots , Pour moi ne fila point une heure de repos ; Par le souffle brûlant de la fievre ...
... carriere J'ai vu rentrer l'astre des cieux , Et dans un si long intervalle , La Parque , d'une main fatale Arrachant de mes yeux les paisibles pavots , Pour moi ne fila point une heure de repos ; Par le souffle brûlant de la fievre ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimable Amours auroit avoit badinage beauté beaux jours bergers bonheur brillant C'étoit cagots carriere champêtres chanter charmant cher ciel cieux Clément XIII Cléon cœur crime Crosne Déja derniere desirs destin Dieu dieux douceur doux encens enfin ennuyeux ÉPITRE esprit étoit fêtes fidele fleurs foible fuit gloire goût graces Gresset Hélicon hermitage héros heureux immortelle j'ai jeune jeux l'aimable l'ame l'amour l'ennui l'oiseau l'univers langueur lauriers lieux Loin long-temps lumiere lutrin lyre malheureux monde mort mortels Muse myrte Nevers nouveaux nymphes ombres Ovide paisible par-tout Parnasse peine perroquet peuple Phébus philosophie Pindare plaisir plaisirs pleurs poésie poëtes poétique Pomone premiere printemps PRUSSE qu'un reconnoissance regret rêverie rien rimes rivage rives sage sagesse saints sang des héros séjour sentiment seul silence sœurs solitaire sombres songes sort soupirs Styx sublime talent temple tendre Tisiphone tombeau tour-à-tour tranquille triste trône Ver-Vert vertu vieux Virgile Visitandines vois voix Voltaire volupté yeux zéphyrs