Histoire de la littérature française: depuis ses origines jusqu'à nos joursL. Hachette et cie, 1869 - 684 pages |
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... dernier et inexpugnable asile . C'est là qu'aujourd'hui encore , après tant de siècles , tant d'invasions , tant de bouleversements , il subsiste tel qu'on le parlait au sixième siècle de notre ères . Au milieu des chan- gements ...
... dernier et inexpugnable asile . C'est là qu'aujourd'hui encore , après tant de siècles , tant d'invasions , tant de bouleversements , il subsiste tel qu'on le parlait au sixième siècle de notre ères . Au milieu des chan- gements ...
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... dernier . Il se nom- mait Gwenchlan . M. de La Villemarqué , tout en regrettant la perte du précieux manuscrit , croit pouvoir au moins nous . offrir un des poëmes de ce barde . C'est un chant populaire que les paysans bretons ...
... dernier . Il se nom- mait Gwenchlan . M. de La Villemarqué , tout en regrettant la perte du précieux manuscrit , croit pouvoir au moins nous . offrir un des poëmes de ce barde . C'est un chant populaire que les paysans bretons ...
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... dernier fut le confident , l'ami et en quelque sorte le mi- nistre intellectuel de Charlemagne . C'est en Italie , à Parme , que le roi des Francs trouva le savant Anglo - Saxon en 780 . Deux ans après , Alcuin était établi à la cour de ...
... dernier fut le confident , l'ami et en quelque sorte le mi- nistre intellectuel de Charlemagne . C'est en Italie , à Parme , que le roi des Francs trouva le savant Anglo - Saxon en 780 . Deux ans après , Alcuin était établi à la cour de ...
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... dernier phénomène de la croissance des sociétés . La renaissance 4. « Earum , ut nunc plerisque vocantur , superstitiosa otia fastidio sunt .... Nunc oneri sunt , qui aliquid discere affectant . » ( Lupus Ferrariensis , epi- stola 1 ...
... dernier phénomène de la croissance des sociétés . La renaissance 4. « Earum , ut nunc plerisque vocantur , superstitiosa otia fastidio sunt .... Nunc oneri sunt , qui aliquid discere affectant . » ( Lupus Ferrariensis , epi- stola 1 ...
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... carrière nouvelle et devance les penseurs des écoles modernes . Ce serait une erreur : Jean le Scot n'est que 1. Lupus Ferrariensis , epistola I , le dernier des Alexandrins , fourvoyé dans le neuvième siècle CHARLEMAGNE . 47.
... carrière nouvelle et devance les penseurs des écoles modernes . Ce serait une erreur : Jean le Scot n'est que 1. Lupus Ferrariensis , epistola I , le dernier des Alexandrins , fourvoyé dans le neuvième siècle CHARLEMAGNE . 47.
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
admirable Aiol Alcuin âme antique avaient barbares belle bon sens Bossuet brillante Buffon c'était caractère Chanson de Roland chansons chansons de geste chants Charlemagne Charles Charles d'Orléans charme chevaleresque chevaliers chose chrétienne chroniques civilisation cœur contemporains Corneille Dieu dix-huitième siècle dix-septième siècle douzième siècle écrit écrivain époque Érasme esprit Fénelon féodale forme française François Ier Gaule Gaulois génie gloire goût Grèce guerre héroïque Histoire homme idées l'âme l'amour l'antiquité l'Église l'épopée l'esprit l'histoire langage langue langue d'oïl latin lettres LITT littéraire littérature livre Louis XIV lui-même maître ment moderne mœurs Molière monde Montaigne morale mort moult moyen âge noble œuvre ouvrage parler passé passions pensée peuple philosophie poëme poésie poëte poétique politique populaire premier prince quelquefois religieux Renaissance rien roman Rome Ronsard Rutebeuf saint satire savant scène science scolastique seizième siècle semble sentiment seul société style sujet théâtre tion tragédie traits trouve trouvères vérité verve Voltaire
Fréquemment cités
Page 648 - C'est que l'amour, la tombe, et la gloire, et la vie. L'onde qui fuit, par l'onde incessamment suivie. Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal. Fait reluire et vibrer mon âme de cristal, Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adore Mit au centre de tout comme un écho sonore ! D'ailleurs j'ai purement passé les jours mauvais, Et je sais d'où je viens, si j'ignore où je vais.
Page 510 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.
Page 649 - Il est si beau l'enfant, avec son doux sourire. Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers!
Page 523 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 404 - Tous les cœurs en secret l'assuraient de leur foi ! Parle : peut-on le voir sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maître?
Page 510 - ... puisqu'il est manifestement contre la loi de nature, de quelque manière qu'on la définisse, qu'un enfant commande à un vieillard, qu'un imbécile conduise un homme sage, et qu'une poignée de gens regorge de superfluités, tandis que la multitude affamée manque du nécessaire.
Page 532 - Si les ouvrages qui les contiennent ne roulent que sur de petits objets, s'ils sont écrits sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances, les faits et les découvertes s'enlèvent aisément, se transportent, et gagnent même à être mis en œuvre par des mains plus habiles. Ces choses sont hors de l'homme ; le style est l'homme même.
Page 393 - Quand on voit le style naturel, on est tout étonné et ravi; car on s'attendait de voir un auteur, et on trouve un homme.
Page 256 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux...
Page 404 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...