L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volume 21764 |
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Expressions et termes fréquents
affez ainſi ajoûte amour auroit auſſi avoient avoit Bure c'eſt cauſe choſe claſſe cœur connoître Daphnis Diſcours donne eſpèce eſprit eſt étoient étoit fans felon fent feroit fingulier foit font François Françoiſe Geffner goût Guifcard homme J'ai Junon juſqu'à juſte l'Abbé l'amour L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'auteur l'eſprit l'Hiſtoire laiſſe Laure Lettre Loix lorſque Macare maîtreſſe Maximilien de Béthune Médailles ment Monfieur Monnoies n'eſt néceſſaire Nollet ouvrage Palaprat paroît paſſe penſe père perſonnes Pétrarque Philis plaiſir pluſieurs Poëfie Poëme Poësie Poëte Port à l'Anglois pouvoit premier préſente Préſident preſque Prince puiſſe queſtion raiſon reſte s'eſt ſans ſçait ſçavoir Schelhorn ſe ſont ſe trouve ſeconde ſein ſemble ſens ſentiment ſentir ſera ſes ſeul ſeule ſeulement ſiècle Siffredi ſimple ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſtyle ſuis ſujet ſur ſur ſa talens tendreſſe tion Toulouſe troiſième uſage Valcour vertu Zéïla دو دو دو
Fréquemment cités
Page 316 - HARVEY font aflez conformes. Lorfque nous croyons que les Anciens ne font demeurés dans telle ou telle opinion que parce qu'ils n'avoient pas été auffi loin que nous , nous devrions peut-être plutôt penfer que c'eft parce qu'ils avoient été plus loin , &> que des expériences d'un temps plus reculé leur avoient fait fentir l'infuffifance des fyftêmes dont nous nous contentons.
Page 99 - ... entraîna, Et que des Sarrasins le fer y moissonna. De ce noble guerrier, mort au sein de la gloire , Mon père dans le fils honora la mémoire. Dans les bois de Belmont , séjour cher à mon cœur . Lui-même cultiva ce jeune arbre en sa fleur...
Page 108 - M'at-il dit. A ce mot mon courage succombe; J'ai traîné vers l'autel mes pas avec terreur. Oh ! comment exprimer ce qu'a senti mon cœur...
Page 61 - Avec tes longs cheveux j'aimois à badiner ; D'un feuillage nouveau j'aimois à les orner. Souvent ta Zéïla , ne pouvant davantage, A tes fons enchanteurs mêloit fi voix fauvage. Je te voyois fourire , & voler dans mes bras : Les heures s'écouloient , tu ne les comptois pas.
Page 174 - Que fuyent les oifeaux volans dans ces bocages î cages. Mais que fuyois-je, moi, de .Dieu quand je. l'avois î la voix. Que dit-elle à mon cœur au bord de ce vieux; antre î entre. Quels furent donc mes yeux à ceux des rcgardans ? ardens.
Page 330 - Cantiques de l'Eglifè ; avec des Notes relatives à la Vulgate , aux Septante & au Texte Hébreu; ouvrage pofthume de M.
Page 171 - Je n'ai point ces riches habits Qu'avec orgueil Plutus étale ; Ni vins rares , ni mets exquis Ne couvrent ma table frugale ; Mais dans ma douce pauvreté, De la dure nécessité J'ignore l'affligeante peine.
Page 174 - Mais que fùyois - je moi de Dieu quand je l'avois.? La voix. Que dit- elle à mon cœur au bord de ce vieux antre ? Entre. Quels furent donc mes yeux à ceux des regardans...
Page 104 - J'ai fait enfin pour vous ce que vous avez dû ; Et , ne balançant point à me perdre moi-même, J'ai sauvé votre gloire. GUISCAHD. Ah ! trahir ce que j'aime , Trahir le cri du sang , rompre un lien sacré , Étre perfide amant et fils dénaturé , Si c'est là cette gloire, apprends que j'y renonce, Apprends que je l'abhorre...