L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volume 2

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1764
 

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Page 316 - HARVEY font aflez conformes. Lorfque nous croyons que les Anciens ne font demeurés dans telle ou telle opinion que parce qu'ils n'avoient pas été auffi loin que nous , nous devrions peut-être plutôt penfer que c'eft parce qu'ils avoient été plus loin , &> que des expériences d'un temps plus reculé leur avoient fait fentir l'infuffifance des fyftêmes dont nous nous contentons.
Page 99 - ... entraîna, Et que des Sarrasins le fer y moissonna. De ce noble guerrier, mort au sein de la gloire , Mon père dans le fils honora la mémoire. Dans les bois de Belmont , séjour cher à mon cœur . Lui-même cultiva ce jeune arbre en sa fleur...
Page 108 - M'at-il dit. A ce mot mon courage succombe; J'ai traîné vers l'autel mes pas avec terreur. Oh ! comment exprimer ce qu'a senti mon cœur...
Page 61 - Avec tes longs cheveux j'aimois à badiner ; D'un feuillage nouveau j'aimois à les orner. Souvent ta Zéïla , ne pouvant davantage, A tes fons enchanteurs mêloit fi voix fauvage. Je te voyois fourire , & voler dans mes bras : Les heures s'écouloient , tu ne les comptois pas.
Page 174 - Que fuyent les oifeaux volans dans ces bocages î cages. Mais que fuyois-je, moi, de .Dieu quand je. l'avois î la voix. Que dit-elle à mon cœur au bord de ce vieux; antre î entre. Quels furent donc mes yeux à ceux des rcgardans ? ardens.
Page 330 - Cantiques de l'Eglifè ; avec des Notes relatives à la Vulgate , aux Septante & au Texte Hébreu; ouvrage pofthume de M.
Page 171 - Je n'ai point ces riches habits Qu'avec orgueil Plutus étale ; Ni vins rares , ni mets exquis Ne couvrent ma table frugale ; Mais dans ma douce pauvreté, De la dure nécessité J'ignore l'affligeante peine.
Page 174 - Mais que fùyois - je moi de Dieu quand je l'avois.? La voix. Que dit- elle à mon cœur au bord de ce vieux antre ? Entre. Quels furent donc mes yeux à ceux des regardans...
Page 104 - J'ai fait enfin pour vous ce que vous avez dû ; Et , ne balançant point à me perdre moi-même, J'ai sauvé votre gloire. GUISCAHD. Ah ! trahir ce que j'aime , Trahir le cri du sang , rompre un lien sacré , Étre perfide amant et fils dénaturé , Si c'est là cette gloire, apprends que j'y renonce, Apprends que je l'abhorre...

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