Avec tes longs cheveux j'aimois à badiner ; D'un feuillage nouveau j'aimois à les orner. Souvent ta Zéïla , ne pouvant davantage, A tes fons enchanteurs mêloit fi voix fauvage. Je te voyois fourire , & voler dans mes bras : Les heures s'écouloient... L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps - Page 61 1764 Affichage du livre entier -
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