Main Currents in Nineteenth Century Literature, Volume 5W. Heinemann, 1904 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 36
Page 4
... coloured citizen- monarchy was established , Louis Philippe was stealthily elevated to the throne of France , holding the difficult posi- tion of king by the grace of the Revolution . The pregnant characteristics of his government ...
... coloured citizen- monarchy was established , Louis Philippe was stealthily elevated to the throne of France , holding the difficult posi- tion of king by the grace of the Revolution . The pregnant characteristics of his government ...
Page 15
... colour symphonies , to rejuvenate litera- ture . In all the arts colour , passion , and style were aimed at and demanded - colour with such urgency that the most gifted painter of the period , Delacroix , neglected drawing for it ...
... colour symphonies , to rejuvenate litera- ture . In all the arts colour , passion , and style were aimed at and demanded - colour with such urgency that the most gifted painter of the period , Delacroix , neglected drawing for it ...
Page 20
... generation but nature - faithful reproduction , local and historical colour ? Is not George Sand Rousseau's daughter ? the preacher of a gospel of nature ? And Beyle and Mérimée , are they not 20 THE ROMANTIC SCHOOL IN FRANCE.
... generation but nature - faithful reproduction , local and historical colour ? Is not George Sand Rousseau's daughter ? the preacher of a gospel of nature ? And Beyle and Mérimée , are they not 20 THE ROMANTIC SCHOOL IN FRANCE.
Page 23
... coloured glass . The Romanticists . of France despised their own national excellences , the per- spicuity and rational transparency of their own literature , and extolled Shakespeare and Goethe because these poets did not , like Racine ...
... coloured glass . The Romanticists . of France despised their own national excellences , the per- spicuity and rational transparency of their own literature , and extolled Shakespeare and Goethe because these poets did not , like Racine ...
Page 37
... colour , and devoid of passion ; there is none of the Scotch mist we are conscious of in Sir Walter , or of the fumes of the Berlin wine - vaults which we inhale in reading Hoffmann . His peculiarity as a stylist is that , whilst the ...
... colour , and devoid of passion ; there is none of the Scotch mist we are conscious of in Sir Walter , or of the fumes of the Berlin wine - vaults which we inhale in reading Hoffmann . His peculiarity as a stylist is that , whilst the ...
Autres éditions - Tout afficher
Main Currents in Nineteenth Century Literature, Volume 5 Georg Brandes Affichage du livre entier - 1904 |
Main Currents in Nineteenth Century Literature, Volume 5 Georg Brandes Affichage du livre entier - 1906 |
Main Currents in Nineteenth, Century Literature, Volume 5 Georg Brandes Affichage du livre entier - 1906 |
Expressions et termes fréquents
admiration Alfred de Musset Alfred de Vigny André André Chénier ardent artistic Balzac beautiful Beyle Beyle's Byron c'est century character charming Chénier classic colour criticism death described drama Dumas Émile Augier emotion enthusiasm everything expression eyes famous feeling France French friends genius George Sand gifted give heart Hernani hero historical Hugo's human ideas imagination impression inspired jeune lady Lamartine Lamennais liberty literary literature lived lover lyric poet Madame Mademoiselle de Maupin manner Mérimée Mérimée's mind modern Musset nature never noble Nodier novel Paris passion period Petrus Borel Pierre Leroux play poems poetic poetry political produced prose Prosper Mérimée reader regarded Revolution Romantic School Romanticism Romanticists Saint-Simon Saint-Simonists Sainte-Beuve Sand's society soul spirit story style talent tendency Théophile Gautier tion tragedy truth verse Victor Hugo Vitet whole woman women words writes written wrote young youth
Fréquemment cités
Page 172 - L'homme s'épuise par deux actes instinctivement accomplis qui tarissent les sources de son existence. Deux verbes expriment toutes les formes que prennent ces deux causes de mort : VOULOIR et POUVOIR.
Page 29 - Elle grandit, va, court, se mêle à toute chose, Se fait homme, saisit les cœurs, creuse un sillon; Maint roi la foule aux pieds ou lui met un bâillon; Mais qu'elle entre un matin à la diète, au conclave, Et tous les rois soudain verront l'idée esclave Sur leurs têtes de rois que ses pieds courberont Surgir, le globe en main ou la tiare au front.
Page 82 - O Seigneur ! j'ai vecu puissant et solitaire, Laissez-moi m'endormir du sommeil de la terre...
Page 104 - Il est tombé sur nous, cet édifice immense, Que de tes larges mains tu sapais nuit et jour. La mort devait t'attendre avec impatience, Pendant quatre-vingts ans que tu lui fis ta cour; Vous devez vous aimer d'un infernal amour.
Page 104 - Dors-tu content, Voltaire, et ton hideux sourire Voltige-t-il encore sur tes os décharnés ? Ton siècle était, dit-on, trop jeune pour te lire ; Le nôtre doit te plaire et tes hommes sont nés.
Page 294 - Ainsi faite, la moricaude Bat les plus altières beautés, Et de ses yeux la lueur chaude Rend la flamme aux satiétés. Elle a dans sa laideur piquante Un grain de sel de cette mer D'où jaillit, nue et provocante, L'acre Vénus du gouffre amer.
Page 295 - Je suis jeune; la pourpre en mes veines abonde; Mes cheveux sont de jais et mes regards de feu, Et, sans gravier ni toux, ma poitrine profonde Aspire à pleins poumons l'air du ciel, l'air de Dieu.
Page 92 - Oh! si vous rencontrez quelque part sous les cieux Une femme au front pur, au pas grave, aux doux yeux, Que suivent quatre enfants dont le dernier chancelle, Les surveillant bien tous, et, s'il passe auprès d'elle Quelque aveugle indigent que l'âge appesantit, Mettant une humble aumône aux mains du plus petit ; Si, quand la diatribe autour d'un nom s'élance, Vous voyez une femme écouter en silence, Et douter, puis vous dire : — Attendons pour juger.
Page 300 - Non, imbéciles, non, crétins et goitreux que vous êtes, un livre ne fait pas de la soupe à la gélatine ; — un roman n'est pas une paire de bottes sans couture; un sonnet, une seringue à jet continu; un drame n'est pas un chemin de fer, toutes choses essentiellement civilisantes, et faisant marcher l'humanité dans la voie du progrès.
Page 103 - Dans tes temples muets amène à pas tremblants ; Je ne suis pas de ceux qui vont à ton Calvaire , En se frappant le cœur, baiser tes pieds sanglants ; Et je reste debout sous tes sacrés portiques , Quand ton peuple fidèle , autour des noirs arceaux , . Se courbe en murmurant sous le vent des cantiques, Comme au souffle du nord un peuple de roseaux.