| Louis Racine - 1750 - 380 pages
...quatre lignes. Comptez qu'à la rigueur il n'y avoit pas là delTus trois mille hommes à rabattre. Je commençai à onze heures du matin à marcher. J'allai toujours au grand pas de mon cheval, & je ne finis qu'à huit heures du foir. Enfin on étoit deux heures: à aller du bout d'une ligne... | |
| Louis Racine - 1750 - 380 pages
...quatre lignes. Comptez qu'à la rigueur il n'y avoic pas là deiîus trois mille hommes à rabattre. ]e commençai à onze heures du matin à marcher, j'allai toujours au grand pas de mon cheval , & je ne finis qu'à huit heures du foir. Enfin on étoit deux heures à aller du bout d'une ligne... | |
| Jean Racine - 1796 - 496 pages
...lignes. Comptez qu'à la rigueur il n'y avait pas là-dessus trois mille hommes à rabattre. Je commencai à onze heures du matin à marcher, j'allai toujours...je, ne. finis qu'à huit heures du soir. Enfin, on était deux heures à aller du bout d'une ligne à. l'autre. Mais si on n'a jamais vu tant de troupes... | |
| Jean Racine - 1801 - 330 pages
...quatre lignes. Comptez qu'à la rigueur il n'y avoit pas là-dessus h'ois mille hommes à rabattre. Je commençai à onze heures du matin à marcher; j'allai toujours, au grand pas de non cheval, et je, ne finis qu'à huit heures,dn, soir ; enfin on étoit deux heures à aller du boni... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1809 - 418 pages
...pas là dessus trois mille hommes à rabattre. Je commençai à onze heures du matin à marcher 5, j'allai toujours au grand pas de mon cheval, et je ne finis <ju 1 à hait heures dasmr; enfin on étoit deux heures à aller du bout dune ligue à 1 autre. Mais,... | |
| Jean Racine - 1811 - 524 pages
...quatre lignes. Comptez qu'à la rigueur il n'y avoit pas là-dessus trois mille hommes à rabattre. Je commençai à onze heures du matin à marcher,...heures à aller du bout d'une ligne à l'autre. Mais si on n'a jamais vu tant de troupes ensemble, assurez-vous qu'on n'en a jamais vu de si belles. Je vous... | |
| Jean Racine - 1813 - 324 pages
...quatre lignes. Comptez qu'à la rigueur il n'y avoit pas là-dessus trois mille hommes à rabattre. Je commençai à onze heures du matin à marcher ;...heures à aller du bout d'une ligne à l'autre. Mais si on n'a jamais vu tant de troupes ensemble, assurez-vous que jamais on n'en a vu de si belles. Je vous... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1815 - 370 pages
...suivantes, le siège de Na1nur, etc., sont arrivés en 1692. là dessus trois mille hommes à rabattre. Jp commençai à onze heures du matin à marcher; j'allai...à aller du bout d'une ligne à l'autre. Mais , si on n'a jamais vu tant de troupes ensemble, assurez-vous que jamais on n'en a vu de si belles. Je vous... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 528 pages
...quatre lignes. Comptez qu'à la rigueur il n'y avoit pas là-dessus trois mille hommes à rabattre. Je commençai à onze heures du matin à marcher;...à aller du bout d'une ligne à .l'autre. Mais , si on n'a jamais vu tant de troupes ensemble, assurez-vous que jamais on n'en a vu de si belles. Je vous... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 706 pages
...quatre lignes. Comptez qu'à la rigueur il n'y avoit pas là-dessus trois mille hommes à rabattre. Je commençai à onze heures du matin à marcher;...heures à aller du bout d'une ligne à l'autre. Mais si on n'a jamais vu tant de troupes ensemble, assurez-vous que jamais on n'en a vu de si belles. Je vous... | |
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